Suite d'arrivée D'ellane [PV Kenzo/Marsu/Byakko]

Kenzo remarqua qu'il était sur le point de déclencher une guerre nucléaire. Voulant surtout empêchait cela d'arriver, il dit avec un ton à la fois sincère et amusant.

-Je ne disais pas sa contre toi, ni même les autres étrangers,se n'est pas un propos méchant, c'était juste une remarque sans préjuger.

Il regardé ellane mais sa remarque pouvais aussi s'appliquer pour monsieur le professeur.
D'ailleurs celui ci se prit une méchante réplique dans la figure [chacun son tour ^^]. Il prit la valise et la déplaça en suivant le chemin qu'avait pris une minutes plutôt la jeune fille. Il arriva prés d'elle, laissant la valise prés d'un mur, et releva la tête

-Merci pour tout à l'heure, c'était osé de dire ces choses à un prof et cela m'a très touché, cela ma même choqué quand tu la fais.

Marsu arriva devant la salle informatique en compagnie de des rigolos qui l'accompagnait.
Pendant le trajet, Ellane lui avait répondu sur sa remarque sur la drague.
Marsu ne pouvant laisser passer cela, répliqua.
Wels, il n'y a aucun mal à draguer. C'est juste que vous me faisiez perdre mon temps. Mais si j'étais vous, je me méfierais d'Ouchu.

Marsu prit sa carte magnétique pour ouvrir la porte de la salle informatique.

* Pas pratique pour ouvrir la salle. Faudrait que je demande à ce qu'on m'installe un digicode, ou une reconnaisance biométrique/rétinienne *

Marsu entre dans la salle informatique, suivis de Kenzo et Ellane. Comme Marsu avait laissé son ordinateur en veille, il put immédiatemment utiliser le logiciel.

Alors... Je vous cherche dans le logiciel. Wels. Ellane Wels. Vous êtes bien née un treize février ?
Et sans attendre de réponse il continua.
Alors pour votre chambre, ce sera la F.1-06. On va vous faire votre carte.
Marsu envoya alors la fabrication de la carte de Ellane.

Votre carte est prête. Je vais la chercher dans la pièce à côté.

Puis Marsu se dirigea vers la salle des serveurs, où se situe la machine qui permet de fabriquer les cartes.

Ellane les vit arriver, tout deux avaient l'air plutôt pressé aussi, elle ne fit aucune remarque sur leur façon de marcher, rapidement, pas trop quand même pour ne pas avoir l'air de courir. La jeune fille entendit les paroles du garçon pour s'expliquer sur ses propos de tout à l'heure, elle se doutait quelles étaient sincères, pourtant, la jeune fille se demandait intérieurement ou se trouvait ses personnes qui devaient être perdues dans cet endroit. Et bizarre, elle ne comprenait pas à 100% ces mots et, s'en était peut-être mieux ainsi car sinon, elle aurait sans aucun doute piqué l'une de ses crises ou lancée une réplique dont elle avait le secret. D'ailleurs, elle était ici la seule fille et chacun des deux garçons avaient reçu une méchante phrase dans la figure en gage de leurs manque de tact sur des choses qu'ils faisaient inconsciemment et que son esprit à elle pouvait tourner dans tous les sens pour les relancer à sa manière. Un seul point restait donc discutable, choqué, elle avait choqué Ouchu en défendant la cause du jeune homme (en fait c'était sa cause à elle en partie mais elle essaye tant bien que mal de se donner bonne conscience ^^), et elle s'en fichait royal, sinon qu'elle jugeait qu'il devrait plutôt lui en être encore plus reconnaissant (modeste en plus....), elle laissa les étrangers pour l'interroger sur sa phrase, de manière cinglante mais pas froide non plus car il restait une touche d'humour, certes noir, dans sa voix:

-Merci pour ces piètres mots, j'aurais put t'être reconnaissante pour la première phrase mais la seconde me laisse un peu sans opinion, tu dis que tu es choqué, mais je dois le prendre comment, avec le sourire ?

Elle se détourna pour aller voir le prof qui s'impatientait, rentrant dans la salle où il lui envoya aussi une réplique dans la figure, ils se vengeaient, c'était de bonne guerre, mais elle aurait sa revanche. À l'un elle faisait perdre son temps, à l'autre elle paressait sans doute étrange. Bien leurs en face, elle se contenta d'une réplique :

-Pourquoi vous occupez-vous de moi si je vous fais perdre mon temps, et dit comme ça, ce n'est guère flatteur pour on image, aussi, je vois mal comment, une élève peut rester ici si on lui fait sans cesse des remarques sur les trucs de son âge qui ne se passe pas forcément... cela dit sans vous vexer.

