Une randonnée dangereuse.

3h plus tard apres son terrible reve Jp, se leva bien decidé a monter au sommet de la montagne afin d'aller chercher une plante qui une fois sécher servait a faire descendre la fievre et guerir les petits ruhms.
Il se fit chauffer de l'eau dans une bouilloire et ajouta des feuilles d'une plante qui était censé donner un gout de café... mais le gout était horrible et donné la nausée. Mais bon c'est plantes avait de grandes vertues nourrisantes.

Après avoir avalé son breuvage Jp se dirigea vers LE placard de sa cabane d'ou il retira un pantalon en toile noire, un des derniers vestige de sa vie passé dans son monde natal. Il l'enfila puis rajouta sa tenu un pull artisanal en laine.

Il prit son kanata et un sac pour aller faire sa recolte, Kumo lui saute sur l'épaule et tout deu partir vers le chemin irrégulier conduissant au sommet de la montagne.


ps : voila je vais en balade, alors si un perso veut faire son entré en jeu c'est sans probleme, ou sinon si quelqu'un veut jouer le role de dûphon qui rode dans la montagne c'est aussi okai.

Série de post 7

Naeleny respira à grands poumons l’air frais, voire même froid, de la montagne. Après tout ce temps passé sous terre dans les quartiers de Ten’shi Kuro, revoir la couleur du ciel et la lumière du soleil avait été un bienfait considérable pour la jeune femme. Dans son giron, Jove était de son avis. Certes, il avait chaud et de nombreuses sources de nourriture dans le bas-monde, mais le serpent préférait de loin la nature de la surface…

Mais que faisait cette Malefactor si loin de son quartier général ?

Et bien, elle cueillait des fleurs. Pas juste des fleurs, bien sûr, mais des fleurs médicinales. Bien qu’elle ne soit pas docteur, elle avait une connaissance théorique des fleurs. Un des nombreux savoirs qu’elle avait accumulés lors de ses années de travail dans les bibliothèques. La jeune femme s’était donc portée volontaire pour aller récolter des herbes et autres ressources pour refaire les stocks du QG des Malefactors. De toute façon, il n’y avait pas grand monde pour cette mission. Les dragons noirs, les elfes noirs et les nains trouvaient que cueillir des fleurs ne correspondaient pas à leur idéal guerrier. Et de toute façon, ils n’étaient en odeur de sainteté à la surface. Oui, le risque de croiser quelqu’un dans ce coin perdu de montagne était minime mais…

En parlant du loup… Qu’elle avait bien fait de prendre ses précautions. Voilà que quelqu’un se profilait au bout de la sorte de sentier montagneux qu’elle suivait. Jove, enroulé autour de ses épaules, siffla et alla se cacher dans la poche qu’elle avait cousue à cet effet à l’intérieur de toutes ses chemises et corsages.
– « Bonjour » dit-elle poliment en arrivant à la hauteur du jeune homme.

Immédiatement, elle nota le pantalon en fibre étrange, et immédiatement, elle pensa à ce monde de Gaia, d’où venaient Hikaru et Lia. Mais elle écarta cette idée. Que ferait un Terrain dans ce coin reculé d’Othkar ?

Jp avait lentement sur le chemin montagneux avec une réelle volonté d'economiser ses mouvements. Quand a lui Kumo courrait tout autour de lui, s'amusant comme un jeune chiot.

D'ailleur quand Jp eu cette pensée il recut une grimace joueuse de Kumo sur cette comparaison. La journée s'annocait vraimment belle et rien ne semblait pouvoir la gaché.
Le temps passant Kumo vint se poser sur une épaule de Jp et se mit a dormir d'un sommeil léger.
Quand soudain, le vent porta une odeur étrangère et pourtant si familiere a Jp. Une odeure composait de saveurs suaves, d'une senteur fruitée mais sauvage. Jp se rappela alors Lia et Kaitlin, les deux masgisters avec lesquelles il avait décidé de faire un pactio.

Mais au loin il apercu une demoiselle tout autre mais néanmoins tout aussi charmante avec son style sauvage.

En arrivant a son niveau cette derniere lui dit bonjour d'une voix dans laquelle on devinait une interrogation.

Jp la regarda dans les yeux et lui répondit :
"Merci et bonjour également a vous aussi, je vois que je ne serai pas le seule en cette journée a refaire des reserves de fleurs"

Puis Jp posa son sac a terre et se mit a passé en revu la prairie ou peu de fleurs rester apres le passage de la demoiselle, Jp allait devoir cherché une zone epargnée.

