Zach et Naely

Zach venait de rentrer dans sa chambre. Il sniffa la chemise de la prof, puis la posa sur sa table. Il gagna sa chambre, puis ouvrit son armoire. Il choisit une belle chemise bordeau. Il la tendit devant lui et dit :

" J'espère ne pas la cramer celle là, car je l'aime bien." Puis il la mit. A peine fut il habillé, qu'on frappa à sa porte.
Il y avait apparement quelqu'un qui voulait récupérer sa chemise. Zach alla ouvrir la fenêtre, vit qu'il y avait du monde en bas du batiment et cria :

" OUI NAELY CHERIE ATTENDEZ UN PEU QUE JE M'HABILLE AVANT QUE JE VOUS RENDE VOTRE CHEMISE VOYONT...".

Puis il retourna à la fenetre et vit les regards qui ce tournait vers sa fenetre. Certain amusé, il pensa :

" Et voila tu vas avoir du mal avec certains élèves. Moi ma réputation me précéde donc je ne crain rien." Puis il rigolait intérieurement.

Laissant la prof cogner contre sa porte, Zach prit son sac et sorti son livre doré. Il ouvrit à la dernière pages écrites. D'ordinaire quand il ce passait quelque chose, un message s'écrivait, mais là rien. Il devint soucieux, perdu dans ses pensées :

" Je ne comprend absolument rien. Apparement il c'est passé quelque chose d'étrange et ce n'est pas noté. Ce n'est pas normal. Il doit y avoir un blocage quelque part, ce n'est pas possible autrement. Je dois savoir ce qu'il c'est réellement passé........" Un coup plus fort que les autres le vit revenir à lui. Il dit :

" Oui ma cherie j'arrive tu as encore oublié ta clé bouge pas je t'ouvre." Rigolant aux larmes de son aneries, il alla ouvrir la porte et tomba nez à nez avec une Nelly plus rouge que jamais.

Série de post 8

PAF !

Il se prit une nouvelle claque, encore plus survoltée celle-ci. Et Nelly profita qu’il chancelait un peu en arrière pour le repousser encore plus, se forçant ainsi un passage dans son appartement.
– « Comment osez-vous ? Est-ce que vous vous rendez compte que vous êtes en train de détruire ma réputation ?» Elle en avait les larmes aux yeux et sa voix chevrotait…

Nelly s’en voulait d’être si faible, mais il y avait une limite à ne pas dépasser avec elle. La jeune femme avait toujours été d’un naturel discret, et si cela ne la dérangeait pas de plaisanter un peu, elle n’appréciait pas qu’on se moquât d’elle ainsi.
– « Je cherchais juste à vous aider! Si c’est votre façon de me remercier, je préfère m’en passer ! »

La jeune femme lui tourna le dos, dans l’espoir de pouvoir se recomposer une figure. Ses épaules tremblaient de l’effort de contenir ses pleurs. Elle déglutit difficilement et inspira un grand coup.
– « Vous m’êtes redevable. Parlez-moi donc des ces factions. Parlez-moi de la votre. Ah oui, je veux voir votre dragon d’eau. Et ne dites rien de déplacé, sinon vous vous débrouillerez tout seul pour votre œil et votre comportement ! »

Zach ne fut pas surprit de la momumentale baffe qu'il venait de ce prendre. Alors qu'il fut à terre, elle recupera sa chemise et lui tourna le dos. Elle était vraiment en colère. Alors qu'elle lui parlait, il se releva, lui posa les mains sur les épaules et lui déposa dans la nuque plusieur doux baisés. Il enchaina :

" Je ne ruine pas votre réputation, je fait de vous une prof cool. Les élèves vous verront différement et non pas pour une péte sec....Enfin une prof sévère. Il vous respecteront car ils savent comme ça que vous êtes comme eux. Donc ne vous inquiétez pas. Pour mon oeil vous ne m'avez rien dit jusqu'a présent...."
Alors qu'il parlait il commença à lui masser les épaules touchant divers points sensible pour calmer la prof :

" Vous êtes trop tendu détendez vous. Pour ce qui est des factions, je vous trouve bien trop curieuse. Donc les choses que je peux vous dire, c'est que certaines de ses factions sont puissantes dans le monde entier pas que sur ce lieu. Pour ma part, vous avez deviner qui j'étais, mais mon domaine ne s'arrète pas à la France. Je pense que je vous en ai trop dit en vous disant cela. Car je ne vous connait pas plus que ça."
Il continua de la masser et senti entre ses doigts les muscles de la femme ce détendre legèrement. C'est à ce moment qu'Hydro sorti et commença à tourner autour d'eux. Il alla ce placer sur la tête de Nelly et Zach continua de la masser.

