La Foret D'Orphale
La Foret D'Orphale
La Foret d'Orphale
Pénétrer dans une forêt c’est comme voyager dans son inconscient …
Lieux
- la cité des elfes
- le cœur des hents (clairière où se réunissent les hents)
- le palais féerique
- sentiers, clairières, bosquets, fourrés, fossés, creux, bosses, prairies, … (en bref, tout ce qui fait une foret)
Habitants
- fées et fétauds (à ne pas confondre avec les fées et les hommes fés, ce sont les plus connus et les petites créatures ailées de notre enfance. On ne connaît pas trop leur utilité mise à part celle de jouer et de tenir compagnie aux petits enfants jusqu'à ce que ces derniers perdent leur deuxième dent de lait. Ils quittent alors les demeures humaines pour regagner le palais féerique, sorte de nid d’abeille en pierre, flottant au dessus d’une cime d’un des arbres de la foret d’Orphale)
- enchanteresses (d’autant plus grandes que leur coiffe allonge encore leur silhouettes, on les dit incroyablement belles. Elles aiment user de la magie rouge, celle de l’amour, pour parvenir à leurs fins, aiment à se maquiller le visage et le corps pour se mettre en valeurs, mais elles aiment aussi se changer en vielles femmes laides pour certaines occasions puis reprendre aussitôt leur forme initiale pour n’en paraître que plus belles encore. Elles ne se nourrissent que de tisanes et d’infusions. Ce sont des mortelles, des humaines qui se sont initiées de tout leur etre dans la magie. Rare sont celles qui ont des liens de parentés avec les fées et autres créatures magiques, ou alors c’est par « hasard ». Souvent elles sont elles-mêmes allées demander à un enchanteur la science de l’enchantement, et la protection des êtres féeriques.)
- enchanteurs (humains : hommes de sciences, ayant de francs liens de parentés avec la féeries, un destin franchement lié à la magie et ayant impliqué tout son etre dans l’apprentissage des enchantements.)
- dryades (mythe vivant de la beauté, ce sont des nymphes des arbres et des plantes mais qui prennent soin d’un endroit qu’elles choisissent sans en etre dépendante, à l’inverse des hamadryades. Elles ont une taille approchant d’avantage à celle des humains.)
- hamadryades (ce sont des nymphes de toutes les tailles mais n’excèdent jamais 90cm. Elles vivent nues et sont liées à un arbre jusqu'à la mort de celle-ci où elles meurent aussi. Elles meurent également si elles quittent trop longtemps ou si elles s’éloignent trop de leur plante. Elles ne choisissent pas l’arbre avec qui elles vivront, c’est une divinité, une force au-dessus de toutes qui la désigne et les y font naître. Elles sont immortelles tant qu’elles sont dans le corps de leur plante et embellissent les environs boisés rien que par leur simple présence. Elles vivent en majorité avec les êtres féeriques, mais certaines exceptions partagent leur vie avec leur plante et un humain …).
- autres florales (petites demoiselles vivants selon leurs tailles dans des palais de fleurs et d’herbes ou dans des bois reculés. Elles ne vivent que pour les plantes et sont des petites jardinières qui protègent, ensemencent, assurent la survie des espèces et ce en obéissant à leur reine. Elles s’occupent aussi des verdures « naturelles » des cimentiers et autres jardins mortuaires)
- Dames Vertes (elles sont au meme titre que les dames blanches, elles ne doivent pas leur nom à la couleur de leur peau mais de leur vêtements. Autrefois, elles étaient bonnes et vénérées, maintenant elles sont craintes pour ce qu’elles annoncent et les maléfices de certaines car elles ne sont pas toutes offensives. Certaines pleures auprès d’étangs où quelqu’un va bientôt se noyer, d’autres prennent des enfants pour les donner à manger aux poissons, certaines filent la nuit près des cheminées, … Cependant certaines gardent des trésors qu’elles ont accumulés au fil des ans, ou qu’un etre féerique leur a confier).
