en partant pour la fête d'halloween[privée]

[rp pour kenzo et trisha]

Quelque temps avait passer depuis le début des cours. La fête pour halloween avait commencé. Kenzo descendis les escaliers de son dortoir pour se retrouver en bas des deux, celui des garçons et celui des filles.

Il avait revêtu son costume de chevalier gothique, heaume, armure, épée, un vrai chevalier, de bleu et de rouge. Une épée dans le fourreau, fausse peau de loup sur le dos, on pouvait distingué des petits point rouge à la place des yeux, simple truquage;

Il attendit sur un banc en béton que les autres descendent pour commencer la fête.

La soirée promettait d'être belle. Peut être y aurait il un bal ou un spectacle qui sais, en faite kendo ne s'était pas penché sur la question, trop de question se bousculé dans son crane et aucune réponse ou justement trop de réponse incohérente, il avait donné rendez vous à trisha pour qu'elle l'a compagne à cette soirée.
Il ne savait pas si elle allait acepté ou refusé cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas vu et cela commençait à lui manquer;
En effet, la soirée qui c'annonçait, allait être très belle!

Série de post n° 10

Trisha se regardait dans son miroir, brush à poudre à la main, à la recherché d’un défaut dans son maquillage. Après avoir retouché un infime détail, la jeune américaine se sentit satisfaite de son travail. Voilà plus de 45 minutes qu’elle était revenue de l’infirmerie avec son costume sous le bras et qu’elle se préparait.

Et maintenant, elle était un peu en retard pour son rendez-vous avec Kenzo. Ils ne s’étaient pas vu de l’été, et avec le rush de la rentrée qui avait amené son flot d’élèves, les chances de se rencontrer étaient descendues en chute libre…

Avec un froufrou de tissus agréable à entendre, Trisha sortit dans le couloir et s’achemina vers le point de rencontre. Elle avait choisi un costume de Dame du Moyen-Age, avec un corset intégré à une longue robe, des manches fendues au large poignet, du fait que le vêtement trainait à terre si elle laissait pendre ses bras. Aux USA, il n’existait pas de costume d’époque aussi éloignée. Après tout, le costume de colon/père fondateur ne datait que des années 1790 !!

– « Hi Kenzo! Je veux dire, bonsoir! » Trisha était très fière de ses progrès en français, même si elle avait gardé son accent et commettait plus de fautes que n’importe qui. « Je ne pensais pas que France célébrait Halloween. It is cool, isn’t ?»

La jeune fille trépignait presque d’impatience en entendant la musique et les rires en provenance du parc.

kenzo toujours dans ses pensées aller finalement partir pensant qu'elle ne viendrait pas à son rendez vous, il fut surpris d'entendre trisha; quand il se retourna il resta bouche bée devant la beauté de trisha et de son costume.
Ils étaient tout simplement resplendissent, au point que kenzo en perdis son français:

-you are very beautiful... mais qu'est ce que je parle en anglais moi!

Il n'osa pas regarder trisha dans les yeux, il continua cependant a parlé:

-tu ... Tu voudrais bien être ma cavalière pour le bal? tu dois avoir l'habitude de cette demande.

Ses doutes et ses questions se sont envolé rien qu'en la regardant, il était à la foies rempli de joie par le faite qu'elle est répondu à son invitation mais chagriné par le faite des question qu'il envisagé de lui posé mais pour l'heure elle devait lui réponde a c'elle ci.

– « Indeed… » Trisha eut un sourire de satisfaction en brossant le velours pourpre de sa robe. Tant bien que mal, elle résista à l’envie de tournoyer sur elle-même comme une gamine. Des costumes comme ça, elle l’en portait pas souvent. « J’ai l’impression d’être une sorte d’elfe, tu sais, comme dans Lord of The Rings. Et tu n’es pas mal non plus…»

Sans sourciller, elle écouta sa demande, sans même réaliser le trouble de son cavalier ;
– « Or course I want. I will not be here if not… Bon, on y va? J’ai déjà fait un tour en allant chercher le habit, mais je veux voir de près! Go go go ! »

Impatiemment, elle tira Kenzo par le bras pour le forcer sur ses pieds et le traina sur quelques pas.
– « So, what is news? Comment ça va avec les cours?»

