Le Marais Zélibard

Le Marais Zélibard

Habitants

- vouivres (moyenne sous sa forme de femme fée, immense sous son apparence de dragon. Quand elle se fait dragon, elle ressemble d’avantage à un serpent ailé au cors recouvert de feu, ses yeux sont toujours clos car ce ne sont que des cavités vides avec paupières, et son seul œil est sur son front, un immense diamant luminescent. Quant elle se fait femme, elle a des cheveux soient très noirs, soient d’un blonds roussâtre, elle est élancée et musclée, a des yeux verts d’eau. Elle ne fréquente d’habitude que les eaux limpides et claires, mais ça leur est devenus rare, chasser par les hommes, la plus grosse partie s’est exilé dans le marais. Leur activité principale n’étant que de garder leurs trésors ou ceux des autres, de manger le bétail qu’elles volent. Il leur arrive, par excès de colère ou fantaisie d’aller brûler des territoires ou détruire des maisons ou des petits villages entiers …)

- vila (toutes celles que peuvent prendre l’eau, peau de couleur cadavérique, cheveux aux couleurs du marais, joliesse enfantine mais dotée de cruauté, telles sont les vila. On dit que ce sont des jeunes fille s’étant noyée pour ne pas avoir épousé l’homme qu’elles aimaient, ou tout simplement pour avoir été trahit par se dernier. Elles ont soif de vengeance, aiment à épouvanter les pécheurs quand elles s’aventurent hors de leur marais pour voyager à travers les eaux douces, elles détruisent les moulins à eau qu’elles rencontrent, envoient des sors mortels à toutes les jolies filles qui viennent sur les berges pour chanter et coudre ou alors elles les précipitent sous l’eau. Elles aident cependant les habitants des berges à retrouver les cadavres des noyés, et, il leur arrive de guérir certains malades et de ressusciter certains morts. Elles sont immortelles et existeront tant qu’il y aura de l’eau à Othkar. Cependant, elles reculent face aux feuilles d’absinthe)

- fenettes (élancées, d’une beauté surnaturelle aux cheveux bruns ou blonds qui deviennent argentés aux temps de pleines lunes, légère et souples, ce sont des demoiselles des ondes qui ne se nourrissent que d’eau fraîche et de rêves d’amoureuses. Elles recherchent l’amour mais ont des critères très particuliers qui serraient longs à énumérer [sur demande pour les joueurs intéressés]. Elles sont cependant entière quand elles aiment et forment en raison de leur richesse de très bons partis. Elles connaissent tous les secrets de l’eau mais sont fières et hautaines, elle se montrent meme impitoyable avec les jeunes gens qui les repoussent, pouvant aller jusqu'à les pétrifier en pierre.)

- dames cygnes (elles sont de tailles moyennes et gracieuses, ont une chevelure phalénique «trempée de la nuit ou du soleil », des yeux remplis des remous du ciel, et une peau blanche, douce et parfumée comme le lis. Voilà pour ce qui est de leur apparence féerique, sinon, elles revêtent leurs plumes de cygnes et en prennent l’apparence délicate et gracieuse. Elles ont inventés les papillons blancs des marécages, les teintes argentées des boulots, elles ont forgées l’airain céleste et les cloches liliales de la lune, l’ombelle du sureau est aussi leur création, comme les rêves de voyages des veilleurs. Elles pondent des œufs des pierres de lunes et font chanter la rousseline, l’alouette du marais. On leur devrait aussi certaines neiges et certains nuages. Elles sont douces et patientes, mais il ne faut pas les menacer car là, elles deviennent dangereuses et violentes. Elles partent souvent en guerre contre les alfs noirs. Elles mangent des plats à base de safran sous leur forme féerique, mais sous leur forme de cygne elles se contentent de lentilles d’eau et de rupelles des pâturages. Elles sont les marraines des albinos qu’elles protègent.)

- dryades (mythe vivant de la beauté, ce sont des nymphes des arbres et des plantes mais qui prennent soin d’un endroit qu’elles choisissent sans en etre dépendante, à l’inverse des hamadryades. Elles ont une taille approchant d’avantage à celle des humains.)

- hamadryades (ce sont des nymphes de toutes les tailles mais n’excèdent jamais 90cm. Elles vivent nues et sont liées à un arbre jusqu'à la mort de celle-ci où elles meurent aussi. Elles meurent également si elles quittent trop longtemps ou si elles s’éloignent trop de leur plante. Elles ne choisissent pas l’arbre avec qui elles vivront, c’est une divinité, une force au-dessus de toutes qui la désigne et les y font naître. Elles sont immortelles tant qu’elles sont dans le corps de leur plante et embellissent les environs boisés rien que par leur simple présence. Elles vivent en majorité avec les êtres féeriques, mais certaines exceptions partagent leur vie avec leur plante et un humain …).

