Les plaines de Filiden, région du Nord
Les plaines de Filiden, région du Nord
Les plaines de Filiden, région du Nord
Des plaines qui s'étendent à perte de vue et où vivent des peuples nomades.
Lieux
- le champ des mille-temps (ancestral champ de bataille)
- le Chemin Hututu : lieu phare pour les hututus
- le Jardin Nymphéon : lieu de rendez-vous des nymphes
- Ederlis : cité cachée des Daoine Sidh
- le Rond du Chat : lieu de rendez-vous des matagots
-
Habitants
- fileuses et demoiselles de pierres (il doit y en avoir deux ou trois qui sont colossales, mais les autres ont une apparence menue, fragile, presque aérienne, pourtant elles sont dotées d’une force phénoménales. Ce sont pourtant de belles blondes au teint nacré, voir pale, aux formes aussi fuselées que leurs fuseaux et aux cheveux aussi fins que leurs fils. Elles haïssent la lumière du jour qui les rend grises, ridées et leur donne des yeux rouges, elles se montrent ainsi qu’à la nuit tombée dont l’éclat révèle leur beauté originelle.
Le jour elles forment des cercles de pierres à la silhouette féminine, la nuit elles chantent, boivent, dansent, filent, sonnent, veillent, punissent, guérissent, … Elles tissent aussi des fils pour s’en faire des vêtements à la mode du pays. Elles enfouissent leurs trésors ou ceux qu’on leur confie sous des menhirs et des dolmens qu’elles portent dans leurs tabliers ou au bout de leurs quenouilles. Ces demoiselles sont aussi bonnes que méchantes, elles peuvent rendre service, mais aiment se faire désirer et ne se nourrissent que de vins et autres alcools.
Elles créaient aussi des pierres de fécondités qu’elles plantent dans le sol pour permettre à ceux qui s’y frottent de pouvoir enfanter plus facilement. Mais elles plantent aussi des pierres de stérilité, qui ont un effet inverse et plus durable … On les différencie grâce aux instructions notées dessus, dans la langue des Autres.)
- lavandières (elles sont de tailles moyennes mais les meneuses sont plus hautes que les autres. Elles n’apparaissent qu’en fin de soirée, comme par magie, dans certaines eaux stagnantes, dans des marres, dans d’anciens lavoirs, des bords de rivières, … Leur apparence change en fonction la nuit, à la tombée de cette dernière elles apparaissent comme des femmes un peu ridées, puis ont de plus en plus de rides, des cheveux gris de plus en plus longs et sales, la peau qui devient de plus en plus flasque pour ne laisser voir finalement que le squelette des créatures. Leurs yeux d’abord plissés, tournent progressivement au rouge sang avant de finir, quand elles sont des squelettes, en flaques d’eau poisseuse. Elles disparaissent dès les premiers rayons du soleil, comme elles sont apparues, c'est-à-dire presque instantanément, ou par enchantement. Elles sont tantôt à demie nues, parfois vêtues entièrement de haillons d’anciens vêtements à la mode du pays.
Leur comportement semble varier d’un site à l’autre. Certaines sont invariablement cruelles, et sanguinaires envers les êtres qui viennent troubler leurs lessives, quelques rares se jettent sur ces derniers, les guettant aux détours de certains chantiers menant à leurs ondes aquatiques. Elles se chargent de les « laver » en les enroulant dans leurs draps qu’elles plongent dans l’eau, essorent puis battent impitoyablement.
D’autres semblent agir de façon « juste » dans la mesure qu’elles se montrent bonnes, clémentes, généreuses avec les êtres de bonne nature, mais qu’elles « lavent de leur péchés » les âmes qui ont mal tournées, ou qui sont néfastes. Elles apprécient meme la compagnie des promeneurs et rêveurs nocturnes, récompensant les âmes pures et innocentes qui n’ont pas besoin de lessives.
Il y aurait un moyen de reconnaître les « bonnes » lavandières des méchantes, mais il est incertain, soit ce serrait une inscription à leur front, les coutures de leurs haillons, la teinte de leur peau, …)
- dames blanches (grandes, élancées, gracieuses, minces, légères dames à la peau blanche comme neige et aux yeux bleus comme l’eau des sources, voilà les descriptions les plus détaillées qu’on fait de ces étranges lady. On dit pourtant qu’elles sont diaphanes, que l’ont voit à travers elle tel un léger voile transparent, un fantôme. La blancheur de leurs robes de nobles dames des temps passés est toujours éclatante, on dit que meme l’éclat multicolore des bijoux qu’elles portent parfois est estompé par cette blancheur diaphane. Souvent leur visage est caché par des coiffes, des châles, des voiles ou des chapeaux.
Elles apparaissent dans les endroits où elles ont souffert où là où elles sont mortes. Ce sont des âmes de femmes au cœur meurtris, ou dont la souffrance fut incroyable, ne trouvant pas de repos dans la mort, elles hantent les lieux de leur calvaire. Elles peuvent ainsi etre partout et nul part. Parfois elles se déplacent de lieux où il y a eu des accidents à d’autres lieux dramatiques. On dit qu’elles apprécient également le silence des cimentiers.