Naeleny se figea sous les baisers de Zackary. Elle ne s’attendait pas à ça. Décidément, ce prof n’était pas facile à cerner. Pourquoi faisait-il cela !? Elle venait de lui mettre une baffe, de lui reprocher de jouer avec sa réputation avec ses sous-entendus, et voilà qu’il remettait ça. Ne comprenait-il pas qu’elle n’avait pas l’habitude qu’on soit si proche d’elle ? Ou alors voulait-il faire en sorte que les rumeurs ne soient plus des rumeurs, mais des faits ? Croyait-il vraiment qu’elle allait tomber dans ses bras comme ça ?

Pourtant, ces baisers avaient quelque chose de rassurant. Et alors qu’elle se tendait pour se retourner et mettre les choses à plat, il prit la parole :
– « Ils me respecteront parce que je suis comme eux ? C’est-à-dire ? Une femme qui couche avec un fellow teacher alors qu’ils se connaissent à peine ? C’est ça, être comme eux ? Alors, je préfère être vu comme pette-sec. Au moins, cela veut dire que j’ai un peu de valeur morale… »

Ce fut à ce moment qu’il commença à la masser. Il était peut-être une grande gueule et un lunatique, mais il était doué en massage. Doucement, elle ferma les yeux sur ces larmes brûlantes qui ne coulaient pas, et se laissa faire. Elle écouta ce qui lui disait presque discrètement.
– « Non, c’est vrai, vous ne me connaissez pas. Mais cela ne vous a pas empêchez de vous permettre des mots et des gestes que quiconque trouverait déplacé. Et vous en savez suffisamment sur moi. Que je suis trop gentille, que je n’aime pas qu’on se moque de moi alors que j’essaye de bien faire, que j’ai la poitrine moelleuse et que je connais la magie. Que d’autre y a-t-il à savoir ? »
Sans savoir pourquoi, elle s’était mise à chuchoter, comme si elle ne voulait pas déranger quelque chose. Doucement, elle tendit le bras pour tenter de séduire Hydro, qu’il vienne se poser sur son avant-bras. Elle voulait l’examiner. Même sur Othkar, la race de mini dragon était rare.

– « Quant à votre œil… Je ne vous ai jamais rien dit parce que je n’ai rien pu voir. Je vous l’ai dit, non ? » Doucement, presque à regret de devoir stopper ce massage, elle pivota sur ses talons. Puis elle se mordit les lèvres un instant avant de lever les yeux vers le visage de Zackary. « Maintenant, si vous restez tranquille, je peux regarder…»

Zach eu un petit sourire. Il lui saisit la main, la fit passer devant lui et ferma sa porte avec le pied. Il repassa devant elle et s'assied. Elle commença à l'osculter :

" Vous ne passerez pas pour une prof qui couche avec un quoi deja..........à oui un fellow Teacher. Il vous verrez plus comme quelqu'un qui sait s'éclater. Oui je sait que vous êtes gentille, que vous avez un adorable fessier et une magnifique paire de sein, mais cela n'est pas suffisant pour me faire parler."

Zach senti une douleur dans son oeil alors que Nelly y touchait. Il ce mit à le bruler. Zach retint la douleur. Soudain, il eu deux visions différentes. Une où il voyait le plafond de sa chambre, et de l'autre.....au lieu de voir Nelly il voyait............Il poussa doucement Nelly :

" Je vous remercie," n'ayant même pas fini sa phrase et dans la promptitude de son geste, il rattrappa la prof par la taille et en moins de deux elle se retrouva sur les genoux de Zach. Il plaça son nez dans ses cheveux et inspira. Il plaça sa bouche prés de l'oreille de la prof et dit :

" Vous devez me prendre pour une sorte de pervers, porter sur la chose et ce foutant de pas mal de chose. Il vaut mieux pour vous de me voir comme ceci plutot que comme je suis réellement."
Il savait que sa voix avait encore une intonation bizarre. Mais bon il n'arrivait pas à le controler.