Pas question qu'elle s'excuse, aussi elle répondit à ses questions sans réponses demandées par des choses qui ne faisaient qu'accentuer son bonheur et son enthousiasme, à l'inverse des deux hommes sans doutes:

-Oui, un vendredi si vous voulez être encore plus précis. Génial, j'adore la lettre F. Merci pour le transport.

Puis elle alla chercher une chaise, s'asseyant dessus en un soupir discret, elle en avait réellement marre de marcher et de garder les yeux ouverts depuis le début de la nuit, aussi, elle se massa les tempes avec ses pouces, restant ainsi éveillée.

(Comment se mettre tous les profs à dos en dix leçons ^^. Excusez moi pour le manque de sympathie et pour son caractère lunatique.=))

Marsu venait de terminer la carte d'Ellane lorsque Byakko entra dans la salle des serveurs lui demandant, de façon inaproprié pour un élève, de vérifier sa carte magnétique.

Shirotora, est-ce comme ça que l'on s'adresse à un professeur ?

Puis Marsu retourna dans la salle informatique, suivi de Byakko. Il donna sa carte à Ellane.
Tenez. Ne la perdez pas surtout!
Puis se tournant vers Kenzo : Ouchu vous pouvez lui montrer où sont les dortoirs ?

Puis il se tourna vers Byakko.
Montrez moi cette carte Shirotora

Kenzo entendit trés briévement la discution entre le soit disant professeur et l'autre éléve qui venait de rentrer dans la piéce.
Il ne le connaissait pas et ne l'avait encore jamais vu, mais vu comment il répondez au pseudo prof, se devait être un mpec bien dans le fond.

C'est alors que marsu revint dans la piéce et ordonna a kenzo de montrer le chemin du pensionnat à ellane. Bien sur celui ci lui demander sans même une petite formule de politesse.

-Monsieur, sachez que je ne suis pas un animale de compagnie et que vous me devez au moin un minimun de respect. Moi au moins je suis galant.

Puis il se dirigea vers la porte en se tournant vers byakko, en lui souriant, pour lui montrer qu'il avait entendu leur conversation et qu'il le remercié pour cette information.
Enfin il attendit dehors.

Kenzo répondit à Marsu :
Monsieur, sachez que je ne suis pas un animale de compagnie et que vous me devez au moin un minimun de respect. Moi au moins je suis galant.

Marsu fut un peu vexé, mais il reprit très vite ses esprits pour répondre à Kenzo.
Évidemment que vous n'êtes pas un animal de compagnie, Ouchu. Un animal de compagnie, on le chouchoute, on le caresse, on le nourrit, on le sort... Or ce n'est pas vraiment le cas! Quant à la galanterie, sachez Ouchu que la chevalerie a été abolie. On se verra au cours d'informatique

Puis Marsu prit la carte de Byakko, qu'il mit dans le lecteur. Après quelques clics de souris, il rendit sa carte à Byakko.
Si elle ne fonctionne pas, n'hésitez pas à revenir. Sinon, à la semaine prochaine pour le cours d'informatique.

Ellane détaillait sans ramener sa fraise les trois garçons qui commençaient déjà à s'enguirlander alors que l'année ne venait pas de commencer ou tout juste. Le troisième garçon venait à peine d'entrer, une erreur dans la carte, une petite complication ou autre chose, toujours était-il que le système du professeur d'informatique (la matière la plus endormante selon elle avec l'anglais), était loin d'être infaillible. Un petit rire cynique et dégradant pour son interlocuteur lui sortit de la gorge, mué par un reflex qui était en partie voulut.
Sa main se posa sur son chat, comme elle avait l'habitude de le faire quand elle se trouvait dans une situation où elle venait de faire une belle bêtise. Se moquer des professeurs n'était pas la meilleure des choses à faire pourtant le caractère de la jeune fille était fait ainsi et elle aurait put se montrer bien pire en lui dédiant une phrase dont elle avait le secret.
La jeune femme se tourna tout de même vers le garçon qui l'attendait patiemment à côté de la porte, et elle écouta sans ajouter de commentaires les réparties qui ne valaient pas grand chose, certes il n'était pas un animal de compagnie, mais il frisait le ridicule par certaines de ses phrases. Elle retint la remarque désobligeante qu'il lui brûlait de lancer et elle préféra s'en prendre à son futur prof, un sourire taquin sur le visage, un trait de sa personnalité qui montrerait peut-être qu'elle rigolait plus...Ou moins :

-Je ne sais pas pour l'animal de compagnie, mais vous auriez quand même quelques progrès à faire niveau galanterie. Même un animal sauvage saurait comment se comporter en présence d'une dame...plus ou moins âgée et respectable.

Bon, elle ne méritait pas vraiment son respect après toutes les vannes qu'elle lui avait envoyé dans la figure, mais ça avait été trop tentant de jouer de ses origines pour essayer de le taquiner.
Sans poursuivre son massacre verbal elle se retourna vers celui qui avait commandé une nouvelle carte, le dévisageant septique pendant quelques secondes avant de lâcher, ne trouvant rien à dire sur lui :

-Salut...