- diverses Phi (oiseau et fleurs) (ont dit qu’elles ont une taille parfaite et menue. On dit aussi qu’elles sont d’une merveilleuse beauté, aux cheveux noir car offerts par la nuit, à la peau d’or car offerte par le soleil, sa bouche par les fruits, ses yeux par les étoiles. D’antiques textes disent encore « le corps a été modelé par le dieu de l’aurore, le prince du printemps l’a baigné aux sources de jouvence, les fleurs l’ont parfumés et le dieu de toute choses l’a ouverte à l’amour. Chaque oiseau a ajouté une plume à sa parure de fée. ». Ses habits ont les couleurs de l’arc-en-ciel. Elle épanouit les fleurs par son chant, soufflerait aux ruisseaux sa douce mélodie, mais elle est surtout faite pour l’amour. Elle se méfit des hommes de peur d’offrir son amour à un etre qui pourrait avilir la pureté de son chant et tacher ses plumes reflétant son âme. Si elle est déçue par un mortel, elle se change en oiseau et ne répondra à toutes choses, meme violentes, que par de l’amour et de la paix …)
- elfes sylvains (Les elfes sylvains ont l’apparences d’hommes, en un peu plus grands tout de meme. Leurs cheveux sont blonds ou châtains clairs, certains d’entre eux les ont parfois d’un noir parfait. Leurs yeux sont bleus ou verts et leur peau d’une blancheur lumineuse. Ils n’agissent pas en fonction du « bien » ou du « mal » mais pour la nature, ce qui leur confère une certaine neutralité et un bien évidement, une philosophie très écologiste. Ils aiment étudier, chasser, protéger la nature, jouer de la musique, chanter, s’entraîner au combat bien qu’ils soient de nature pacifique, s’habiller de façon coquette et raffinée, toujours dans des tons naturels de bleus, verts, gris, bruns, ocre, …)
- parisettes (une trentaine de centimètres, longs cheveux d’herbes piquetés de fleurs, yeux bleus, corps rose, agile, cambré, et nu orné de guirlandes de pétales, d’une cape en aile de papillon et cotillon de clochettes telle est une parisette. Elles passent leur temps avec des bûcherons ou des êtres féeriques, à rompre les envoûtements des tourmentines, à jouer et à gambader avec les elfes, à chanter et à manger les fruits des bois et le pollen. Il faut savoir que les parisettes ne vivent qu’a peine un an, mourrant en hiver et renaissant au printemps de la dépouille gelée d’une autre parisette décédée).
Flore
- flore fays (plantes rendu magiques par la présence d’un esprit qui n’est pas une dryade ou une hamadryade et qui les habitent mais ne les animent pas mais leur confère plus de puissance, de rigueur et d’importance. Il est important de les respecter et de ne pas les mutiler, couper, ou autre en raisons de surprises plus surprenantes les unes que les autres … La plus grande majorité sont des arbres, mais on peut trouver d’autres plantes telles que des fleurs, des herbes, ect … Il n’est pas si aisé que ça de les reconnaître car ce sont des arbres immenses dont 25 hommes peuvent à peine ceinturer le tronc ou la tige et dans une foret vieille de plusieurs siècles ou millénaires, beaucoup de plantes sont impressionnantes.)
- divers hents (de toutes sortes, de toutes tailles, de toutes espèces d’arbres, il existe des centaines et des centaines d’hents différents. Ce sont des abres-humanoides, donc des arbres à l’apparence humaine, qui peuvent de surcroît se déplacer et utiliser leurs membres car ils sont pourvus de bras en plus de leurs jambes. Ce sont un peu les gardes champêtres de la forêt, ou d’autres sortes de gardiens protecteurs. Comme partout, certains ont « mal tournés », bien que ces derniers forment un très petite minorité car à la base, un hent est quelqu’un de bon, de généreux, de sage, de puissant et un très bon guide, ramenant les êtres égarés de toute sorte vers les sentiers connus, ou les endroits qu’ils doivent atteindre. Les hents sont cependant assez rare, pour 300 hectares, à peu près, on trouve un seul hent. Ils leur arrivent de se donner de grands et importants rendez-vous au cœur de la forêt, mais aussi de s’inviter entre eux).
- tourmentines (une vingtaine de centimètres, il en existe de différentes apparences, mais elles ont toute une meme « anatomie ». Un « corps » formé par une poche faisant office d’estomac entouré de racines, huit longues pattes grêles, quatre gros yeux au ras du sol et une touffe d’herbes rêches. Leur cri est semblable au son d’une flûte, qui sert à attirer les gens vers elles, ensuite, elles les ensorcèlent pour qu’ils ne retrouvent jamais leur chemin. C’est leur occupation favorite après manger des insectes, des lombrics, des petits rongeurs, et d’éventuels nains qui s’aventurent trop loin de leurs montagnes. Elles détestent les parisettes dont elles jalousent la beauté et n’apprécient pas l’aide que ces dernières portent à leur victimes.)