Au loin, une cloche sonna. Zach fit comprendre à Nelly de ce lever. Il se leva à son tour et alors que la prof gagnait la porte d'entrée, il lui mit une petite tape amicale sur le fessier et dit :

" Let's go Little Sweet Ass nous avons des cours à dispenser si je ne m'abuse."

En moins d’une heure, Nelly était passée par presque toutes les émotions du panel des sentiments. La voici maintenant déstabilisée et profondément troublée. Si au départ elle avait cru avoir mal entendue, elle savait maintenant que Zackary avait bien deux « voix ». Ce qui voulait dire deux personnalités. D’ailleurs, il l’avait dit lui-même.
– « Il vaut mieux pour vous de me voir comme ceci plutôt que comme je suis réellement.»

Puis, on rajoutait la question du contact physique. Tout compte fait, ce n’était pas désagréable. Presque euphorique. Jamais elle n’avait éprouvé ça… Oh, elle n’était pas une experte dans les jeux de l’amour, mais elle n’était pas une innocente bécasse. Et le fait de ne rien savoir de précis sur Zack ne dérangeait pas. Il y avait des relations qui commençaient avec moins que ça. Non, le problème était qu’elle ne savait qui était le vrai Zack et si elle pouvait se fier à ses gestes… ou à ses mots.

Un mystère qu’elle se devait de découvrir. Déjà, elle avait suffisamment d’info pour faire un rapport à Hikaru. Mais elle voulait en savoir plus. Et elle voulait examiner cet œil et ce dragon. Le fait qu’un Juujika existe, et que l’organisation soit encore sur place en France comme dans le monde. Mais que leur chef eut toutes ses particularités…. Un hasard bien trop fort pour que cela ne soit qu’un hasard…
– « Let's go Little Sweet Ass nous avons des cours à dispenser si je ne m'abuse »
– « Indeed. Mais j’ai toujours votre œil à examiner. Ne croyez pas que je vais abandonner le sujet. Vos manœuvres de distraction n’ont pas marché, et ne marcheront pas sur moi ! »
Nelly sortit cette dernière phrase avec un rien de défi. Elle allait sortir quand elle se rappela de l’objet de sa visite initiale. Sa chemise. Elle trainait encore sur la table, et la jeune femme fit un pas pour la récupérer. Ce fut à ce moment qu’elle remarqua un carnet abandonné à côté, grand ouvert sur une page blanche. Clairement, il ne s’agissait pas d’un livre.
– « Tiens, je ne vous pensais pas écrivain. Est-ce vos mémoires, ou juste un carnet intime ? »
L’idée d’un Zack qui rédigeait et confiait ses pensées et doutes à un cahier avait quelque chose d’amusant… mais aussi d’extrêmement tentant pour notre espionne en herbe. Qui sait ce que ce cahier pouvait révéler sur l’individu mal défini qu’était Zack…

Zack se retourna en ne laissant rien paraitre même si il était irrité. Il s'apporcha de la table et dit :

" Ralala que ferais je sans toi, j'allais l'oublier" il saisit le livre le ferma, prit son sac et le foura à l'intérieur.

Il regarda Nelly qui avait un air deçut. Il soupira et lui dit :
" Ce livre me sert un peu à tout. J'écrit de petites nouvelles, je prépare mes cours. Donc ce livre est assez important pour moi".

La prof ne semblait pas plus convainqut que ça. Mais il n'allait pas dire la vérité sur ce livre qui dévoilerai ses origines ainsi que d'autre choses plus personnel.
Aprés avoir fini de parler, il saisit la main de Nelly et lui dit :
" Allez Sweet Ass, allons faire nos cours. Si on arrive en retard, là tu ne seras pas crédible auprés de tes élèves."
Il l'accompagna alors à la sortie. Il vérifia qu'elle avait bien sa chemise. Et il ferma sa porte.

Alors qu'ils gagnaient la sortie, Zach ralenti, et posa ses yeux sur une partie basse et musclée du corps de Nelly. Il se mit à penser :
" Elle a vraiment un joli cul..." A ce moment sa tête et son oeil commencèrent à lui faire mal. Il posa un genoux à terre. Gémissant, il eu des flashbacks : une fille, beaucoup de sexe, une disparition.....Zach ce laissa choire sur le mur et s'assied.