Il suivit tant bien le rythme qu'imposer trisha, il avait encore un peu de mal à se déplacer avec se costume.

-doucement, on as tous notre temps, pas la peine de se presser!

Il ralenti l'allure pour marcher normalement;

-oui les cours sa va, bien en math et physique, et moins bien en français et anglais. Tu as du déjà remarquer que j'ai un accent pitoyable, je t'interdit de te moquer, dit il sur le ton de la plaisanterie. Et toi, tes cours? Je vois que tu as fais beaucoup de progrès en français, félicitation!Tu t'est as fait connaissance avec du monde? J'ai un peu parler avec madame Yuki, méme si je ne la porte pas dans mon coeur je trouve que c'est une femme droite, juste, qui ne trahi pas ses promesses, si tu voit de quoi je veut parler?

Il la regarda du coin de l'oeil enfin autant qu'il le pouvait, guettant une quelconque réaction, il n'espérait ne pas la braqué en tournant autour du pot. Et oui, il n'avait pas décider de renonçait a sa quête de la vérité!

– « Ton accent doit être aussi horrible que le mien…» rassura Trisha, bien qu’en son fort intérieur, elle grimaçait à chaque écorchage du son “th”. Mais elle se doutait qu’elle donnait la même impression, et tant qu’on restait compréhensible, le reste était presque secondaire…

La musique se faisait plus forte et les vibrations des basses commençaient à se faire ressentir. Déjà, les rires et cris des autres élèves les enveloppaient. Kenzo avait beau lui dire d’y aller doucement, elle ne put s’empêcher d’accélérer le pas…
– « Hum? What ? »
Toute prise à la considération de sa fête, elle n’avait pas trop écouté son cavalier du soir. Mais alors que son discours imprégnait son cerveau, Trisha sentit que le sourire de son visage s’envolait.

– « I see… But I am not sure this is a good time… It may spoil the fun… You know I don’t like this woman…»
Automatiquement, elle avait parlé en anglais. Ah, la jeune américaine savait que tôt ou tard, elle devrait affronter Kenzo, mais elle avait espérer que la reprise des cours lui aurait fait oublié tout ça…

– « I mean… Oui, elle semble avoir des convictions…» Tu parles! Elle en avait tellement qu’elle demandait de l’autre à n’importe qui sans les connaitre, mais sans leur donner des explications ou sa confiance. « Mais bon, les promesses, on est censé les tenir, non ? Tout comme garder les secrets ? »

Tentative de noyer le poisson n°1.
Tentative de tâter le terrain n°1

La soirée s’annonçait longue…

Trisha se mordit la lèvre de contrariété. Elle ne voulait pas blesser Kenzo en ne lui parlant pas, mais elle ne voulait pas l’impliquer dans une chose qui le dépassait. De plus… elle se demandait ce que savoir la vérité lui apporterait. Un simple humain… détenir un tel secret… Dans ce cas, elle était d’accord avec Yuki… C’était dangereux… Et si elle disait vrai sur ce Yosuke, c’était mettre Kenzo en terrible péril…

Pourtant…


La jeune américaine se planta droit devant son interlocuteur, sans même chercher à retirer sa main. Quelque part en elle, une Trisha rejettée par les autres et asociale hurlait de peur et d’embarras. Jamais quelqu’un n’avait été aussi familier que lui, et surtout de façon si spontanée et non calculatrice. En d’autres circonstances, elle… elle aurait quoi ? rougit ? bégayer ? hurler de rage ? frapper Kenzo ? Le foudroyer sur place ? Qu’importe…

Elle plongea son regarda dans le sien et inconsciemment, elle se rapprocha de lui, au point que leurs visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.
– « Ferme les yeux…»
Elle ignora l’expression bizarre qui se dessina sur le visage de Kenzo. Elle eut un claquement de lèvres excédé et répéta son ordre, de sa voix de princesse de glace la plus froide possible. Cette fois, il obéit.

