1ère arrivée sur Othkar [Event privé]

La porte franchie, Lia dût fermer les yeux. Contrairement à la nuit obscure dans le cimetière, il faisait jour ici, la lumière passant abondamment par de larges fenêtres.

Quant elle put les rouvrir, et que ses yeux se furent habitués à ce brusque chagement, elle détailla la pièce, ébahie. N'ayant jamais découvert un monde parallèle au détour d'une rue, elle n'avait pas su à quoi s'attendre, mais si elle avait pu, ça n'aurait probablement pas ressemblé à ça...

Enfin, il faut dire que tout ce qu'elle voyait pour l'instant, c'était des livres, encore des livres, et au milieu, des gardes en armure et des gens de haute naissance apparemment, sortis tout droits d'un livre de Moyen-Age.

A mieux détailler, c'était plutôt d'un Tolkien.

Et au-delà des fenêtres, une ville immense et bourdonnante de vie s'étendait, donnant l'envie à la jeune fille de sortir, faisant fi des bonnes manières, et d'aller tout explorer.

*Othkar... je sens que je vais ma plaire, ici...*

Elle se retourna vers le comité d'accueil, attendant que l'homme qui les avait accueillis, probablement le chef de ce monde, quelque soit le nom qu'il y porte, leur adresse une nouvelle fois la parole.

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Aayon se tenait droit derrière Glaldius, à sa place, assignée par son rôle d'Ami et Conseiller de l'Empereur.

La porte s'ouvrit alors, et les premiers venus de l'Ailleurs pénètrèrent dans l'Académie, surpris par le changement de luminosité entre leurs deux mondes.

L'un d'eux vacilla même, et tomba à genoux, ses yeux peinant à s'habituer.

Le Comte tiqua. Un tel comportement ne valait que pour les faibles, et si ce garçon avait su défaire l'un des quatres gardiens, il ne l'était pas. Il y avait quelque chose d'autre...

La venue des autres détourna l'attention des gardes et de l'Empereur, mais celui d'Aayon resta braqué sur le jeune homme. Et il eut raison. Bientôt son état empira, inquiétant l'Elfe Royal, et le jeune homme dut être soutenu par deux solides gardes, qu'il voulut repousser...

...et envoya soudain s'écraser sur une rangée de livres précieux.

Bien que sa main dissimulât ce qui se passait en lui, un éclat animal passa dans l'intersertice, et le conseiller se sentit percé à jour, comme si le garçon avait entrevu sa nature un instant.

*Intéressant*

Le garçon s'éffondra ensuite, inconscient. Un médecin l'emmena dans une pièce mitoyenne, laissant l'Empereur un peu désabusé.
Le comte se pencha à son oreille.

-N'ayez crainte, Glaldius, ceci est sûrement dû au passage dans notre monde. Les effets des efluves magiques qui parcourent Othkar ont parfois ce genre... d'inconvénients. Je vais moi-même me rendre auprès de lui, afin de voir ce qu'il en est.

Une fois de plus rassénéré par les paroles de son ami, l'Empereur invita le reste des Terriens à se rendre dans une salle plus propice à la discussion, les rassurant sur le sort de Byakko.

-Nos médecins sont les plus performants de tout le pays, bien que vous n'ayez probablement aucune idée de la superficie que cela implique. Votre ami est entre de bonnes mains.


[Donc, Byakko dans une autre salle avec un médecin et Aayon, le reste avec l'empereur... ]

Arrivé sur Okthar, Jp dut faire un bon sur le côté pour esquiver deux gardes qui voler dans sa direction.

*Tiens il pleut des gardes je crois que je vais adorer ce pays !*

Jp regarda autour de lui et aperçu ses camarades. A première vues c'était Byakko qui avait des problèmes de santes et non une manniere de ce saluer propre a ce monde. D'un rapide coup d'oeill Jp vérifia l'aspect physique des autres et put constater qu'ils avaient tous l'air an bonne sante. Seul Byakko avait l'air d'avoir des problemes et le vol des gardes semblait l'attester.

Ils se trouvait dans une vaste salle ou trônait de nombreuses bibliothèques. Une escouade de gardes semblait protéger une personne importante : un homme habillé avec de riches vêtements, ce dernier ressemblait a un prince ou un roi...

Jp fut arrêté dans son observation par Kumo qui lui sauta sur l'épaule droite.