– « Je vous serais reconnaissante de ne pas m’appeler comme ça. Même entre nous. Mon Sweet ass n’est pas uniquement ce qui me définit, et vous connaissant, vous êtes capable de m’appeler ainsi en public. Et ça je le prendrais très mal !»

Non mais… Il y avait une limite, et Nelly avait compris qu’avec Zack, il fallait planter la barrière très tôt et la consolider durement. Parce que sinon, il se contenterait de sauter clôture et de folâtrer où ne sait où. Il était comme un enfant.
A peine avait-elle fini sa demande qu’elle entendait un grognement derrière elle. Mais que pouvait-il encore faire…

En se retournant, elle eut la réponse à sa question. Il avait encore mal. Il recommençait sa crise. Alors, cette fois, Nelly ne se laissa pas faire.
– « Ce n’est pas vrai ! Allez, zou ! On retourne dans votre chambre, hors de question que vous alliez en cours comme ça !»
Bien sûr, elle était loin de se douter qu’elle semblait être la source de sa douleur et que plus elle restait près de lui, plus elle le blessait. Au contraire, elle ne pouvait résister à une personne qui souffrait. C’était sa nature.
Elle se baissa et attrapa les clés de Zack pour ouvrir sa porte et arriva tant bien que mal à reconduire le professeur dans sa chambre. A bout de forces parce qu’il s’appuyait lourdement sur elle, elle le laissa tomber dans le fauteuil qu’il avait précédemment utilisé. Et celle fois, elle ne se laissa pas faire et immobilisa sa tête, écarta sa main et examina son œil.

[HS: il faut que tu me décrives ce que je vois dans ton oeil et ce que cela veut dire. Naeleny a de grandes chances de savoir ce que c'est!]

Zach serrait plus fortement son oeil. Il le fesait souffrir. En l'ouvrant, il pouvait voir courir des parties de sa vie. Des milliers de souvenirs passait par cet oeil. Comme ci celui ci était vivant et qu'il voulait bien le faire voir et surtout le revendiquer. Il senti quelqu'un fouiller dans sa poche. Sans doute Nelly qui lui prenait quelque chose. Puis aprés quelque instant, il se senti debout, mais in capable de marcher. Il se fesait plus où moins trainer. Il senti son corps ce soulever et atterire lourdement. De tou ça il s'en moquait. Il savait qu'il était en position de faiblesse. Là étalé, sa tête parant en arrière, son oeil forcer à être ouvert. Zach résista à la douleur. Il revit plusieur periode de sa vie ,mais toutes confuces. Ses parents Japonais adoptif, avec lesquel il dinait mais enfant. A la table ce trouvait un de ses élèves, Byakko, qui lui montrait sa croix des Juujika. Puis tout passait vite, sa mère adoptive en pleure. Son père adoptif absent. Puis soudain, le calme, plus de douleur juste une voix qui l'appelait :

" Zach, Zach tu reconnais ma voix? J'espère que oui. Tu dois te préparer, car quelque chose va arriver. Tu es une des pièces de ce qui doit arriver garde cela à l'esprit. En suivant les signes tu sera où je suis". La voix était douce, mais dure. Calme, mais sévère. Il l'avait reconnu. Comment oublier la voix de son père, disparut sans laisser de trace si tôt.

Puis la douleur revint et une autre voix prit la place celle ci violente et agressive :

" HEYYYYYY j'espère que tu ne m'as pas oublier moi je suis là, et je vit toujours ne l'oublie pas. Tu es moi et je suis toi ha ha ha ne l'oublie jamais. D'ailleur tu as du voir que je suis là pour te le rappeler....."
La douleur de vint de plus en plus forte à tel point, que l'oeil de Zach ce lit à saigner sans raison.

Nealeny eut un sifflement aigu en reconnaissant le symbole dans l’œil de Zackary. « Souvenir indéfini ». Ouais, ben ça ne l’avançait pas trop. Mais cela expliquait pourquoi Zack était à moitié dans les vappes. Et les voix bizarres… Par les Dieux des Cieux ! Ça devait être un bazar sans nom dans sa tête, s’il avait eu des problèmes de mémoire. Problème qui, cela allait sans dire, avait provoqué par des moyens magiques.