– « Calque ta respiration sur la mienne. Concentre-toi sur les basses de la musique que nous entendons, right ? Ferme toujours les yeux. Et fais le vide dans ton esprit. Imagine un arbre, un bel arbre plein de feuilles vertes.»
Trisha commença par invoquer sa propre affinité primaire, pour entrer en résonnance avec Kenzo et réveiller son potentiel – si potentiel il avait…

– « Un éclair traverse le ciel… Il ne pleut pas, mais il y a des éclairs… Image le bruit du tonnerre.. Et il illumine la scène…»
Elle passa à l’affinité suivante mais se sentit aucun changement…

– « Un éclair se reflète dans une grande rivière paisible, large… L’eau coule doucement…»
Elle n’eut pas besoin d’aller plus loin… Elle ressentit une pression dans sa paume, celle que Kenzo serrait.

Affinité eau. Ainsi, il avait un potentiel magique. Balbutiant encore, mais existant. Avec ce simple test, Trisha ne pouvait pas savoir sa puissance, mais elle ne voulait pas aborder ce sujet maintenant. Ayant obtenue la réponse qu’elle cherchait, elle décida de se lancer. Peut-être que son appréhension à lui confier la vérité venait du fait que son affinité s’opposait à l’une des siennes ?

La jeune fille se redressa et retira sa main, pour s’éloigner de Kenzo :
– « Now… Now that you are calm… Tu es sûr de vouloir connaître la vérité ? Cela peut te mettre en danger. Je te l’ai déjà dit, ce n’est pas… c’est… » Elle buta sur les mots et, exaspérée par sa mémoire défaillance et stressée par la situation, elle sortit assez sèchement ; « De toute façon, pourquoi tu me demandes ? Tu dois bien avoir ta réponse non ? A moins que tu ne sois stupide !!!»

Kenzo fit le vide dans son esprit. Il fit tout ce trisha lui disait. Dans un premier temps, il imagina un arbre, cette image ne lui fit ni chaud ni froid, aucune émotion ne lui venait;
Ensuite vint un éclair, rapide, aveuglant, dangereux, la peur l'envahit aussitôt;
c'est alors qu'une rivière fit son apparition, il fut envahit par le calme et la tranquillité, loin de tout ses soucis.

La réalité le rattrapa, il avait senti trisha enlevait sa main de le sienne, le temps qu'il retrouve ses esprit, il ne comprit pas se qu'elle lui disait, il n'entendit que la dernière phrase.

Le ton avait changé, elle était énervé, depuis des semaines il chercher une explication à tous ses mystères. Soudain il lui dit sur un ton calme mais néanmoins sec:

-si je suis venu te voir c'est bien par se que je ne comprend pas.

Un gémissement sourd s’échappa des lèvres de Trisha, qui regardait Kenzo avec les yeux d’un chiot abandonné sous la pluie. Lui mentir lui faisait du mal, mais elle ne pouvait pas se résoudre à le jeter dans un monde auquel il ne comprendrait rien.
*« Pourtant, il a un potentiel… Mais s’il connaît la vérité, il n’aura pas d’autre choix que de devenir magicien…»*

Elle tenta encore une fois de fléchir Kenzo, mais ce dernier voulait absolument la vérité. Rien de ce qu’elle dirait ne le ferait changer d’avis.
– « Kenzo… Quand tu seras la vérité, tu devras… il n’y aura pas de marche arrière. Tu devras assumer les responsabilités qui vont avec… Et c’est dangereux. Très dangereux, je te l’ai dit…»

Décidemment non. Soit il ne la croyait pas, soit il voulait savoir, au péril de sa vie. Ne pouvant plus reculer, Trisha se lança. Elle prit une inspiration et redressa les épaules, la tête droite et le menton orgueilleux, bien qu’il soit un peu tremblotant :
– « Cette bête que tu as vu, c’est un dragon. Et je m’étais bien blessée, mais je me suis guérie avec un sort de soin. Tu vois, la magie existe, ce n’est pas un conte pour enfants…»