Elles se nourrissent de parfums, d’odeurs et de la rosée que l’on trouve sur certaines fleurs, tel le liseron. Elles sont symboles de pureté menacée, beaucoup ont été de grandes femmes, mais ce sont toutes des âmes d’innocentes.
Elles ont diverses « activités », certaines rejouent inlassablement le drame qui les a précipité dans la damnation. Certaines cherchent des compagnons de nuit, ou de « route », les précipitant dès qu’elles les quittent dans la mort, ou les tuant en les rendant « involontairement fous ». D’autres sont à la tête de meutes de fantômes, d’autres encore se divertissent « simplement » en faisant tournoyer et en étourdissant leurs victimes d’une nuit ou de quelques heures. Il en est des inoffensives qui viennent vers vous pour vous offrir des cailloux, des feuilles, des branches, ou d’autres choses anodines qui se changent en or. Cette dernière sorte de dames blanches guident, nourrissent et informent les voyageurs et les promeneurs des dangers.
Mais elles annoncent toutes des malheurs, des peines ou des deuils.)
- coquecigrues (à la fois couleuvre rouge et maigriotte fille des puis, ces créatures ne sont pas méchantes et de plus elles sont très timides. « épaules aussi fine que de la porcelaine, seins pas plus gros que des noisette, cette discrète à la peau marbrée de rouille, rouge, rose, orange et cerise fuit à la moindre approche. Elles vivent dans les vergers redevenus sauvages, près des ruches abandonnées, mais aiment à se cacher dans les eaux marécageuses, ou dans les herbes hautes des étangs. Elles portent chance à qui les rencontrent, et semble adorer les enfants qu’elles suivent de loin en se cachant dans les herbes.)
- basilics (on dit que ce sont les plus beaux dragons en raison de leur dos crénelé et couvert d’émeraude. Cependant ce sont les plus dangereux et difficiles à vaincre car ils pétrifient de leur regard les braves qui viennent les défier. Le seul moyen de les vaincre est de leur renvoyer leur regard fatal. Ces dragons aiment également la compagnie des « vraies princesses » au près des quels ils se font aussi doux que des agneaux, aussi fidèle t obéissant qu’un chien, et aussi amoureux qu’un amant.)
- dames grises (ce sont peut etre les dames les plus mystérieuses d’Öthkar. On les décrit comme douces, vêtues de robes aux couleurs du lichen, des brumes et de la poussière, elles sont cependant diaphane et ont des bras maigres, presque triangulaires. Elles vivent exclusivement dans certaines bibliothèques, dans certains greniers, dans certains jardins, dans quelques maisons abandonnées et les chemins creux, tout du moins, c’est là où on en a trouvé. On sait qu’elles passent le plus clair de leur temps à surveiller les enfants en cachette des parents, et à les préserver des accidents et des mauvaises rencontres.)
- dames vertes (leur taille varie entre celle d’un brun d’herbe et celle d’un jeune sapin souple. Elles sont gracieuses, menues, lancéolées, nectarifiées, ensorcelantes. Elles ne portent des vêtements verts, ils sont aussi variés que délicat mais dans toutes les tonalités de verts qui existent. Cependant, les plus nobles portent des chapeaux rouges, et les plus petites des chapeaux de digitales. Elles sont partout où il y a de la verdure, mais trouvent refuge dans les plaines de Filiden, on ne sait trop pourquoi …
Elles se nourrissent de rosée, de suc des plantes. Elles passent leur temps à s’occuper de la faune et de la flore, mais elles ne sont pas toutes bonnes. Certaines pleurent auprès des étangs où on va bientôt se noyer, mais d’autres, équipées de crochets, donnent à manger aux poissons les enfants qu’elles attrapent violement avec leur arme. Ces dernières sont des ogresses …)
- les Medb (petite tribu de femmes féeriques nomades qui se déplacent de façon cyclique, coordonnées avec les mouvements de la lune, dans Filiden. Elles ont de longs cheveux dorés, une peau pale et ferme, elles sont suffisamment musclées pour combattre sans avoir un corps androgyne. Leurs yeux sont verts ou bleus, leur voix douce et assez grave pour imposer le respect. Elles n’haussent la voix qu’au combat, il est extrêmement rare qu’elles crient dans un autre contexte que ce dernier …
Elles mangent de la poudre de safran, passent leur temps à s’entraîner pour le combat ou à jouer de leur instrument de musique. Ce sont plus des « mercenaires » qu’autres choses, et elles vivent des missions qu’on leur confit ou de l’enseignement que certaines donnent à des élèves de passage.)