Et là, Naeleny ne voyait aucun sort qui faisait ça. Ce qui n’était pas étonnant, parce qu’elle était bien loin de connaître tout sur la magie. Et cela était logique qu’elle ne sentît un peu dépassée par la situation et incapable de faire quoi que ce soit. La seule chose qu’elle voyait être à sa portée était quelque peu extrême… et pas forcément efficace. De toute façon, cela ne lui coûtait rien d’essayer. Enfin, pas grand-chose…
– « Zackary, veuillez m’excuser si je fais une erreur… Tria filia nigra promissiva, mihi limitationem per tres dies »

Elle posa doucement les mains autour du visage du professeur et murmura la formule. Elle sentit le pouvoir magique s’échapper de ses mains et envelopper Zack… Mais il restait à savoir si cela allait être efficace !

Spoiler:

[HS: je ne tire pas le dé parce que zack n'est pas en mesure de se défendre]
[- 100 PM]

Zach se retenait de hurler. Il avait mal. Lui qui supportait bien la douleur, celle ci était bien trop fort. Au loin il entendit des mots qu'il n'arrivait pas à identifier. Mais à la fin des ces mots, tout devint calme. Trop calme. Comme-ci son âme avait quitté son corps. Il était bien. Il vit qu'il arrivait à sa promener dans sa mémoire pour tout remettre en ordre. C'est ce qu'il commença à faire.

Pendant ce temps à l'extrérieur, Zach s'était calmer. Nelly semblait satisfaite et gardait les mains autour du visage de Zach. C'est alors que ses yeux s'ouvrir. Son oeil rouge étincellait plus que jamais. Il saisit alors Nelly par le col, ce releva et alla la plaquer contre un mur er hurla d'un voix qui n'était pas celle de Zach. Celle ci était violente et inspirai l'effroi :

" Mais qu'est ce que vous avez fait. Vous êtes inconsciente ou quoi. Uiliser ce genre de sort sur moi. Vous savez qui je suis et ce que je représente? Non alors pourquoi prendre de tel droit? Vous méritez que je vous...."
Zach arma son poing. La température commença à baisser. Une fumée envellopa le poing de Zach. Une couche de glace ce forma autour de son bras, le rendant aussi dur que la pierre. Son bras commençait à ce tendre en direction du visage de Nelly........
C'est alors qu'il s'effondra au sol. La température revint à la normal ainsi que le bras de Zach.
Allonger par terre, Zach ouvrit les yeux et vit au dessus de lui Nelly. Il dit d'une voix encore endormit :
" Bonjour ma cherie, tu as bien dormit? Moi oui. Tu as pensé aux croissants??" Zach sourit doucement, " Je plaisante pouvez vous juste m'aider à me relever?"

Plaquée contre le mur, là où Zack l’avait projeté, Nelly ne bougeait plus, si ce n’était pour trembler de peur. Chaque pore de sa peau émettait des phéromones de frayeur intense. Ses yeux s’étaient rétrécis à deux pupilles de la taille d’une épingle à coudre…

Dans sa tête, une seule idée tournait en rond. Comment avait-il pu commencer à manifester de la magie alors qu’elle avait scellé son pouvoir. Il aurait dû être incapable de ne serait-ce concentrer son pouvoir… Et cette voix. Nelly avait compris que Zack avait un problème de mémoire, mais maintenant, il était clair que la situation dépassait tout ce qu’elle avait pu envisager.

Et Zack qui ne se rendait pas compte de la situation, et qui continuer à plaisanter. Le fait même qu’il ignorât ce qui lui arrivait compliquait encore plus les choses. Comment allait-elle convaincre Zack qu’il avait un problème si lui-même ne s’en rendait pas compte.
Et lentement, l’idée qu’elle fut peut-être la cause de tout ça s’insinua en elle. Etait-ce parce qu’elle était d’Othkar ? Ou Malefactor ? Allait-elle non seulement faire souffrir Zack, mais aussi faillir à sa mission ?