Voyant son air ahuri et choqué, Trisha soupira. Voilà qu’il allait dire qu’elle mentait. Aussi se concentra-t-elle un instant sur son affinité Feu. Beaucoup plus instantané et spectaculaire que la Terre. Au creux de sa palme tendue, face vers le ciel, une petite flammèche de feu naquit et grandit. Le brasier dégageait chaleur et lumière pourtant, Trisha ne brûlait pas. En fermant la poing, elle étouffa le feu :
– « Je suis une magicienne, versée dans les Arts des Affinités. D’autres préfèrent les Arts du Combat… Je suis un Magister Magi… et toi…. Toi aussi tu peux en devenir un…»

Écoutant trisha, kenzo ne remarqua méme pas que sa bouche était grande ouverte, voyant l'incompréhension de kenzo trisha lui fit une petite démonstration. A se moment là, son casque tomba, il voyait la flamme nêttre dans le creux de la main à trish mais ne comprenait pas comment cela était possible, et puis un dragon! tous se qu'il comprenait que trisha et les autres était des êtres exceptionnelles, doté de pouvoir grandiose.
Il tendit sa main vers le petit feu, il voulait essayer de le toucher, méme si celui ci allait certainement le brûlait, mais avant qu'il puisse atteindre la flamme trisha l'avait éteinte.

Il resta un moment comme sa, essayant de recolait les morceaux d'une futile logique, puis il regarda sa main, elle lui avait dis qu'il avait en lui un potentiel, alors que l'empêcher t'il de faire la méme chose, il essaya de se concentrer sur sa main, creer une flamme, mais l'image de la riviére lui revient en tète, il referma sa main.

Il regarda trisha dans les yeux,

-Wahou! et bin... j'étais loin de savoir sa. disons que je suis quelqu'un de très rationnelle, je n'est méme pas peur de l'apprendre en faite comme si je l'avais toujours sut... tu ... tu as parlé de deux catégorie de magicien. Tu pourrais savoir à qu'elle catégorie je fais parti? En tout cas merci de m'avoir dis la vérité... je pense que sa à dut être une décision lourde de conséquence pour toi aussi bien au niveau de tes "collègues" que de toi, je... je ferais tout mon possible pour ne pas te décevoir et vous trahir et puis le danger et si excitant!

Il lui sourit pour la rassurer, mais derrière se sourire se cache un être perdue, sans repère mais libre de sa destinée.

– « Le danger n’a rien d’excitant. Au contraire… Il faut toujours garder la tête froide ! » Trisha était automatiquement passée en mode « professeurs » et tentait dès à présent de calmer les ardeurs de Kenzo et lui inculquer un minimum de prudence. « On le dit toujours, mais c’est vrai: avec le pouvoir vient les responsabilités. Si tu commences à n’en faire qu’à ta tête, ou si tu es trop audacieux, à mettre notre communauté en péril, je n’hésiterais pas à t’effacer les souvenirs du cerveau… Et comme c’est une opération difficile, je pourrais effacer plus que nécessaire… voire même te rendre débile pour le restant de tes jours. C’est bien pour ça que j’ai tout fait pour ne pas avoir à te dire la vérité.»

Oui, elle dramatisait. Juste un peu. Suffisamment pour faire peur à Kenzo, elle espérait. L’effacement de mémoire n’était qu’une solution ultime à une situation critique. Par contre, elle n’avait pas menti. Effacer les souvenirs pouvait être dangereux. Après tout, on manipulait l’essence même d’un être vivant.

– « Quant à ta première question… Je ne peux pas savoir quel genre de Magi tu vas être. Ça dépend de toi, et de comment tu réagis au deux sources de pouvoir. Il y a l’énergie magique, essentielle aux invocateurs, ce qu’on appelle couramment les sorciers. Leur nom officiel est les Magister Magi. Puis il y a le « ki », énergie combative utilisée par les Minister Magi, une sorte de guerrier. Pour autant, nous n’avons pas d’armées et nous ne sommes pas sanguinaires… Imagine-nous plutôt comme des Jedi de Star Wars… Tu devrais intuitivement savoir avec quelle énergie tu te sens plus proche… »