"J'espère que tu ne veux pas retourner dans l'ancien monde d'où on vient car je ne pense y revenir avant un sacré bout de temps dit Jp a Kumo. J'ai pas mal de chose a voir et rester enfermé dans une salle ne me dit rien"

Kumo ne répondit rien a son maître car il savait qu'il serait pratiquement impossible de lui faire changer d'avis.

Jp sapprocha discretement des autres et attendit la suite.

Edit Byakko : Petite motification concernant l'Empereur. Il ne s'agit plus d'un elfe mais d'un humain.

Orphen franchit le portail après les dégâts et vit alors deux corps à terre il soupira regarda autour de lui et comprit qui en était là cause vu son absence.

Vu l'absence du jeune homme qui a eut se désagrément je m'incline pour lui et pour moi. Etant mon supérieur et étant juste en dessous de lui je vous demande de bien vouloir accepter nos excuses pour ce problème.

Orphen s'était incliné en parlant à l'empereur reconnaissant son haut rang parmis les gardes. Seul problème c'est que quand il releva la tête quelques livres prirent feu vut que l'aura d'Orphen avait été amplifiée par une force étrange. Il se resaisit vite baissant son aura au minimum et se grattant la tête comme un abruti. Puis il se reprt et observa la salle où il se trouvait.

*Sa doit être une blibliothèque et vu l'aura amplfiée que j'ai eu je suis maintyenant certain d'être à Othkar.*

Votre majesté je me ferais un plaisir d'être votre interlocuteur lors de ce premier échange un peu comme l'ambassadeur de la terre étant le plus vieux du groupe.

(hs:comme byakko est ailleurs je répondrais aux questions de l'empereur à sa place. et vu que je suis son bras-droit.)

Jp qui s'était fondu dans le groupe de ses camarades se raprocha discretemnt de Lia et fit un petit pinçon au niveau de la hanche droite de cette dernière. Elle poussa un petit couinemet aigu comparable a celui d'une sourie.

" Tu as l'aire en bonne santé après ce combat, je te remercie de m'avoir amener a l'infirmerie. Qu'est ce qui c' est passe pendant mon absence et qu'arrive t-il a Byakko ? "

C'est a cet instant que le superieur de Jean-Patrick arriva dans ce monde et commença a parler avec le prince.

Byakko s'était évanouïe sur le sol et fut transporté dans une salle à part en compagnie du consiller royal. Comme l'avait prédit sa mère, il y a des années, le jour où les dons originels de la famille retrouveraient leur origines, l'histoire de leur famille depuis leur création serait révélé à Byakko.

En effet, Byakko qui s'était évanouïe fit un étrange rêve durant son sommeil. Celui contait l'histoire clan à l'époque Edo, au Japon. Le clan Byakko .......

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Une belle journée commence sur les plaines de la province d'Iga. Les habitants voguent à leur occupations quotidiennes sous la protection des Ninja d'Iga. Ils sont loin de se douter que cette journée sera propablement leur dernière pour un grand nombre d'entre eux ....

Shirotora, un jeune membre du clan ninja Byakko, est de garde dans son village. Perché sur un arbre, il surveille l'horizon clair, bercé par un doux vent.

- Hum ........ Y'a vraiment rien à faire ici. Même pas un combat pour s'occupé. C'est devenu vraiment calme depuis que les troupes d'élites du clan sont partit faire la guerre.

Alors qu'il se repose tranquillement pendant une sieste, fatigué de ses longues heures de garde, une odeur de brûlé le réveille soudainement. Regardant en direction du village, il aperçoit celui-ci en feu. Son manque de vigilance et l'attaque surprise des troupes de Oda Nobunaga ont permis aux soldats d'envahir son village.

Poussé par la colère et par l'envi de réparer son erreur, il fonce sur l'ennemi. Ayant subit un entraînement assidu, il arrive facilement à en éliminer une cinquantaine d'hommes, avant de rejoindre les autres membres de son clan, qui organisent la contre attaque.

- Okashira, que se passe-t-il ?

- Les hommes de Oda Nobunaga tente de soumettre la province d'Iga et toute sa population. Nous pensions qu'il ne viendrait pas dans une région aussi reculé. Se fut une erreur de s'opposer à eux.

- Mais les autres devraient bientôt revenir nous aider à les repoussés ....

- Si tu comptes sur l'intervention de ceux qui sont partit aidé les troupes de Takeda Katsuyori, tout comme tes parents, ils sont surement mort.

- Que !?

- Nous avons appris récement que la bataille avait donné victoire aux troupes de Nobunaga et des Tokugawa, mais nous ne pouvions pas nous y résoudre.

- Mais alors mes parents sont ......