Puis elle rejoint Kenzo dans le couloir, choppant la poignée de la valise dans sa main gauche, demandant sans aucun ton et d'une voix éteinte au jeune homme :

-Tu m'emmènes où pseudo animal de compagnie ?

Ellane savait parfaitement bien qu'elle se conduisait en peste de premier ordre. Pourtant quelque chose en ce rôle l'attirait et elle hésitait à poursuivre cette suite de blagues idiotes qui démontaient les gens plus loin. Dans une moue hésitante elle se rapprocha de la porte, allant dans le couloir quand elle sentie la main tendu du garçon sur son épaule. Dans une posture hautaine elle se retourna vers Kenzo, l'écoutant en captant la moindre de ses paroles, la plus petite faille dans la voix du garçon. Un sourire se peignit sur ses traits quand elle entendit ses dernières paroles. Retirant dans un geste élégant les doigts du jeune homme de son épaule. Dans un murmure elle se rapprocha de lui, restant à quelques trente centimètres de lui. Elle se grandit légèrement, assurant son maintien de manière à paraître moins petite face à lui. Dans un rire mauvais elle lui répondit, tout à fait sûre d'elle :

-Je suis belle, attirante et sexy... Tu es conscient du fait que tu viens de formuler dans cette unique phrase la plus grosse bêtise de ta vie ?

Un rictus de malice enfantine se figea sur son visage et elle demanda, feignant un intérêt pour la première partie de sa dernière phrase :

-Non, je ne permets pas tout, la preuve, je ne t'ai pas engagé comme domestique alors que j'en ai le pouvoir. Ce n'est pas par rapport à toi, mais je déteste acheter les gens... C'est mal et l'argent ne fait pas le bonheur... Pour ma part il m'a tout prit...

Elle finie sur une note nostalgique avant de prendre son chat dans ses bras, le glissant derrière sa chevelure ébène, véritable écharpe vivante elle se détourna, l'image du crâne déchiqueté de son amie bien présente dans son esprit.

Kenzo écouta ellane lui parler, il eu presque un sourire en entendant sa réflexion sur acheter ses domestique.
En effet se qu'elle disait était peut être vrai mais il n'empêche qu'elle voulait d'une certaine manière avoir des gens à sa botte.

-Je ne vois pas se qu'il y a à t'avoir disse que je ressentais, me^me si cela me gène de te le dire ici, se ne sont que des sentiments. je n'est pas peur de les cachés.

Puis comme si quelqu'un l'interpeller il tourna la tête en direction de la porte ou il put voir le garçon dénommé byakko, quelque chose lui disait qu'ils allaient se revoir bientôt et cela ne serais pas le fruit du hasard.
Il reprit s'est esprit attrapa la valise de la jeune fille et passa devant.

-Aller suis moi, c'est par ici. Il dit ceci sans quitté des yeux le garçon.

Et il commença à partir dans le couloir encore désert...

Ellane eut un sourire carnassier qui ne présageait rien de bon. De ceux qui annonçaient une catastrophe dans les minutes qui suivraient ce signe annonciateur. En étouffant un rire cristallin dans sa main elle posa sa main sur l'épaule du jeune homme, le retenant du bout des doigts alors qu'elle maîtrisait le fou rire qui débutait dans sa gorge, une attitude enfantine qui détonnait sur les trois autres personnes présentes, celles-ci, aussi sages que des images se contentaient de la regarder avec l'air de celui qui a vieillit trop vite :

-Va falloir m'expliquer pourquoi tu as rougi comme une pivoine à l'instant où je te l'ai dit alors...

Puis elle capta le regard qu'il lança au garçon, et bien qu'il soit dépourvu de sentiment elle le transforma à sa manière. Se plaçant devant lui en faisant mine de se regarder les ongles d'un air interrogateur elle lui demanda, terriblement énervante et elle sentait qu'il n'allait pas tarder à péter un plomb, si ce n'était pas déjà fait, et elle eut un sourire encore plus agaçant :

-Peut-être que ton coeur est déjà prit, et que c'est pour ça que tu ne voulais pas vraiment hurler ce que tu pensais. C'est peut-être pour ça que ton teint à la couleur d'une tomate bien mûre en ce moment... Et que tu me regarde avec cet air là... j'ai percé ton secret.

D'un geste nonchalant elle désigna Byakko, puis sans se soucier du garçon qui devait fulminer elle s'avança, franchissant le seuil de la porte. Elle n'avait rien contre le jeune homme mais elle aimait le taquiner, c'était tellement facile à cause de son manque de répartie qui lui laissait le libre choix dans ses mots.

[désolé pour la longueur]