Trisha tourna la tête vers la fête et la musique. Elle qui voulait tant s’amuser ! Et voilà qu’elle était en train de donner un cours sur les bases des Magi.
– « Il va te falloir du temps pour assimiler tout ça. Je ne te demande que trois choses : n’en parler à PERSONNE, ne pas essayer d’activer ton potentiel SEUL et de venir me voir si tu es prêt à franchir le pas. Tu sais peut-être la vérité, mais tu n’es pas encore un Magi… Tu peux encore rester « peu » impliqué dans cette histoire. Prend bien la mesure des choses. Il n’y aurait pas de retour en arrière une fois que tu commences à t’entraîner. On est Magi ou on ne l’est pas. Un apprenti avec un peu de savoir est un danger ambulant pour lui-même comme pour les autres. On ne te laisserait pas arrêter parce que tu n’aimes pas ou parce que tu as peur… Alors, réfléchis bien…»

Trisha le considéra froidement, avec l’attitude correspondant à la chef des Magister Magi. Il ne savait pas encore qui était vraiment Trisha, mais il devait maintenant savoir qu’elle n’était pas qu’une simple magicienne.
– « Je vais aller au bal. Libre à toi de venir avec moi. …»

Avec un bruissement de velours, elle lui tourna le dos et s’en alla vers la source des sons et rires. Malgré elle, les larmes perlèrent au coin de ses yeux. Pourquoi avait-il fallu qu’elle soit née Sullivan ? Pourquoi n’avait-elle pas eu la chance qu’avait Kenzo, de choisir ou pas d’être un Magi ? La vie était vraiment injuste…

Elle soupira tristement, son impatience de la fête envolée…

[HS/ tu peux la rattraper, bien sûr]

kenzo l'écoute attentivement même lors des passage de remontrance, si si. Elle devait avoir une grande connaissance de la magie pour lui tenir de tels arguments.
Il réalisa subitement comment trisha devait gérer son don par rapport aux personne normale, justement avant d'être au courant c'était une personne normale, avec un grand potentiel.
Il la regarda partir au bal, il réalisa soudain qu'il s'était déguisé à la base pour le bal.
Il ramassa en vitesse son casque et la rattrapa, il posa sa main sur son épaule, il remarqua qu'elle commençait à pleuré, le jeune homme se senti mal pour elle.

-Donc sa veut dire que je vais avoir beaucoup de travaille à faire, ho grand maître! Bien dans ce cas profitons de la fête alors, je suis sur qu'ils attendent la reine du bal!

Trisha ravala ses larmes du mieux d’elle put. Ce n’était pas facile, mais elle avait l’habitude. Pendant des années, elle avait porté son masque de glace. Mais voilà que depuis qu’elle était arrivée en France, elle avait de moins en moins de facilité à garder sa froideur et détachement.
– « Reine de bal, reine de bal… Facile à dire… » grommela-t-elle, furieuse contre elle-même. Elle détestait se sentir faible et encore plus à le montrer.

– « Bon, on reparlera de tout ça plus tard. En plus, je ne te sens pas trop doué avec les affinités. Au besoin, on fera de toi un Minister, j’en parlerai avec Byakko. » fit-elle discrètement, se concentrant sur la musique, pour tenter de reprendre son calme.

Kenzo regarda trisch, lui avait il fais de la peine, en révélant son secret ou par un autre moyen...
Il vient juste à coté d'elle, il la dépassait mais de peu, il posa délicatement sa main sous le menton de trisch pour lui relevé la tête, puis calmement et doucement, il lui dit.

-Je ne sais pas se qui te met comme sa, mais j'y suis mêlée, alors s'est simple, soit tu arrive à changer tes idées et on va ensemble a cette fête, soit tu n'y arrive pas. Et dans se cas là, je te prête mon épaule pour pleurer et je reste avec toi, jusqu'à que tu aille mieux, que choisis tu?

Il la regarda, il aurait eu envie de lui sourire de lui montrait que tout allait bien mais il ne le fit pas, c'est vrai, elle lui révéla se soir la un terrible secret, peut être n'avait elle pas envie de rire...

