Les informations que cherche Hikaru

Hikaru était un peu vexé par le comportement de la jeune femme. Il avait très bien vus Hiryû dégainé son Shinken dans le but déteindre sa cigarette mais il voulait être sur que c’était bien dans ce but qu’elle avait sorti son arme. Il n’avait donc pas bougé d’un millimètre, ce qui lui avait posé problème ce n’était pas le fait de ce retrouvé avec une fille armé probablement jusqu’au dent, non son problème était les manière de cette jeune personne. Si elle lui avait tous simplement demander il l’aurai éteinte mais elle voulait l’impressionné ou l’intimidé enfin c’était l’impression qu’il avait. Il ne fit aucune remarque à son commentaire et il continua à la suivre en silence tout en rangeant ce qu’il restait de la cigarette dans son paquet.

Arrivé au cimetière Tsukihoshi sauta de l’épaule d’Hikaru au pied d’un arbre et il se prépara à passer par-dessus le grillage. Hikaru s’aperçu que le félin avait vu Gon et il comprit très bien que ce dernier, en fixant sa maîtresse, lui faisait tous simplement par de sa découverte. Apres cela le fauve se propulsa par-dessus le portail fermer qui interdisait l’entré à qui conque et il fut rejoint par la femme au Shinken. Hikaru quand à lui était toujours légèrement vexé et décida de s’offrit tout de même le temps de fumer. Il grimpa assez facilement sur la branche où ce trouvait quelques instants plutôt Tsukihoshi et il s’adossa contre l’arbre en s’allumant la clope trancher. Il ne prêta aucune attention aux deux personne qui l’attendaient de l’autre coté. Pour lui il était hors de porter de leur odora et par conséquent ils ne pouvaient pas lui dire que l’odeur de la cigarette les gênés, de plus tout son attention était porté sur son compagnon qui comme à son habitude surveillait les environs pour qu’il n’ai aucun problème. Lorsqu’il eu fini de fumer, il fit un salto depuis la branche où il était perché par-dessus la portail et se réceptionna sur ses deux jambes juste aux cotés d’Hiryû mais contrairement à Tsukihoshi il laissa démarque de son atterrissage au sol. Apres tout il était beaucoup plus lourd qu’un chat et bien moins souple mais cela n’avait aucun importance puis que pour un homme réussir un saut comme celui-ci ce n’était pas courant. Hikaru se tourna alors ver la jeune demoiselle pour lui demander du regard s’ils étaient arrivés et si ce n’était pas le cas pour lui dire qu’il était prêt pour la suivre. Ensuite il reprit son aire impassible en attendant sa réponse.

Hikaru réfléchi énormément sur sa première question et sur la manière dont il allait la formuler. Il finit par opté pour un petite discourt qui devrait contenir tout les questions qu’il avait en tête.

« Soit, dit il en soupirant, ce que je souhaiterai savoir c’est : Qui sont exactement les Magisters Magi, comment ont-ils été créer, pourquoi il y a un cimetière dans une école, quel est le rôle de ce groupe dans cette établissement. Et j’aimerai savoir la même chose pour les filles de la lune et les Ministers Magi. »

Hikaru s’installa sur la tombe et il tendit son bras. Gon vain se poser sur son bras puis il se mit sur son épaule. La Hikaru présenta rapidement son compagnon et il attendit les informations qui lui avaient été promises.

Hikaru, voyant bien que sa bienfaitrice ne lui disait pas tout, il décida de suivre son petit jeu, après tout elle lui cachait des choses pourquoi allait il se gêner dans faire autant.

« Vous êtes la seule personne à m’en avoir parlé. J’ai parlé des filles de la lune à cause de l’emblème que vous avez. L’emblème avec deux lunes superposées, l’ombre d’une fille et la louve romaine. J’aime l’histoire et je sais que d’après la légende de la fondation de Rome les deux frère Romulus et Remus, on était élevé par une louve qui était, souvent dans l’antiquité, associez à la déesse de la lune. Avec les deux lunes, la louve et la jeune fille on peut en déduire logiquement que la louve et là pour symboliser le lien entre la fille et la lune. Et ce lien serait le même que celui qui uni une mère à sa fille d’où le nom les filles de la lune. Mais tout cela n’était qu’une pure supposition de ma parts, maintenant je sais que je ne m’étais pas trompé et qu’en plus vous fait partie de ce clan. Comme quoi, le compte pour enfant, moins possible que le fait que le père noël existe, est bien réel. Cependant vos histoires de magicienne qui protège le monde j’ai bien du mal à y croire et de plus je suppose que bien évidemment vous n’appartenez pas au groupe des magisters et donc cela servirait à rien si je vous demandez de bien vouloir me faire une démonstration afin de me convaincre. »