- hututus (leur taille vari de celle d’une souris à celle d’un jeune enfant, ils changent à volonté, selon leur bon plaisir et surtout les meurs de leur clan, car les hututus vivent par groupe qui adoptent la taille qu’ils préfèrent, l’habitat qu’ils préfèrent, la nourriture qu’ils préfèrent, ect … Ils ont un aspect agréable mais pas facile à décrire, car on a toujours l’impression de le voir à travers la brume d’un songe, ainsi, il n’est jamais distinct en entier. Ses yeux sont grands, allongés en amendes et brillants. Se pommettes saillantes sont assorties à sa belle bouche charnue. Il a deux petites dents de lapin, un menton et des oreilles pointus, des cheveux dans les tons bruns et châtains assez longs. Il aurait une allure à la fois « animale et princière ».
Les hututus ont des vêtements de prime abord aussi flous que leur apparence. Avec plus d’attention, de concentration, et en les rencontrant de nombreuses fois on peut distinguer ce qui suit.
Les hommes hututus portent un chapeau pointu orné d’une plume d’oiseau, variant d’un clan à l’autre et d’un fin pipeau fait d’un bois variant aussi d’un clan à l’autre. Il est armé d’une sorte de sceptre flèche à la pointe aigue et magique. La nuit il porte une cape, et il a toujours une petite bourse à sa large ceinture.
Les femmes hututus portent des robes rappelant beaucoup des fleurs renversées. Elles ont soit des chapeaux ou des couronnes, parfois des petites coiffes. Elles ont assez souvent des bijoux plus ou moins précieux mais assortis à leurs vêtements.
Les hututus se nourrissent de tous les fruits de saisons que la nature leur apporte. Ils aiment aussi les gaufres, les crêpes et les goûters que certains enfants leur apportent. La seule viande qu’ils mangent est celle de pie, et ils aiment aussi les alcools de ronces.
Les hututus vivent dans des petits villages qu’ils bâtissent eux-mêmes, soit dans les collines de Filiden ou les bosquets de la meme région. Il existe un endroit, une sorte de grand palais arqué sur un chemin, qu’on nomme le « Chemin Hututu ». Il se trouve quelque part dans les Plaines de Filiden c’est là où vit le rois des hututus, sa famille, et c’est aussi là qu’ont lieux tous les grands rendez-vous des hututus.)
Des plaines qui s'étendent à perte de vue et où vivent des peuples nomades.
Lieux
- le champ des mille-temps (ancestral champ de bataille)
- le Chemin Hututu : lieu phare pour les hututus
- le Jardin Nymphéon : lieu de rendez-vous des nymphes
- Ederlis : cité cachée des Daoine Sidh
- le Rond du Chat : lieu de rendez-vous des matagots
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Habitants
- fileuses et demoiselles de pierres (il doit y en avoir deux ou trois qui sont colossales, mais les autres ont une apparence menue, fragile, presque aérienne, pourtant elles sont dotées d’une force phénoménales. Ce sont pourtant de belles blondes au teint nacré, voir pale, aux formes aussi fuselées que leurs fuseaux et aux cheveux aussi fins que leurs fils. Elles haïssent la lumière du jour qui les rend grises, ridées et leur donne des yeux rouges, elles se montrent ainsi qu’à la nuit tombée dont l’éclat révèle leur beauté originelle.
Le jour elles forment des cercles de pierres à la silhouette féminine, la nuit elles chantent, boivent, dansent, filent, sonnent, veillent, punissent, guérissent, … Elles tissent aussi des fils pour s’en faire des vêtements à la mode du pays. Elles enfouissent leurs trésors ou ceux qu’on leur confie sous des menhirs et des dolmens qu’elles portent dans leurs tabliers ou au bout de leurs quenouilles. Ces demoiselles sont aussi bonnes que méchantes, elles peuvent rendre service, mais aiment se faire désirer et ne se nourrissent que de vins et autres alcools.
Elles créaient aussi des pierres de fécondités qu’elles plantent dans le sol pour permettre à ceux qui s’y frottent de pouvoir enfanter plus facilement. Mais elles plantent aussi des pierres de stérilité, qui ont un effet inverse et plus durable … On les différencie grâce aux instructions notées dessus, dans la langue des Autres.)
- lavandières (elles sont de tailles moyennes mais les meneuses sont plus hautes que les autres. Elles n’apparaissent qu’en fin de soirée, comme par magie, dans certaines eaux stagnantes, dans des marres, dans d’anciens lavoirs, des bords de rivières, … Leur apparence change en fonction la nuit, à la tombée de cette dernière elles apparaissent comme des femmes un peu ridées, puis ont de plus en plus de rides, des cheveux gris de plus en plus longs et sales, la peau qui devient de plus en plus flasque pour ne laisser voir finalement que le squelette des créatures. Leurs yeux d’abord plissés, tournent progressivement au rouge sang avant de finir, quand elles sont des squelettes, en flaques d’eau poisseuse. Elles disparaissent dès les premiers rayons du soleil, comme elles sont apparues, c'est-à-dire presque instantanément, ou par enchantement. Elles sont tantôt à demie nues, parfois vêtues entièrement de haillons d’anciens vêtements à la mode du pays.