Elle sentit une boule se former dans sa gorge, l’empêchant de parler. Pourtant, elle essaya, mais ne put qu’articuler des mots silencieux. Elle ne voulait pas pleurer, mais elle ne pouvait pas se changer les idées. Elle avait peur et soudainement froid. Comme un mauvais pressentiment n’arrivait jamais seul, la gentille de Kenzo avait quelque chose de cruel. Comme s’il ne se rendait pas compte de la facilité qu’il avait à se glisser au travers de ses défenses…

Trisha prit une série de courte inspiration, tentant de reprendre possession de ses émotions.
– « Je ne vais pas pleurer!» dit-elle un peu vivement. Puis elle soupira et posa sa tête sur son épaule. « Je suis juste…. Un peu fatiguée… c’est tout…»

Elle resta là, le front collé à son épaule. Elle avait un début de mal de tête et elle espérait que quelques instants de repos allait dissiper tout ça…

– « Tu veux faire quoi ? Parce que je ne pense pas que j'arriverais à leur faire croire que tu fais partie de mon costume » Trisha eut un sourire triste, et presque un rire silencieux en entendant la remarque de Kenzo. «Pardon, des fois, je sais pas pourquoi je dis ça, je m'embrouille facilement quand je sais pas quoi dire. »

Elle réalisa soudain qu’elle était presque collée à lui, et qu’il était sûrement gêné. Après tout, elle le serait, si quelqu’un qu’elle ne connaissait pas vraiment lui faisait ce coup là. Pas étonnant qu’il ne sût pas quoi dire… Il était trop gentil pour lui sortir un « casse-toi, t’es lourde » ou un « t’abuse pas un peu, non ? Je ne suis pas un oreiller… »
– « Désolée!» Elle se redressa et s’éloigna un peu, puis se retourna, faussement furieuse. « Mais qu’est-ce que tu racontes !!! Je suis une superbe partie de ton costume ! Je suis la Reine du bal, oui ou non ?» Elle fit une moue boudeuse et tapota le sol du pied, d’un air impatient. « On va danser, oui ou non ? »

Elle se rapprocha et presque timidement, se hissa sur la pointe des pieds pour déposer un petit bisou sur la joue de son cavalier.
– « Merci de ta patience! Je sais que je ne suis pas la easy going girl around…»

Puis elle virevolta sur place, le froufrou de sa robe accompagnant le mouvement.
– « Ton costume est very impressive! Un vrai guerrier! Really, you are a minister magi !!!»

kenzo respirat un grand coup, voilà la trisha qu'il connaissait revenir au grand galot.
il lui tendit la main.

-Allons y, princesse.

Il la prit par la main et commença à marcher doucement, son casque sous le bras et la main de trisha délicatement placé aux creux de sa main.
L'expression de minister magi lui trotté dans la tête.

-Tu peut me parler un peu plus de ces minister magi? comment sont il? sont il utile pour les magiciens... désolé je suis toujours sous le choc des magiciens comment celà et possible? J'ai toujour cru que la magie était que des tours de passe passe, je me trompé lourdement!

Il la regarda et sourit bétement avant de baisser la tête.

-je suis désoler si je te fais pleurer... c'est juste que j'éssaye de te consolé méme si je m'y prend comme un pied.

Trisha resta un moment silencieuse, rassemblant définitivement ses émotions avant de reprendre la parole. Etrangement pour elle, la jeune américaine ne fit pas un geste pour se défaire de la main de Kenzo autour de la sienne, elle qui détestait tellement les contacts humains. Peut-être parce que pour la première fois depuis longtemps, elle ressentait que l’attouchement n’avait rien de calculé ou rendu obligatoire par la pitié ou l’envie. Au contraire. La douce chaleur qui émanait de la paume de Kenzo contrebalançait la fermeté de sa peau. Elle se contentait de le suivre, sans vraiment faire attention à l’endroit où ils allaient. Le jeune garçon pouvait l’emmener là où il voulait, elle suivrait.