"Y a pas a dire je regrette vraimment les pharmacies" dit Jp a voix basse

Nealeny s’était arrêté le temps d’arracher du lichen à un rocher. Elle n’était pas sûre que l’herbe fût de la bonne variété, mais il fallait mieux en prendre trop que pas assez. Du coin de l’œil, elle continuait à regarder le promeneur. Elle nota le furet, qu’elle n’avait pas vu auparavant. Pas étonnant que Jove se soit carapaté ! Le serpent était d’une couardise étonnante.

La jeune femme continua son inspection du terrain tout en essayant de planifier son itinéraire. Pas la peine de redescendre, le jeune homme aurait dû déjà cueillir tout ce qui était intéressant. Alors… Il ne restait que la possibilité de s’engager plus en profondeur sur le versant de la montagne…
– «Y a pas a dire, je regrette vraiment les pharmacies. »
Il avait eu beau parler à voix basse, l’écho des montagnes était traitre. Le son se répercuta dans l’air immobile, aussi clairement que s’il avait prononcé ces mots à voix haute.

Naeleny sursauta. Le terme de « pharmacie » ne lui était pas familier. Et si on rapprochait ça du pantalon… Hum, curieux. Avant de ne pas éveiller ses soupçons, elle se redressa et se tourna légèrement vers le jeune homme :
– « Pardon… est-ce à moi que vous parlez ?»

L'écho avait amplifié sa voix... Et la jeune femme avait entendu...
"Pardon... est-ce à moi que vous parlez ?" la question s'était élevé dans les air.
Jp se maudit dans son esprit ce qui déclencha un couinement moqueur de Kumo. Ce dernier sauta en souplesse qur un rocher et alla se placé sur le roché où la jeune demoiselle cueillé de la mousse.

"Non désolé je me parlais a moi, je ne voulais pas vous déranger;mais connaitiez vous un endroit ou je pourrais trouver beaucoup de jeune pousse de ces fleurs" dit Jp en désignant les fleurs qu'elle avait dans son sac

Naeleny ne répondit pas tout de suite. Elle était trop occupée à regarder le furet d’un œil inquiet, voire menaçant. Elle, personnellement, n’avait rien contre cette espèce animale. Mais Jove si… Elle le sentait trembler dans son corsage. Et puis, ce couinement n’avait rien de banal. Pour un peu, on aurait cru qu’il répondait à Naeleny… ou au garçon… et l’un dans l’autre, ce n’était pas une bonne nouvelle.

La jeune femme soupira et fit mentalement l’inventaire de ses possessions, pour se préparer au pire. Sa faux était rangée au fond de son sac. Bien que l’arme fût également un instrument agricole, elle se voyait mal la sortir, sous prétexte de ramasser des fleurs. Pour les besoins les plus pressants, elle avait sa poche de shuriken et autre armes de jets… et sa magie…

Mais on n’en était pas là.
– « Certes, oui. Vous en trouverez un peu plus bas sur le versant, à l’ombre des rochers et des arbres. Cette espèce préfère les endroits humides et peu ensoleillé. Je m’apprêtais à aller de ce son côté… Peut-être pouvons y aller ensemble… et j’éviterais de prendre toutes les pousses… Recherchez-vous une espèce en particulier ? »

Sans s’en rendre compte, Naeleny devenait sociable, sans arrière-pensée. Il fallait dire que les habitants de Ten’shi Kuro n’étaient des grands adeptes de la conversation, si ce n’était pour évoquer encore et encore leurs exploits guerriers et les haines entre tel et tel clan, telle et telle race. Même ceux qui se rendaient à la bibliothèque ne venaient qu’à la recherche de sorts ou techniques, ou savoir pratique, comme des cartes et des comptes-rendus d’exploration… Alors, pouvoir parler librement de tout et rien avec une personne normale, tout aussi étrange et suspecte qu’elle puisse être, cela était bien…

Il n’y avait vraiment que le pantalon qui lui mettait la puce à l’oreille. Et ce furet qui était toujours à moins d’un mètre d’elle…

Jp enleva son sac et le posa par terre, puis il regarda la jeune fille et ne jugeant pas qu'elle representée un grand danger, il posa son katana contre son sac. Jp espéré juste qu'il n'avait pas une confiance excessive dans son jugement.
Kumo quand a lu se mit a courir derriere un enorme papillon jaune-orange et séloigna de la jeune fille.