- danseurs de brumes (êtres d’apparence humaine mais n’étant que de brume et parfois aussi flou qu’elle. Vêtues de robe diaphane et de manteau ou de tunique de brumes, ses êtres d’allures masculines et féminines passent leurs nuits, seuls moments où ils semblent vivre et où ils se montrent, à danser, ou à blanchir le linge blanc qu’on leur apporte, y ajoutant meme des larmes solidifiées. En hiver, où ces êtres vaporeux et gracieux ne se montrent pas, on les entend parler leur langue musicale et cristalline qui semble monter des flots inertes.)

- hyter sprites et fériers (pas biens grands, menus, gracieux, forts agréables à regarder, à la peau très pale et saupoudrée de talc doré, traits fins et grands yeux en amandes, et bouche toute petite, étant tellement fins qu’ils peuvent marcher sur les marais et sables mouvant sans s’enliser. Ils ont une forme d’oiseau le jour et d’elfe la nuit, mais ils aiment à rester dans un mélange des deux formes, habillés de somptueux et raffinés vêtements dignes des plus hautes coures d’Othkar. Ils vivent dans des tours bâties habilement dans des endroits du marais qu’ils rendent ainsi surprenant. Ils ont un appétit d’oiseau qu’ils rassasient par des graines de toutes sortes, et des graines de safran, que seul eux savent cultiver dans le marais. La différence entre les hyter sprites et les fériers sont quasi-inexistantes, ou il faut etre un férier ou un hyter sprite pour les connaitre. Ce sont deux peuples cousins qui se sont réunis à deux endroits jumelés du marais, les fériers se trouvant plus près de la mer, et les hyter sprites plus près de la foret d’Orphale. Ils passent leur temps a vivre comme des êtres elfiques, à symboliser la futilité des richesses matérielles car ils vivent dans le marais Zélibard, bien qu’ils sont loin d’etre pauvres, la brièveté des règnes car ils ne vivent pas longtemps, et l’éternité des légendes car ils semblent, malgré leur faible longévité, avoir toujours exister sur terre.)

- salamandres (taille et aspect des salamandres, ou des tritons. Mais ils alternent aussi avec leur forme elfique, habillés de justaucorps et de pantalons collants, rouges et tout brodés d’or, avec une petite couronne en or sertie de rubis, ils ressemblent à de petits hommes et de petites femmes, mais entourés d’un feu qui ne consume pas leurs habits. Ce meme feu leur apporte tout et leur sert autant de nourriture que de protection. Ils vivent dans les marrais ou les rares marres à vendoises, ils évitent les hommes et leur parlent très très peu. Ils ne fréquentent que les alchimistes, les mages, les sorcières, les philosophes et les fées, et encore, ceux qu’ils choisissent et jugent bons d’entretenir de leur savoir. Quand ils se mettent au service des hommes, ils leur transmettent tout leur savoir et l’art de maîtriser le feu, des secrets d’orfèvreries, d’alchimie et de fonte des métaux, mais dans la nature, ils s’enseignent mutuellement et vivent entre eux, profitant de leurs plaisirs et de ce que la nature leur offre. )

- jouroupari (un peu plus grand qu’un homme il est cependant hideux et difficile à décrire : face de crapaud, crocs saillant, tignasse teigneuse et abondante, bouche déchirée par des rires horribles, narines gluantes, … Tout lui est bon pour semer le mal au près des hommes et des autres créatures)

Flore

- flore fays (plantes rendu magiques par la présence d’un esprit qui n’est pas une dryade ou une hamadryade et qui les habitent mais ne les animent pas mais leur confère plus de puissance, de rigueur et d’importance. Il est important de les respecter et de ne pas les mutiler, couper, ou autre en raisons de surprises plus surprenantes les unes que les autres … La plus grande majorité sont des arbres, mais on peut trouver d’autres plantes telles que des fleurs, des herbes, ect … Il n’est pas si aisé que ça de les reconnaître car ce sont des arbres immenses dont 25 hommes peuvent à peine ceinturer le tronc ou la tige et dans une foret vieille de plusieurs siècles ou millénaires, beaucoup de plantes sont impressionnantes.)

- divers hents (de toutes sortes, de toutes tailles, de toutes espèces d’arbres, il existe des centaines et des centaines d’hents différents. Ce sont des abres-humanoides, donc des arbres à l’apparence humaine, qui peuvent de surcroît se déplacer et utiliser leurs membres car ils sont pourvus de bras en plus de leurs jambes. Ce sont un peu les gardes champêtres du marais, ou d’autres sortes de gardiens protecteurs. Comme partout, certains ont « mal tournés », bien que ces derniers forment un très petite minorité car à la base, un hent est quelqu’un de bon, de généreux, de sage, de puissant et un très bon guide, ramenant les êtres égarés de toute sorte vers les sentiers connus, ou les endroits qu’ils doivent atteindre. Les hents sont cependant assez rare, pour 300 hectares, à peu près, on trouve un seul hent. Ils leur arrivent de se donner de grands et importants rendez-vous au cœur de la forêt d’Orphale, mais aussi de s’inviter entre eux. Il faut noter que tous les hents déchus résident ici, exilés par les hents de la foret, mais certains « bons » hents aimant les marais évoluent tout de meme dans ces lieux)

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Faune
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