– « Que je pleure n’a rien à voir avec toi. Ou si peu. Tu me fais juste penser à des choses tristes. Pour moi, la magie n’a rien de surprenant, j’ai toujours su que j’étais une Magister. Je n’ai jamais eu ce côté « waouh ! »… Et puis… on ne va pas en parler maintenant !»

Elle termina d’un ton un peu sec, pour dissimuler son embarras, et les larmes qui menaçaient de recommencer à tomber.
– « Il y a peu de Magister, de vrais Magister éveillés dans le monde, qui ont gardé secrète leur existence. C’est normal, non ? Mais en fait, il y a beaucoup de gens sur Terre qui ont un potentiel Magister, mais seule une poignée le réalise. Toi par exemple… Si tu n’avais pas vu, tu n’aurais peut-être jamais cherché à savoir. Et tu n’aurais jamais réalisé que tu avais un potentiel. Ou peut-être pas… Enfin, tu vois ce que je veux dire. La découverte ne vient pas de toi commençant à éprouver des choses. »

Trisha s’emmêlait un peu dans ses explications, mais elle pensait avoir été claire. De toute façon, on s’en foutait un peu de comment Kenzo avait appris la vérité sur son potentiel…
– « So. Minister Magi. Hum, ce sont plus des guerriers, qui sont sensés protégés les Magisters, les sorciers. Alors que ces derniers utilisent leur pouvoir magique, les Ministers utilisent leur Ki…. Euh… il y a trois éléments chez les Magi. D’abord, le sang. C’est ta vie. Mais c’est aussi dans ton sang que se trouve l’essence de la magie. Cette essence se décompose en deux autres types de …. Matières va-t-on dire… Le pouvoir magique et le Ki. Les deux existent dans le corps. Même moi qui suis spécialisée dans le pouvoir magique, j’ai du Ki. Et plus je progresse, plus mon Ki augmente, même si j’en ai moins que mon pouvoir magique. Tu n’as qu’à voir ça comme le cœur et l’âme. L’âme, c’est le pouvoir magique. Le cœur, c’est le Ki. Dans ton corps, tu as les deux. Mais il y a des gens plus physiques et d’autres, plus réveurs… Ben voilà… les minister magi utilisent des techniques de combat, de défense, de soin, comme les magister, mais en utilisant leur Ki. You got it ?»

Kenzo écouta la fille à coté de lui, d'aprés se qu'elle disait, le corp des "magiciens" contenait une éssence qui était la même pour les ministére.
Il sourit puis il redevint sérieux.

-Tu n'es pas obliger de me dire tous sur toi, ton passé te dérange et sa se voit, je ne poserais pas de question la dessus, quand tu en auraus envie tu m'en parlera peut être par toi même, c'est normale, on a tous notre jardin secret , non?

Il la regarda avec un regard posé, qui se voulait rassureur et chaleureux, se n'était pas dans son attention de la faire pleuré et il n'aimait pas cela, faire pleurer les filles.
Il leva ensuite son regard vers le ciel nocturne, il se sentait bien avec trisch, il était tous les deux arrivaient pendant les vacances et, même si il ne se connaisaient pas du tout, le courant était trés vite passé entre eux deux, il sourit.

-Tu vois je ne serais même pas surpris que tu me dise qu'il y a une deuxiéme planéte peuplé uniquement de magicien et que certains sont déjà parmi nous. Il la regarda, cette phrase était sort avec un ton d'amusement, il rit même de cette plaisenteri.

– « Il ne faut pas pousser le bouchon, non plus! On pratique peut-être la magie, mais il y a des limites ! D’ailleurs, tu apprendras les règles de contrôle et de limitation bien avant que tu ne puisses faire un seul sort ou technique !»
Trisha avait repris sa voix de professeur. Elle avait tout à fait raison de recaler les choses. Surtout si ce message permettait d’esquiver la révélation d’Othkar. Elle-même n’avait appris que récemment l’existence et la véritable nature de ce qui avait toujours été pour elle une légende.