Leur comportement semble varier d’un site à l’autre. Certaines sont invariablement cruelles, et sanguinaires envers les êtres qui viennent troubler leurs lessives, quelques rares se jettent sur ces derniers, les guettant aux détours de certains chantiers menant à leurs ondes aquatiques. Elles se chargent de les « laver » en les enroulant dans leurs draps qu’elles plongent dans l’eau, essorent puis battent impitoyablement.
D’autres semblent agir de façon « juste » dans la mesure qu’elles se montrent bonnes, clémentes, généreuses avec les êtres de bonne nature, mais qu’elles « lavent de leur péchés » les âmes qui ont mal tournées, ou qui sont néfastes. Elles apprécient meme la compagnie des promeneurs et rêveurs nocturnes, récompensant les âmes pures et innocentes qui n’ont pas besoin de lessives.
Il y aurait un moyen de reconnaître les « bonnes » lavandières des méchantes, mais il est incertain, soit ce serrait une inscription à leur front, les coutures de leurs haillons, la teinte de leur peau, …)
- dames blanches (grandes, élancées, gracieuses, minces, légères dames à la peau blanche comme neige et aux yeux bleus comme l’eau des sources, voilà les descriptions les plus détaillées qu’on fait de ces étranges lady. On dit pourtant qu’elles sont diaphanes, que l’ont voit à travers elle tel un léger voile transparent, un fantôme. La blancheur de leurs robes de nobles dames des temps passés est toujours éclatante, on dit que meme l’éclat multicolore des bijoux qu’elles portent parfois est estompé par cette blancheur diaphane. Souvent leur visage est caché par des coiffes, des châles, des voiles ou des chapeaux.
Elles apparaissent dans les endroits où elles ont souffert où là où elles sont mortes. Ce sont des âmes de femmes au cœur meurtris, ou dont la souffrance fut incroyable, ne trouvant pas de repos dans la mort, elles hantent les lieux de leur calvaire. Elles peuvent ainsi etre partout et nul part. Parfois elles se déplacent de lieux où il y a eu des accidents à d’autres lieux dramatiques. On dit qu’elles apprécient également le silence des cimentiers.
Elles se nourrissent de parfums, d’odeurs et de la rosée que l’on trouve sur certaines fleurs, tel le liseron. Elles sont symboles de pureté menacée, beaucoup ont été de grandes femmes, mais ce sont toutes des âmes d’innocentes.
Elles ont diverses « activités », certaines rejouent inlassablement le drame qui les a précipité dans la damnation. Certaines cherchent des compagnons de nuit, ou de « route », les précipitant dès qu’elles les quittent dans la mort, ou les tuant en les rendant « involontairement fous ». D’autres sont à la tête de meutes de fantômes, d’autres encore se divertissent « simplement » en faisant tournoyer et en étourdissant leurs victimes d’une nuit ou de quelques heures. Il en est des inoffensives qui viennent vers vous pour vous offrir des cailloux, des feuilles, des branches, ou d’autres choses anodines qui se changent en or. Cette dernière sorte de dames blanches guident, nourrissent et informent les voyageurs et les promeneurs des dangers.
Mais elles annoncent toutes des malheurs, des peines ou des deuils.)
- coquecigrues (à la fois couleuvre rouge et maigriotte fille des puis, ces créatures ne sont pas méchantes et de plus elles sont très timides. « épaules aussi fine que de la porcelaine, seins pas plus gros que des noisette, cette discrète à la peau marbrée de rouille, rouge, rose, orange et cerise fuit à la moindre approche. Elles vivent dans les vergers redevenus sauvages, près des ruches abandonnées, mais aiment à se cacher dans les eaux marécageuses, ou dans les herbes hautes des étangs. Elles portent chance à qui les rencontrent, et semble adorer les enfants qu’elles suivent de loin en se cachant dans les herbes.)
- basilics (on dit que ce sont les plus beaux dragons en raison de leur dos crénelé et couvert d’émeraude. Cependant ce sont les plus dangereux et difficiles à vaincre car ils pétrifient de leur regard les braves qui viennent les défier. Le seul moyen de les vaincre est de leur renvoyer leur regard fatal. Ces dragons aiment également la compagnie des « vraies princesses » au près des quels ils se font aussi doux que des agneaux, aussi fidèle t obéissant qu’un chien, et aussi amoureux qu’un amant.)
- dames grises (ce sont peut etre les dames les plus mystérieuses d’Öthkar. On les décrit comme douces, vêtues de robes aux couleurs du lichen, des brumes et de la poussière, elles sont cependant diaphane et ont des bras maigres, presque triangulaires. Elles vivent exclusivement dans certaines bibliothèques, dans certains greniers, dans certains jardins, dans quelques maisons abandonnées et les chemins creux, tout du moins, c’est là où on en a trouvé. On sait qu’elles passent le plus clair de leur temps à surveiller les enfants en cachette des parents, et à les préserver des accidents et des mauvaises rencontres.)