Après cela Hikaru s’interrogea énormément, il n’avait pas l’habitude dans dire autant est surtout il n’appréciez guère son comportement plus que déplacé avec c’est insinuation douteuse. Ce n’était pas dans ses habitudes de parler ainsi et d’être si irrespectueux. Et à peine avait il fini de parler qu’il s’en voulait et malheureusement pour lui il ne pensait plus a caché ses émotions. Pendant plus d’une minute il laissa à Hiryû la possibilité de lire en lui mais il se reprit assez rapidement et il espéra qu’elle nu rien vu.

Hikaru n’avait pas grand-chose pour lui, il n’était pas particulièrement beau et les études n’étaient pas son fort cependant il avait un esprit extrêmement logique et surtout il avait un très bon cens de l’observation. En tout cas il était suffisamment bon pour remarquer la lueur de tristesse qui avait parcouru l’espace d’une seconde le visage d’Hiryû. Hikaru ne réfléchissa pas longtemps après avoir vu cette ombre sur la jeune fille, en fait il pensait que le moment était venu de jouer carte sur table. Son visage prit la même expression que celle d’Hiryû. Et il la garda suffisamment longtemps pour voir une légère lueur de doute à travers les yeux plus d’envoûtant de la jeune femme.

« Je vous propose un petit marcher, fit il en gardant son aire de défi. Nous cessons cette mascarade, ainsi que tout ces petits testes que nous faisons l’un sur l’autre et nous jouons franc jeu, continua t’il tout en passant d’un aire de défi à un petit sourire amical laissant paraître une sincérité que personne ne pourrait remettre en cause. Je vous propose qu’à partir de maintenant nous nous disions plus de mensonge et que l’on n’oublie plus certain détaille. Quand dis tu ? »

Hikaru avait fini avec un regard rempli de tristesse mais qui laissait parfaitement voir qu’il était sincère. Se qu’il faisait il le savait parfaitement, il laissait une personne qu’il venait tout juste de rencontré avoir la possibilité de voir ce qu’il avait au plus profond de lui à ce moment. Il savait aussi qu’elle se doutait qu’il ne la laissera probablement plus jamais la possibilité de savoir ce qu’il ressentait.

Hikaru en était sur cette fois elle était franche et sincère. Il ferma les yeux l’espace d’un court instant afin de se donner du courage pour la suite. Il jeta un rapide regard à son compagnon pour lui dire de rentrer et de ne pas s’inquiéter. Il déposa ensuite Tsukihoshi au sol et il vain silencieusement au prés d’Hiryû. Il s’accroupi devant elle, elle avait toujours la tête baisser et Hikaru entendait un petit sanglot à peine audible malgré le peu de distance qui les séparait. A cette instant le jeune garçon vu une larme perlé sur la joue de la ministers. Hikaru en voyant cela, saisi délicatement le menton de la malheureuse et il lui fit doucement relever la tête pour pouvoir la regarder. Il avait un très léger sourire rempli de compassion et de tristesse. Avec sa main libre qui ne tenait pas le menton d’Hiryû, Hikaru sortit un mouchoir et sans mots il essuya la joue sur la quel une larme venait de rouler. Hiryû c’était complètement laissée faire mais contrairement au reste de la soirée Hikaru ne chercha nullement à savoir ce qu’elle pensait en ce moment. Une fois qu’il eu fini son entreprise il la regarda :

« Tu as été honnête avec moi alors je vais te dire la vérité, avait il dit d’un ton apaisant. Je n’ai pas découvert l’existence des fille de la lune à cause de ton emblème mais grâce à une jeune fille que j’ai rencontré un peu plutôt aujourd’hui. Elle a parlé des votre clan quand elle c’est présenté ses mots étaient :

‘ Je m'appelle Kaitlin Iceglove. Je suis élève de première L, bras droit des Filles de la Lune, ten'jouin de Lia Tsukihana et membre des Magister Magi ‘

L’emblème m'a juste permis de comprendre que tu faisais partie de ce clan. »

Hikaru marqua une pose à ce moment la, tout en détournant légèrement le regard ver le ciel.