La jeune américaine fronça les sourcils. Non, ce n’était ni le moment ni à elle de parler d’Othkar. Si comme elle le pressentait, Kenzo devenait un minister, alors cela serait à Byakko de lui confier la véritable raison derrière des les Magi. Quand et seulement quand il trouvera son élève prêt à assumer pleinement son rôle de protecteur. Trisha elle-même avait du remettre en cause pas mal de choses en apprenant la vérité. Ce qui rendait les manières du Conseil Américains encore plus odieuses…

Enfin…
– « Ce qui va peut-être te surprendre, c’est que tu vas avoir un maitre… de tout juste ton âge. Byakko, un asiatique de terminale technique. C’est lui le maitre des Minister Magi. C’est à lui que tu poseras toutes tes autres questions. Parce que moi, je commence en avoir assez de parler, surtout quand j’ai la gorge sèche… »
Elle eut une moue boudeuse alors qu’ils arrivaient à l’aire de danse. Elle voulait s’amuser maintenant. Et elle voulait que Kenzo soit aux petits soins avec elle, comme un cavalier l’était avec sa cavalière. S’il l’avait invitée, alors il assumait. Et Trisha voulait un verre de punch. Maintenant !
Elle adoucit sa remarque par un clin d’œil avant de regarder autour d’elle, en essayant de repérer les gens qu’elle connaissait sous leurs costumes. Que la fête commence !

[HS/ tu peux envoyer un MP à Byakko pour voir s’il participe au RP, ou si vous vous faites un MP à part… les deux me vont très bien.]

Kenzo fut surpris, car son maitre aller être un éléve du lycée,qu'il n'avait jamais rencontrer, mais surtout que celui ci allait être du même age que lui, il devait être trés doué et la pratiquer depuis des années pour avoir atteind le rang de maitre.
Il atteignir la piste de danse, comme il s'en doutait trischa arréta la conversation, s'était normale il y avait beaucoup trop de monde pour la continué.

Il remarqua qu'elle le regardait bizzarement comme si elle voulait quelque chose mais quoi, il réfléchit, que pouvez avoir envie une fille dans un bal, un cavalier? non c'était lui. Une boisson alors, du punch plus précisément.
il sourit puis se retourna et lui dis par dessus son épaule.

-je vais te chercher une boisson, je reviens.

Il vers le stand de boisson où il prit deux gobelets et les remplis de punch, laissant trisch toute seul pendant plusieurs minutes.

[je l'ai envoyé, maintenant il faut vois si il vient ^^]

Trisha se permit un petit sourire satisfait et commença à détailler les costumes des autres filles. Filles, oui. La jeune américaine voulait être sûre d’être la plus belle en ayant le plus beau costume. C’était l’esprit de compétition qui voulait ça. Pour peut-être la première fois depuis qu’elle avait commencé son apprentissage de la magie, elle pouvait rivaliser avec les autres. Auparavant, personne n’osait lui parler, donc encore moins tenter de la défier.

Portée par la musique, elle ferma à moitié les yeux et commença à dansoter sur place. C’était agréable que ne rien faire, de se sentir en paix, sans avoir à se soucier de problèmes, de menaces venues d’autres mondes.

Seulement, quand on était une Magi, et encore plus la Chef des Magister Magi, il n’y avait ni vacances, ni temps mort. Quelque chose dans l’atmosphère provoqua une fissure dans le cocon qu’elle avait tissé autour d’elle. Pas forcément un danger, mais quelque chose de magique…

Mais quoi ?

Les jeunes se lachaient il n'y avait pas un seule espace pour se reposer, c'est avec difficulté que kenzo revint jusqu'a trish avec les deux punchs.
Il arriva dans son dos et pour ne pas la surprendre, il lui donna un petit couq de coude et lui tendit son verre.

Ne baignant pas dans la magie, il ne put sentir se qu'elle ressentait dans ce lieux. Il regarda les autres filles, sorciére, vampire ou encore amazone.il dit à trish entre deux gorgées.

-Alors, tu as trouvé des concurrantes pour le titre? moi oui, Il lui sourit.


Il regarda ensuite les garçons, il trouvait leurs costumes bien plus beau que le sein, mais qu'importe, se n'était pas lui de se juger mais les autres de le jugé. Il avait toujours tendance à se rabaisser, il manquait peut être un peu de confiance en lui.