- dames vertes (leur taille varie entre celle d’un brun d’herbe et celle d’un jeune sapin souple. Elles sont gracieuses, menues, lancéolées, nectarifiées, ensorcelantes. Elles ne portent des vêtements verts, ils sont aussi variés que délicat mais dans toutes les tonalités de verts qui existent. Cependant, les plus nobles portent des chapeaux rouges, et les plus petites des chapeaux de digitales. Elles sont partout où il y a de la verdure, mais trouvent refuge dans les plaines de Filiden, on ne sait trop pourquoi …
Elles se nourrissent de rosée, de suc des plantes. Elles passent leur temps à s’occuper de la faune et de la flore, mais elles ne sont pas toutes bonnes. Certaines pleurent auprès des étangs où on va bientôt se noyer, mais d’autres, équipées de crochets, donnent à manger aux poissons les enfants qu’elles attrapent violement avec leur arme. Ces dernières sont des ogresses …)
- les Medb (petite tribu de femmes féeriques nomades qui se déplacent de façon cyclique, coordonnées avec les mouvements de la lune, dans Filiden. Elles ont de longs cheveux dorés, une peau pale et ferme, elles sont suffisamment musclées pour combattre sans avoir un corps androgyne. Leurs yeux sont verts ou bleus, leur voix douce et assez grave pour imposer le respect. Elles n’haussent la voix qu’au combat, il est extrêmement rare qu’elles crient dans un autre contexte que ce dernier …
Elles mangent de la poudre de safran, passent leur temps à s’entraîner pour le combat ou à jouer de leur instrument de musique. Ce sont plus des « mercenaires » qu’autres choses, et elles vivent des missions qu’on leur confit ou de l’enseignement que certaines donnent à des élèves de passage.)
- hututus (leur taille vari de celle d’une souris à celle d’un jeune enfant, ils changent à volonté, selon leur bon plaisir et surtout les meurs de leur clan, car les hututus vivent par groupe qui adoptent la taille qu’ils préfèrent, l’habitat qu’ils préfèrent, la nourriture qu’ils préfèrent, ect … Ils ont un aspect agréable mais pas facile à décrire, car on a toujours l’impression de le voir à travers la brume d’un songe, ainsi, il n’est jamais distinct en entier. Ses yeux sont grands, allongés en amendes et brillants. Se pommettes saillantes sont assorties à sa belle bouche charnue. Il a deux petites dents de lapin, un menton et des oreilles pointus, des cheveux dans les tons bruns et châtains assez longs. Il aurait une allure à la fois « animale et princière ».
Les hututus ont des vêtements de prime abord aussi flous que leur apparence. Avec plus d’attention, de concentration, et en les rencontrant de nombreuses fois on peut distinguer ce qui suit.
Les hommes hututus portent un chapeau pointu orné d’une plume d’oiseau, variant d’un clan à l’autre et d’un fin pipeau fait d’un bois variant aussi d’un clan à l’autre. Il est armé d’une sorte de sceptre flèche à la pointe aigue et magique. La nuit il porte une cape, et il a toujours une petite bourse à sa large ceinture.
Les femmes hututus portent des robes rappelant beaucoup des fleurs renversées. Elles ont soit des chapeaux ou des couronnes, parfois des petites coiffes. Elles ont assez souvent des bijoux plus ou moins précieux mais assortis à leurs vêtements.
Les hututus se nourrissent de tous les fruits de saisons que la nature leur apporte. Ils aiment aussi les gaufres, les crêpes et les goûters que certains enfants leur apportent. La seule viande qu’ils mangent est celle de pie, et ils aiment aussi les alcools de ronces.
Les hututus vivent dans des petits villages qu’ils bâtissent eux-mêmes, soit dans les collines de Filiden ou les bosquets de la meme région. Il existe un endroit, une sorte de grand palais arqué sur un chemin, qu’on nomme le « Chemin Hututu ». Il se trouve quelque part dans les Plaines de Filiden c’est là où vit le rois des hututus, sa famille, et c’est aussi là qu’ont lieux tous les grands rendez-vous des hututus.)
Dernière édition par le Sam 28 Juil - 20:38, édité 2 fois
Coleen Mirens- Fondatrice à la retraite
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Re: Les plaines de Filiden, région du Nord
-Daoine Sidh (habitants de la ville cachée des collines de Filiden, ce sont des elfes, cousins des tuatha dé danaan. En un premier temps ils peuvent paraître petits, mais en un second, ils retrouvent leur « grandeur », c'est-à-dire leur taille qui est un peu plus grande que celle des hommes. On les dit beaux comme des anges, si ce n’est leur regard mélancolique et leurs oreilles pointues. Ils ont des cheveux de « lumières » argentées, dorées ou bien plus souvent rousses, une peau pale parfois pommelée de couleur safran. Ils sont fins et vifs comme les ombres et les reflets. Leurs habits sont soient gris, pales ou verts, cette dernière est leur couleur de prédiction, le rouge-orange est aussi très porté.
Ils résident dans une cité-forteresse immense et imposante, quelque part sous les collines de Filiden, ayant quittés les forteresses de la surface, jugeant leur puissance trop grande pour etre dévoilée aux autres mortels qui en faisaient un trop mauvais usage.