Elle ferma les yeux, incapable de se calmer. Lentement, ne voulant pas brusquer Zack ou déclencher une nouvelle crise, elle recula à tâtons, cherchant son chemin de la main. Arriva ce qui devait arriver : elle trébucha sur une chaise et tomba au sol. Cette fois, la contrariété précédemment titillée par Zack, la peur et maintenant la douleur se combinèrent en une panique incontrôlable. Elle se recroquevilla en position fœtale et ferma les yeux encore plus forts, en souhaitant de tout son cœur que Zack s’en allât sans demander son reste…

Zach se redressa seul. Car au lieu de l'aider, Nelly recula et alla se recroqueviller dasn un coin, tranblant de peur. Zach ne comprit pas sur le coup. Il marcha à quatre pattes pour ce placer en face de Nelly. Il resta figé devant elle n'osant la toucher et calmement dit :

" Nelly, dites moi ce qu'il c'est passé? Pourquoi tant de peur envers moi?" Puis Zach s'arréta net. Il repensa à ce qu'il avait vu et entendu pendant sa crise.
Il se mit en tailleur et dit :

" Je ne sais pas pourquoi, mais mon instinct me dit de ne pas te faire confiance, mais je ne sait pas pourquoi j'ai envi de te faire confiance. Une belle contradiction n'est ce pas. Je vais t'en dévoiler une partie. Disons que enfant, j'ai souffert d'une sorte de schyzophrénie. Il y eu moi et un autre moi. Un moi violent incontrolable. J'ai eu un pére adoptif, qui pratiquait la magie et qui avait réussit à sceller cet être. Je ne sait pas pourqoui, il est resorti. L'emprise magique ne fait plus effet, donc je suis lui et il est moi. J'aurai du m'en douter à cause de mon oeil, mais je ne voulais pas y croire. Mais bon c'est comme ça. J'ai un ENORME trou de mémoire. Je ne sais absolument pas ce qui c'est passé, et je pense qu'il à dut resurgir pendant ce temps là."......Zach marqua un temps d'arret et reprit :
" Avez vous utilisé un sort sur moi??? Je me sent bizarre, j'ai l'impression que mes facultés sont diminuées. Si c'est le cas pouvez vous le lever. Car vous savez qui je suis, et privé de l'utilisation complete de mes pouvoirs, je suis une cible facile."

Zach s'approcha de Nelly et l'enlaça :

" Allez professeur ressaisisez vous et aller faire votre cours, vos élèves vous attendent" lui dit il d'une voix paternel.

Nealeny résista à l’envie puérile de l’envoyer balader. Pour autant elle ne bougea pas, ne voulant plus voir Zackary, au risque de provoquer l’autre Zack.
– « Oui. J’ai scellé votre magie… Apparemment, ça n’a pas vraiment d’effets sur votre autre vous. Il m’a menacé. Il m’aurait tué. Et je ne pense pas que cela soit mon sceau qui l’en ait empêché. »

Grognant elle roula sur elle-même pour se mettre sur le dos. La jeune femme ne fit cependant aucun effort pour se remettre debout. Elle ne pensait pas que ses jambes pussent la soutenir.
– « Si vous êtes si indécis quant à savoir si vous devez me faire confiance ou pas, pourquoi tout me dire ? Ça vous met en danger beaucoup plus que votre magie scellée. C’est temporaire, après tout. Dans trois jours, ça partira tout seul… »

Elle posa son bras sur ses yeux et essaya de faire le vide :
– « Allez vous-en. Je ne veux pas vous voir. »

Zach se redresa et sourit ironiquement :

" Soit aprés tout c'est toute l'histoire de ma vie. Laisser les gens tranquillent, il sourit doucement, cela à toujours été comme ça de tout façon. Je ne voit pas en quoi sa changerai aujourd'hui. A mon avis, et je me trompe peu etre, vous ne savez pas ce que c'est que d'avoir une famille qui vous aime....J'en ai eu une. Pas mes vrais parents soit mais une famille où on m'acceptait et non pas où on me montrai du doigt en me laissant dans mon coin...........Bref assez pensé tout haut et de toute façon vous vous en foutez royalement"

Il gagna la porte et sans ce retourner dit :
" Professeur, il me semble que vous avez un cours à assurer. Fermer juste la porte derrière vous pas la peine de la fermer j'ai tout de valeur là dedans, dit il en désignant la sacoche qu'il avait en pendouillaire. Ressaisissez vous bien, vous allez en avoir besoin."

Sans dire un mot de plus, il ouvrit la porte, sortit et la referma, partant pour la salle des profs.