Faune
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Pénétrer dans une forêt c’est comme voyager dans son inconscient …
Lieux
- la cité des elfes
- le cœur des hents (clairière où se réunissent les hents)
- le palais féerique
- sentiers, clairières, bosquets, fourrés, fossés, creux, bosses, prairies, … (en bref, tout ce qui fait une foret)
Habitants
- fées et fétauds (à ne pas confondre avec les fées et les hommes fés, ce sont les plus connus et les petites créatures ailées de notre enfance. On ne connaît pas trop leur utilité mise à part celle de jouer et de tenir compagnie aux petits enfants jusqu'à ce que ces derniers perdent leur deuxième dent de lait. Ils quittent alors les demeures humaines pour regagner le palais féerique, sorte de nid d’abeille en pierre, flottant au dessus d’une cime d’un des arbres de la foret d’Orphale)
- enchanteresses (d’autant plus grandes que leur coiffe allonge encore leur silhouettes, on les dit incroyablement belles. Elles aiment user de la magie rouge, celle de l’amour, pour parvenir à leurs fins, aiment à se maquiller le visage et le corps pour se mettre en valeurs, mais elles aiment aussi se changer en vielles femmes laides pour certaines occasions puis reprendre aussitôt leur forme initiale pour n’en paraître que plus belles encore. Elles ne se nourrissent que de tisanes et d’infusions. Ce sont des mortelles, des humaines qui se sont initiées de tout leur etre dans la magie. Rare sont celles qui ont des liens de parentés avec les fées et autres créatures magiques, ou alors c’est par « hasard ». Souvent elles sont elles-mêmes allées demander à un enchanteur la science de l’enchantement, et la protection des êtres féeriques.)
- enchanteurs (humains : hommes de sciences, ayant de francs liens de parentés avec la féeries, un destin franchement lié à la magie et ayant impliqué tout son etre dans l’apprentissage des enchantements.)
- dryades (mythe vivant de la beauté, ce sont des nymphes des arbres et des plantes mais qui prennent soin d’un endroit qu’elles choisissent sans en etre dépendante, à l’inverse des hamadryades. Elles ont une taille approchant d’avantage à celle des humains.)
- hamadryades (ce sont des nymphes de toutes les tailles mais n’excèdent jamais 90cm. Elles vivent nues et sont liées à un arbre jusqu'à la mort de celle-ci où elles meurent aussi. Elles meurent également si elles quittent trop longtemps ou si elles s’éloignent trop de leur plante. Elles ne choisissent pas l’arbre avec qui elles vivront, c’est une divinité, une force au-dessus de toutes qui la désigne et les y font naître. Elles sont immortelles tant qu’elles sont dans le corps de leur plante et embellissent les environs boisés rien que par leur simple présence. Elles vivent en majorité avec les êtres féeriques, mais certaines exceptions partagent leur vie avec leur plante et un humain …).
- autres florales (petites demoiselles vivants selon leurs tailles dans des palais de fleurs et d’herbes ou dans des bois reculés. Elles ne vivent que pour les plantes et sont des petites jardinières qui protègent, ensemencent, assurent la survie des espèces et ce en obéissant à leur reine. Elles s’occupent aussi des verdures « naturelles » des cimentiers et autres jardins mortuaires)
- Dames Vertes (elles sont au meme titre que les dames blanches, elles ne doivent pas leur nom à la couleur de leur peau mais de leur vêtements. Autrefois, elles étaient bonnes et vénérées, maintenant elles sont craintes pour ce qu’elles annoncent et les maléfices de certaines car elles ne sont pas toutes offensives. Certaines pleures auprès d’étangs où quelqu’un va bientôt se noyer, d’autres prennent des enfants pour les donner à manger aux poissons, certaines filent la nuit près des cheminées, … Cependant certaines gardent des trésors qu’elles ont accumulés au fil des ans, ou qu’un etre féerique leur a confier).