Ils continuent cependant à pratiquer leur magie, leurs sciences, leurs arts, leurs musiques et à élever leurs magnifiques chevaux au poitrail large, au cou arqué et doté de la rapidité du vent. Ils se nourrissent de mets abondants et riches, tous à base de safran.
Ils ont de nos jours des contactes plus mesurés qu’autrefois avec les hommes, mais ils commencent à se rapprocher de plus en plus de ces derniers.)
- vendoises et vendoiselles (autrefois grandes voir très grandes, maintenant elles sont minuscules, parfois un rien, un grain, une haleine … Leur petitesse et leur rapidité ainsi que leur fluidité aérienne ne permet pas vraiment de leur donner une apparence, on sait juste qu’elles changent de couleurs selon les saisons et que le temps n’a pas d’impacte sur elles, sauf au niveau de la taille. Celles de mai ont l’éclat des fossés fleuris, celles d’octobre brillent de nuées argentées, ... Elles vivent nues ou vêtues par les voiles du vent et de la flore qu’elles caressent. Elles résident dans les « marres à vendoises » de façon « fixe » mais sinon partout et nul part, dans ce qui est infiniment grand et infiniment petit. Certains disent qu’elles habitent aussi les perles de sucre d’orge, quelques nuages de barbe à papa, quelques gouttes d’eau ou quartiers de cerises …
Elles passent leur temps à jouer, vagabonder, s’enivrer de vitesse, mais elles aident aussi à la pollinisation, de la flore, à défeuiller les arbres en automne, … Elles s’occupent des oiseaux, les guidant, les soignant, elle s’occupent également des enfants qu’elles consolent et pouponnent, elles chantent dans certaines cheminées, proposent des rêves, … Elles distraient également les salamandres, et les aides parfois dans leurs taches. Elles s’occupent en partie de nettoyer la pollution des airs. Elles ne sont ni mauvaises ni nuisibles.)
- salamandres (taille et aspect des salamandres, ou des tritons. Mais ils alternent aussi avec leur forme elfique, habillés de justaucorps et de pantalons collants, rouges et tout brodés d’or, avec une petite couronne en or sertie de rubis, ils ressemblent à de petits hommes et de petites femmes, mais entourés d’un feu qui ne consume pas leurs habits. Ce meme feu leur apporte tout et leur sert autant de nourriture que de protection. Ils vivent dans les marrais ou les rares marres à vendoises, ils évitent les hommes et leur parlent très très peu. Ils ne fréquentent que les alchimistes, les mages, les sorcières, les philosophes et les fées, et encore, ceux qu’ils choisissent et jugent bons d’entretenir de leur savoir. Quand ils se mettent au service des hommes, ils leur transmettent tout leur savoir et l’art de maîtriser le feu, des secrets d’orfèvreries, d’alchimie et de fonte des métaux, mais dans la nature, ils s’enseignent mutuellement et vivent entre eux, profitant de leurs plaisirs et de ce que la nature leur offre. )
- huldres (de taille moyenne par rapport à un humain, ils se montrent rarement, préférant vivre entre eux ou en solitaires dans les plaines et collines de Filiden, loin des villes et villages. La huldre est bien plus gracieuse que le huldre, pourtant agréable mais plus rustique. L’homme huldres revête des habits tels les paysans de jadis, un chapeau qui lui permet d’etre invisible et un long manteau rouge « pleins de secrets ». La femme huldre porte une robe bleue, verte ou blanche, serrée à la taille par une ceinture rouge, sous ses jupons montent haut sur ses cuisses des bas rouges. Jusqu’au bas de son dos descendent des tresses épaisses, et son fichu noué sur la nuque la rend invisible. Ils ont tout deux une longue queue de vache assortit à la couleur de leurs cheveux.
Ils ne craignent ni le jour, ni la nuit, ils n’ont pas peur des hommes, mais n’aiment pas spécialement leur compagnie et ils ne leur sont pas hostiles. Ils ne craignent pas non plus les religions, mais perdent leur queue si ils entrent dans un quelconque temple.
Ils mangent de tout, mais en quantité modérée car ils ne sont pas gourmands. On ne sait pas trop ce qu’ils font de leur journée, mais on les trouve souvent grâce au son fascinant et attirant qui émanent de leur flûte dont ils aiment jouer.)
- matagots (il a la taille d’un grand chat, mais atteint la taille d’un humain « classique » pendant les périodes de pleines lunes où ses yeux deviennent rouges. Son pelage à l’origine est noir, mais on en trouve, bien qu’ils forment une minorité, des matagots de toutes les couleurs. Ils portent des armures ou de belles parures sous lesquelles se trouve un pelage lustré et soigné. Les femelles ont entre les oreilles une tache de feu.