« Sinon il est vrai que je suis généralement triste, il marqua une nouvelle pose avant de regarder de nouveau Hiryû. Pour le moment c’est sans importance, un jour, lorsque nous serons plus proche, alors peut être que nous nous confirons l’un a l’autre les raisons qui nous rendent si triste. »

Il l’observa toujours de sa position peu confortable elle ne lui avait encore rien répondu et Hikaru évitait volontairement de la regarder dans les yeux. Il ne voulait pas violet son intimité, pour lui les yeux étaient le reflet de l’âme et la seule porte qui pouvait contenir tous nos secrets les plus chers. C’était en partie pour cette raison qu’il gardait habituellement son regard impassible. Hikaru la vu être parcouru d’un léger frisson et il ne chercha même pas à savoir si ce frisson était du à un souvenir qui avait refait surface ou si elle avait froid. Non il ce contenta juste de retiré sa veste et da la mettre sur les épaules d’Hiryû.

« Il commence à faire froid peut être devrions nous rentrer nous mettre au chaud, avait il dit avec le plus de gentillesse qu’il était humainement possible de faire. »

Hikaru attendit alors une nouvelle fois la réponse de la jeune fille qui s’emblait toute fois perdu dans ses pensées mais il était patient et il ne voulait pas la brusqué ni même la laisser toute seule. Il le savait déjà inconsciemment, il allait la raccompagnée jusqu’à la porte de sa chambre et cela il ne reviendrait pas dessus. Il était comme ça et la plus par du temps et rien ne pourra le changer.

Hikaru avait très compris ce que sous-entendait Hiryû. Il remit sa veste et son visage reprit son impassibilité. L’affaire était entendu et cela lui convenait parfaitement cependant il était toujours inquiet pour elle. C’était l’un de ses défauts que de s’inquiéter pour les autres même lorsqu’il connaissait a peine la personne concerné puis cela lui donnerai l’occasion dans apprendre plus sur les ministers magi et sur les filles de la lune. Le vrai problème était qu’il avait déjà mangé un peu plutôt mais bon il allait faire avec.

« Pourquoi pas ça me permettra de voir où ce trouve la cafeteria et de visiter un peu les lieu. »

Après cette petite phrase il fit signe à la Ministers qu’il était prés à la suivre.

Alors qu’ils arrivaient sur allée centrale Hikaru vu Hiryû s’arrêter et avant qu’il n’est eu le temps de le demander ce qui n’allait pas elle chuta. Heureusement pour la jeune ministers Hikaru avait de bon réflexe et il la rattrapa avant que sa tête ne heurte le sol. Maintenant pour Hikaru il n’avait plus le chois, elle était dans ses bras et il se sentait responsable d’elle. Il la posa doucement parterre, puis il prit son pou. Légèrement soulagé de sentir que son cœur battait encore il vérifia immédiatement qu’elle respirait bien. Voyant qu’elle n’avait pas l’aire d’avoir de problème de respiration il la porta alors jusque sur un banc non loin et il se mit à réfléchir à tout vitesse. Il voulait l’emmener a l’infirmerie mais il ne voulait pas prendre de risque en la déplaçant une nouvelle fois après tout il n’était pas médecin. Alors que devait il faire, Devait il la laisser la et aller chercher du secourt ou devait il resté à ses cotés. Il décida alors qu’il devait aller chercher de l’aide. Il retira une nouvelle fois sa veste et il la posa sur elle afin de la protéger du froid puis il mit son sac sous sa tête pour qu’elle soit un peu mieux. Il dit à Tsukihoshi de bien la surveiller pendant qu’il allait chercher de l’aide. Il se mit alors à courir aussi vite qu’il le pouvait pour aller à l’infirmerie mais alors qu’il allait rentrer dans un bâtiment gon émit un cri perçant. Hikaru s’arrêta nette et regarda alors Gon celui-ci poussa alors un second cri, Hikaru reparti donc dans une course effréné pour retourner à son point de départ se maudissant de ne pas l’avoir emmener avec lui. Il ne la connaissait que depuis peu mais il ne se serait jamais pardonner son erreur, si quelque chose lui était arrivé… Non il ne voulait pas y penser, il fini par entrevoir Hiryû elle c’était redressée. Il fini par la rejoindre a bout de souffle les deux mains appuyées sur ses genoux. Il n’était pas un grand sportif et il le savait.