- diverses Phi (oiseau et fleurs) (ont dit qu’elles ont une taille parfaite et menue. On dit aussi qu’elles sont d’une merveilleuse beauté, aux cheveux noir car offerts par la nuit, à la peau d’or car offerte par le soleil, sa bouche par les fruits, ses yeux par les étoiles. D’antiques textes disent encore « le corps a été modelé par le dieu de l’aurore, le prince du printemps l’a baigné aux sources de jouvence, les fleurs l’ont parfumés et le dieu de toute choses l’a ouverte à l’amour. Chaque oiseau a ajouté une plume à sa parure de fée. ». Ses habits ont les couleurs de l’arc-en-ciel. Elle épanouit les fleurs par son chant, soufflerait aux ruisseaux sa douce mélodie, mais elle est surtout faite pour l’amour. Elle se méfit des hommes de peur d’offrir son amour à un etre qui pourrait avilir la pureté de son chant et tacher ses plumes reflétant son âme. Si elle est déçue par un mortel, elle se change en oiseau et ne répondra à toutes choses, meme violentes, que par de l’amour et de la paix …)
- elfes sylvains (Les elfes sylvains ont l’apparences d’hommes, en un peu plus grands tout de meme. Leurs cheveux sont blonds ou châtains clairs, certains d’entre eux les ont parfois d’un noir parfait. Leurs yeux sont bleus ou verts et leur peau d’une blancheur lumineuse. Ils n’agissent pas en fonction du « bien » ou du « mal » mais pour la nature, ce qui leur confère une certaine neutralité et un bien évidement, une philosophie très écologiste. Ils aiment étudier, chasser, protéger la nature, jouer de la musique, chanter, s’entraîner au combat bien qu’ils soient de nature pacifique, s’habiller de façon coquette et raffinée, toujours dans des tons naturels de bleus, verts, gris, bruns, ocre, …)
- parisettes (une trentaine de centimètres, longs cheveux d’herbes piquetés de fleurs, yeux bleus, corps rose, agile, cambré, et nu orné de guirlandes de pétales, d’une cape en aile de papillon et cotillon de clochettes telle est une parisette. Elles passent leur temps avec des bûcherons ou des êtres féeriques, à rompre les envoûtements des tourmentines, à jouer et à gambader avec les elfes, à chanter et à manger les fruits des bois et le pollen. Il faut savoir que les parisettes ne vivent qu’a peine un an, mourrant en hiver et renaissant au printemps de la dépouille gelée d’une autre parisette décédée).
Flore
- flore fays (plantes rendu magiques par la présence d’un esprit qui n’est pas une dryade ou une hamadryade et qui les habitent mais ne les animent pas mais leur confère plus de puissance, de rigueur et d’importance. Il est important de les respecter et de ne pas les mutiler, couper, ou autre en raisons de surprises plus surprenantes les unes que les autres … La plus grande majorité sont des arbres, mais on peut trouver d’autres plantes telles que des fleurs, des herbes, ect … Il n’est pas si aisé que ça de les reconnaître car ce sont des arbres immenses dont 25 hommes peuvent à peine ceinturer le tronc ou la tige et dans une foret vieille de plusieurs siècles ou millénaires, beaucoup de plantes sont impressionnantes.)
- divers hents (de toutes sortes, de toutes tailles, de toutes espèces d’arbres, il existe des centaines et des centaines d’hents différents. Ce sont des abres-humanoides, donc des arbres à l’apparence humaine, qui peuvent de surcroît se déplacer et utiliser leurs membres car ils sont pourvus de bras en plus de leurs jambes. Ce sont un peu les gardes champêtres de la forêt, ou d’autres sortes de gardiens protecteurs. Comme partout, certains ont « mal tournés », bien que ces derniers forment un très petite minorité car à la base, un hent est quelqu’un de bon, de généreux, de sage, de puissant et un très bon guide, ramenant les êtres égarés de toute sorte vers les sentiers connus, ou les endroits qu’ils doivent atteindre. Les hents sont cependant assez rare, pour 300 hectares, à peu près, on trouve un seul hent. Ils leur arrivent de se donner de grands et importants rendez-vous au cœur de la forêt, mais aussi de s’inviter entre eux).
- tourmentines (une vingtaine de centimètres, il en existe de différentes apparences, mais elles ont toute une meme « anatomie ». Un « corps » formé par une poche faisant office d’estomac entouré de racines, huit longues pattes grêles, quatre gros yeux au ras du sol et une touffe d’herbes rêches. Leur cri est semblable au son d’une flûte, qui sert à attirer les gens vers elles, ensuite, elles les ensorcèlent pour qu’ils ne retrouvent jamais leur chemin. C’est leur occupation favorite après manger des insectes, des lombrics, des petits rongeurs, et d’éventuels nains qui s’aventurent trop loin de leurs montagnes. Elles détestent les parisettes dont elles jalousent la beauté et n’apprécient pas l’aide que ces dernières portent à leur victimes.)
Faune
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Coleen Mirens- Fondatrice à la retraite
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