Ces êtres couramment petits vivent dans les plaines, collines et campagnes, comme des chats errants, souvent par bande, rarement solitaires. Ils chassent les petits gibiers à plumes, à écailles ou à poils, pillant les poulaillers et les clapiers, buvant aux pis des vaches et des chèvres la nuit. Ils sont cruels, combatifs, sauvages et ils sont dotés de petits dons magiques. Ils aiment à faire la guerre contre n’importe qui : des habitants de châteaux, des villageois, des voyageurs, contre d’autres bandes de matagots, … Ce sont aussi d’excellents cultivateurs d’herbe matagon.
Certains plus modérés communiquent avec les hommes, échangent avec eux et font du commerce. C’est comme cela que certains s’établissent dans des villages ou des villes, et s’enrichissent, partageant un peu de leurs sous avec leur famille restée dans les campagnes. D’autres, assez rare, se sont laissés apprivoisés par les hommes, les fées ou les elfes, et leur sert au meme titre qu’animal de compagnie, si ce n’est qu’ils parlent, aident dans certaines taches quotidiennes, …
Les matagots se donnent rendez-vous toutes les nuits de pleines lunes, ils se retrouvent par clamp dans des lieux fixés par eux-mêmes, là ils s’adonnent toute la nuit à la magie, aux chants, à la musique, aux danses, à des petits tournois et à des démonstrations de force. Ils discutent du passé, du présent et du futur. Ils sont sans pitié pour ceux qui s’aventurent en ces lieux ces soirs-là, punissant parfois de mort les imprudents, ou ce « contentent » de les torturer. Autre détail, les matagots changent d’épouses tous les ans, pendant les fêtes nocturnes du Mardi Gras.)
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Faune
- Joumeris (créatures ou plutôt bétail mi-bœuf mi ânes)
- Arassas (créatures grisâtres au corps de lézard et à la tête de chat, le regard de feu carbonise ceux qu’ils croisent)
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Flore
- flore fays (plantes rendu magiques par la présence d’un esprit qui n’est pas une dryade ou une hamadryade et qui les habitent mais ne les animent pas mais leur confère plus de puissance, de rigueur et d’importance. Il est important de les respecter et de ne pas les mutiler, couper, ou autre en raisons de surprises plus surprenantes les unes que les autres … La plus grande majorité sont des arbres, mais on peut trouver d’autres plantes telles que des fleurs, des herbes, ect … Il n’est pas si aisé que ça de les reconnaître car ce sont des arbres immenses dont 25 hommes peuvent à peine ceinturer le tronc ou la tige et dans une foret vieille de plusieurs siècles ou millénaires, beaucoup de plantes sont impressionnantes.)
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Ils résident dans une cité-forteresse immense et imposante, quelque part sous les collines de Filiden, ayant quittés les forteresses de la surface, jugeant leur puissance trop grande pour etre dévoilée aux autres mortels qui en faisaient un trop mauvais usage.
Ils continuent cependant à pratiquer leur magie, leurs sciences, leurs arts, leurs musiques et à élever leurs magnifiques chevaux au poitrail large, au cou arqué et doté de la rapidité du vent. Ils se nourrissent de mets abondants et riches, tous à base de safran.
Ils ont de nos jours des contactes plus mesurés qu’autrefois avec les hommes, mais ils commencent à se rapprocher de plus en plus de ces derniers.)
- vendoises et vendoiselles (autrefois grandes voir très grandes, maintenant elles sont minuscules, parfois un rien, un grain, une haleine … Leur petitesse et leur rapidité ainsi que leur fluidité aérienne ne permet pas vraiment de leur donner une apparence, on sait juste qu’elles changent de couleurs selon les saisons et que le temps n’a pas d’impacte sur elles, sauf au niveau de la taille. Celles de mai ont l’éclat des fossés fleuris, celles d’octobre brillent de nuées argentées, ... Elles vivent nues ou vêtues par les voiles du vent et de la flore qu’elles caressent. Elles résident dans les « marres à vendoises » de façon « fixe » mais sinon partout et nul part, dans ce qui est infiniment grand et infiniment petit. Certains disent qu’elles habitent aussi les perles de sucre d’orge, quelques nuages de barbe à papa, quelques gouttes d’eau ou quartiers de cerises …
Elles passent leur temps à jouer, vagabonder, s’enivrer de vitesse, mais elles aident aussi à la pollinisation, de la flore, à défeuiller les arbres en automne, … Elles s’occupent des oiseaux, les guidant, les soignant, elle s’occupent également des enfants qu’elles consolent et pouponnent, elles chantent dans certaines cheminées, proposent des rêves, … Elles distraient également les salamandres, et les aides parfois dans leurs taches. Elles s’occupent en partie de nettoyer la pollution des airs. Elles ne sont ni mauvaises ni nuisibles.)