- Oui comme tout les autres, ils sont ...... Gwarrrrrrrf !

- Okashira, Okashi ...... Gwaaaaarrf ! ..... ra .....

Shirotora pris un coup de katana en plein ventre et s'écroula au sol. Encore conscient, il put voir la reste du clan se faire décimé sous ses yeux, avant de s'évanouïr .....

Face à une armée de plus de 5000 hommes, un petit clans de ninja en effectif réduit ne peut rien changé au résultat final. La bataille se termine donc par la soumission du village au nouveau régime politique et l'extermination du clan Byakko .....

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[HS : Okashira est le rang donné au chef du clan Byakko. Je mettrais la suite de l'histoire au prochain post ^^.]

Byakko toujours en plein rêve, vit tout d'abord les lieux l'entourant s'assombrir, puis, il se retrouva dans un autre lieu et un une autre époque.....

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Quelque part dans la forêt, au pied du mont Fuji, le portail vers Othkar est de nouveau ouvert depuis la ville des elfes. Un groupe de chasseurs elfes est venu afin de récupérer un objet important dérobé dans leur monde. Alors qu’ils sont à la poursuite des voleurs, ils arrivèrent soudains au bord d’un gouffre. Ils tenaient enfin en jougs les voleurs. C’est une nuit très sombre et pluvieuse, où la pluie tombe à flot. Parmi les poursuivants, Ayv Lothira Delunia, prêtresse du temple de Celaralindë, espère récupérer le dit objet, qui était sous sa garde.

Les elfes de Celaralindë sont connus sur Othkar pour leurs dons exceptionnels de la Nature, ce qui leur permet de vivre dans la dense forêt d’Orphale et de chasser n’importe quelle proie. Mais cette nuit, ils ne sont pas en mesure de terminer la mission qu’il leur a été confié …

Les humains, leur faisant face, plus rusés que de nature, leur tendent une embuscade, avec leurs complices se trouvant du coté terrien du portail. Après une lutte acharnée, ils prennent la fuite laissant le groupe d’elfes affaiblit, livrés à eux même dans un monde qui n’est pas le leur, le portail ayant été de nouveau scellé par les complices des voleurs.

Six longues années plus tard, Ayv est la seule survivante de son groupe. Livrée à elle même dans un monde totalement inconnu. La population les a rejetée, ses compagnons et elle. Traqués et exterminés sans vergogne par les autorités locales, qui n’acceptent par leurs différences physiques.

Forcée à se déplacer sans cesse pour se cacher, elle arrive dans les ruines d’un village de l’ouest de la province d’Iga. Voyant des cadavres et des braises encore chaudes dans ce qui devait être des maisons, il y a encore quelques heures, force était pour elle de constater que la population était décimée. Tout en traversant, elle regarda autour d’elle pour trouver quelques choses qui pourrais lui être utile pour la suite de son périple. Marchant vite, ne regardant pas devant elle, elle heurte quelque chose et trébuche, tombant au milieu des cadavres.

Se redressant, apeurée au beau milieu du tas de corps sans vie, elle entend une faible plainte que seules ses oreilles elfes peuvent entendre. Elle se redresse et voit prés d’elle le corps d’un jeune homme qui peine à bouger.

*Il est à moitié mort*, pensa t’elle.

Alors qu’elle examine l’homme de plus prés, Ayv surprise, ne sait que faire. Sur son visage coule des larmes. Repérant une maison presque intact, elle le ramène avec elle, dans ce qui sera maintenant sa maison : une cabane au fond d’un village dévasté par la guerre, coupé du reste du monde. Après avoir aménagé la maison comme elle le peux, Ayy place le jeune homme sur une natte pour qu’il soit plus à même de se reposer des mésaventures qu’elle lui imagine. Alors qu’elle revient de la forêt avec divers éléments pour fabriquer un onguent, elle voit que le jeune homme remue beaucoup dans son sommeil, ne cessant d’appeler des noms. Bien qu’ayant toutes les raison de haïr les humains, Ayv a aussi appris, lors de son exil forcée, que certains humains peuvent être digne de confiance. Mais malheureusement pour eux, ils sont tous assassinés dès que les autres ont eut vent de leur comportement amical avec les elfes.
Alors qu’elle se reproche de lui, pour lui mettre l’onguent qu’elle venait de faire, Ayy ne sut dire si, la lumière du brasero, ou bien le faite qu’il soit comme un enfant, soit responsable de faire ressortir sa beauté intérieur.

- Il est vraiment très beau pour un humain …