– « Certes, oui. Vous en trouverez un peu plus bas sur le versant, à l’ombre des rochers et des arbres. Cette
espèce préfère les endroits humides et peu ensoleillé. Je m’apprêtais à
aller de ce son côté… Peut-être pouvons y aller ensemble… et
j’éviterais de prendre toutes les pousses… Recherchez-vous une espèce
en particulier ? »

Les derniers mots raisonnerent au orielles de Jp.

"Je ne voudrais pas m'imposer ou vous déranger, mais un peu de compagnie n'est pas de refu. Je recherche juste des plantes afin de me faire des potions contre la fievre, et les rhumes. ET j'avoue que la flore de votre monde m'est peu familière..."

A cet instant Jp su qu'il avait dit une connerie... "Votre monde..." Cela était sortit tout seul, il avait trop relaché sa vigilance et voila qu'il retomber dans les problemes...

Jp regarda en direction de la jeune fille, puis baissa la regarda,jaugeant ou se situé son katana puis il se mit a fixer un point situé loin devant lui...

– « Et j'avoue que la flore de votre monde m'est peu familière..»
– « Vous n’êtes donc pas de Galatie? Pourtant, vous êtes assez loin de tout ici …» répondit innocemment Neaeleny.

Elle avait décidé de se méprendre sur le sens de la phrase du garçon. Après tout, peu de gens ici sur Othkar était au courant de l’existence de Gaia. Aussi, n’importe qui devrait réagir comme elle. Mais ce garçon n’était pas très prudent. La jeune femme fixa cette pensée en elle. Lorsqu’elle serait sur Gaia, elle ne ferait pas comme lui. Toujours, elle ferait en sorte de ne jamais se faire prendre par surprise. A se balader avec des vêtements étranges ou à dire des choses bizarres à portée d’oreilles.

Mais bien qu’elle jouât l’innocente, Nealeny resta sur ses gardes. Qu’est-ce qu’un Terrien pouvait bien faire ici ? Pourquoi la Galatie ?
– « D’où venez-vous? De Myndel ? moi-même, j’ai vécu longtemps dans la capitale…»
Testons un peu cet étranger…

Jp écouta les interrogations de la jeune fille, et décida de repondre sans mentir.
"Oui je viens d'assez loin et ca serait une longue histoire de tout
vous raconter, mais pour faire simple j'ai deja mit les pieds une ou
deux fois a Myndel..."
Ce qui n'était pas faux car Jp avait deja était deux fois dans la capitale, une fois en visite officiel et la seconde pour empreinter le passage et quitter la Terre.

Jp se maudit d'avoir était négligeant car parler d'ou il venait lui faisair ce rappeler pourquoi il était la et qu'il n'avait tojours rien fait...

Jp décida que des qu'il aurait finit sa cueillette il rentrerait et ce préparer a partir a la recherche des questions qui le préocupé...

Le rythme de sa vie allé grandement accéléré et il y aurait beacoup de changement...
Jp regarda la jeune fille qui l'avait fixé durant sa réfléxion.

– « Si je puis me permettre… vous semblez soucieux… est-ce que vous vous sentez bien ? Ou est-ce que vous vous faites du souci pour la personne à qui sont destinées ces herbes contre le rhume et la fièvre ? »
Il n’avait pas l’air malade. Pourtant, il avait bien dit que les potions lui étaient destinées. Sans en avoir l’air, elle voulait savoir si le jeune homme était seul, ou s’il avait de la compagnie… Ce qui lui faisait penser…

– « J’ai moi-même fait un long voyage pour venir ici.» Bon, d’accord. Techniquement, elle s’était téléportée hors du QG. Mais géographiquement parlant, cette montage et Ten’shi Kuro, même à vol d’oiseau, ce n’était pas à côté. « Et il n’y a pas de village près d’ici. Cela fait longtemps que vous vivez ici ? seul ? sur cette montagne isolée de tous ?»
Plus elle parlait, plus elle se disait que ce garçon était… suspect. Oui, rien n’empêchait à quiconque de vivre en solitaire. Mais cela restait généralement réservé aux contemplatifs ou aux Magisters Affinités….

Naeleny se détourna du rocher pour s’engager dans l’herbe haute du versant. Elle marchait doucement, tâtant doucement le terrain devant elle. Bien que la pente soit très douce, elle n’avait pas envie de mettre le pied dans un nid de taupe et de dévaler le versant en roulé-boulé. Ce faisant, elle montrait son dos à son interlocuteur. Risqué, mais c’était la seule solution. Sinon, autant l’attaquer directement !