- salamandres (taille et aspect des salamandres, ou des tritons. Mais ils alternent aussi avec leur forme elfique, habillés de justaucorps et de pantalons collants, rouges et tout brodés d’or, avec une petite couronne en or sertie de rubis, ils ressemblent à de petits hommes et de petites femmes, mais entourés d’un feu qui ne consume pas leurs habits. Ce meme feu leur apporte tout et leur sert autant de nourriture que de protection. Ils vivent dans les marrais ou les rares marres à vendoises, ils évitent les hommes et leur parlent très très peu. Ils ne fréquentent que les alchimistes, les mages, les sorcières, les philosophes et les fées, et encore, ceux qu’ils choisissent et jugent bons d’entretenir de leur savoir. Quand ils se mettent au service des hommes, ils leur transmettent tout leur savoir et l’art de maîtriser le feu, des secrets d’orfèvreries, d’alchimie et de fonte des métaux, mais dans la nature, ils s’enseignent mutuellement et vivent entre eux, profitant de leurs plaisirs et de ce que la nature leur offre. )
- huldres (de taille moyenne par rapport à un humain, ils se montrent rarement, préférant vivre entre eux ou en solitaires dans les plaines et collines de Filiden, loin des villes et villages. La huldre est bien plus gracieuse que le huldre, pourtant agréable mais plus rustique. L’homme huldres revête des habits tels les paysans de jadis, un chapeau qui lui permet d’etre invisible et un long manteau rouge « pleins de secrets ». La femme huldre porte une robe bleue, verte ou blanche, serrée à la taille par une ceinture rouge, sous ses jupons montent haut sur ses cuisses des bas rouges. Jusqu’au bas de son dos descendent des tresses épaisses, et son fichu noué sur la nuque la rend invisible. Ils ont tout deux une longue queue de vache assortit à la couleur de leurs cheveux.
Ils ne craignent ni le jour, ni la nuit, ils n’ont pas peur des hommes, mais n’aiment pas spécialement leur compagnie et ils ne leur sont pas hostiles. Ils ne craignent pas non plus les religions, mais perdent leur queue si ils entrent dans un quelconque temple.
Ils mangent de tout, mais en quantité modérée car ils ne sont pas gourmands. On ne sait pas trop ce qu’ils font de leur journée, mais on les trouve souvent grâce au son fascinant et attirant qui émanent de leur flûte dont ils aiment jouer.)
- matagots (il a la taille d’un grand chat, mais atteint la taille d’un humain « classique » pendant les périodes de pleines lunes où ses yeux deviennent rouges. Son pelage à l’origine est noir, mais on en trouve, bien qu’ils forment une minorité, des matagots de toutes les couleurs. Ils portent des armures ou de belles parures sous lesquelles se trouve un pelage lustré et soigné. Les femelles ont entre les oreilles une tache de feu.
Ces êtres couramment petits vivent dans les plaines, collines et campagnes, comme des chats errants, souvent par bande, rarement solitaires. Ils chassent les petits gibiers à plumes, à écailles ou à poils, pillant les poulaillers et les clapiers, buvant aux pis des vaches et des chèvres la nuit. Ils sont cruels, combatifs, sauvages et ils sont dotés de petits dons magiques. Ils aiment à faire la guerre contre n’importe qui : des habitants de châteaux, des villageois, des voyageurs, contre d’autres bandes de matagots, … Ce sont aussi d’excellents cultivateurs d’herbe matagon.
Certains plus modérés communiquent avec les hommes, échangent avec eux et font du commerce. C’est comme cela que certains s’établissent dans des villages ou des villes, et s’enrichissent, partageant un peu de leurs sous avec leur famille restée dans les campagnes. D’autres, assez rare, se sont laissés apprivoisés par les hommes, les fées ou les elfes, et leur sert au meme titre qu’animal de compagnie, si ce n’est qu’ils parlent, aident dans certaines taches quotidiennes, …
Les matagots se donnent rendez-vous toutes les nuits de pleines lunes, ils se retrouvent par clamp dans des lieux fixés par eux-mêmes, là ils s’adonnent toute la nuit à la magie, aux chants, à la musique, aux danses, à des petits tournois et à des démonstrations de force. Ils discutent du passé, du présent et du futur. Ils sont sans pitié pour ceux qui s’aventurent en ces lieux ces soirs-là, punissant parfois de mort les imprudents, ou ce « contentent » de les torturer. Autre détail, les matagots changent d’épouses tous les ans, pendant les fêtes nocturnes du Mardi Gras.)
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Faune
- Joumeris (créatures ou plutôt bétail mi-bœuf mi ânes)
- Arassas (créatures grisâtres au corps de lézard et à la tête de chat, le regard de feu carbonise ceux qu’ils croisent)
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Flore
- flore fays (plantes rendu magiques par la présence d’un esprit qui n’est pas une dryade ou une hamadryade et qui les habitent mais ne les animent pas mais leur confère plus de puissance, de rigueur et d’importance. Il est important de les respecter et de ne pas les mutiler, couper, ou autre en raisons de surprises plus surprenantes les unes que les autres … La plus grande majorité sont des arbres, mais on peut trouver d’autres plantes telles que des fleurs, des herbes, ect … Il n’est pas si aisé que ça de les reconnaître car ce sont des arbres immenses dont 25 hommes peuvent à peine ceinturer le tronc ou la tige et dans une foret vieille de plusieurs siècles ou millénaires, beaucoup de plantes sont impressionnantes.)
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Coleen Mirens- Fondatrice à la retraite
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