Le palais de Myndel et Noel

Zach sentait de l'enervement dans la voix de Byakko.

" Tu veux passer avec ton armes? rien de plus simple laisse moi faire"

Zach retira ses lunettes et interpella le garde en le fixant dans les yeux :

"Monsieur, ce jeune homme à besoin de son arme pour son costume, et en plus c'est meme pas une arme c'est un baton pour l'aider à marcher"

Le garde eu des yeux tout rond et regarda Byakko de bas en haut et haut en bas et dit :[b]" Ha oui effectivement j'avais pas bien remarquer, vous pouvez entrer."[/b]

Zach remit ses lunettes et dit à Byakko en rigolant:
" Tu vois il dois avoir besoin de lunette"

Zach n'eu pas le temps de remettre ses lunettes q'une autre personne vint vers Byakko. Zach ce dit :
" Ha non je ne vais quand meme pas tous les hypnotiser. Voyont comment, il va s'en sortir."

Zach resta donc un peu en retrait, et écouta la conversation. Quand la personne invita Byakko à entrer avec son katana. Quand celui-ci commençai à etre retisant, Zach bougea. Il s'avança, posa ses mains sur les épaules de Byakko et dit d'un don jovial :
" Excusé moi messieurs, mais je crois q'un buffet m'appel. Byakko tu devrais rentrer il y a deja pas mal de tes amis", puis lachant Byakko et avançant en direction de l'homme, Zach ce déplaça d'un pas, :" Excuser moi monsieur", puis Zach passa à coter lui épaule contre épaule.

Quand Zach ne fut plus entouré il dit a voix trés basse :
" Hydro tu me fouilles cet endroit de fond comble, et bien entendu, tu restes invisible. Ils ne veulent pas le laisser rentrer à cause d'un petit katana, dans cescas là je ne devrais meme pas être ici, rigola t'il doucement".
Puis s'avançant de plus en plus vers le buffet il dit à voix mi haute :
" Venez à moi mes amis les petits fours". En ce moquant complétement de la tension qui régnait dans la salle.

Aayon eut un sourire mauvais et carnassier en voyant le cavalier de sa proie s'interposer, puis l'emmener à l'écart.
Ce qui l'agaçait venait aussi que ce freluquet avait voulu l'impressionner avec son aura de flammèches. Il débrida légèrement la sienne, assez pour qu'une impression de mort suive le couple jusqu'au jardin.

On ne défie pas Aayon Shark. Car de toute façon, on perd.

Il allait emboiter le pas au couple, refusant d'abandonner deux fois dans la même soirée, mais une serveuse vint lui porter un message de l'Empereur. Reprenant un visage aimable et chaleureux, faisant fondre immédiatement la jeune femme avec ses yeux noirs, il receptionna l'information, et congédia la servante béate.

Tandis qu'il marchait vers les balcons, il rangea la nouvelle dans un coin de sa tête, sans crainte de l'oublier. Il n'oubliait jamais rien. Surtout pas un pouvoir d'hypnose aussi intéressant.

Se rendant à nouveau auprès de la jeune femme aux cheveux bleus, il écarta doucement mais avec force son cavalier, comme s'il avait éte une table, et s'inclina devant la demoiselle.

-Mon intention n'était point de vous choquer, soyez-en sûre. Si la danse ne vous a pas plu à ce point...

Il agrémenta la phrase, qui bien que polie ne présentait pas la moindre excuse, d'un sourire chaleureux. Il était bon danseur, et la jeune fille ne pourrait jamais dire qu'elle n'avait pas apprécié danser avec lui sans mentir.

-... je vous aurais volontiers laissée au calme, souligna-t-il, reprenant les mots prononcés plus tôt, mais vous ne m'avez pas donné votre nom, aors que je vus ai donné le mien. Et il me serait fort triste de n'avoir qu'un splendide visage à me rappeler.

Dans son dos, il sentit le garçon s'agiter. Aurait-il été seul qu'un rictus carnaisser se serait peint sur ses traits.

*Ose me déranger, pensa-t-il, et tu verras ce que tu vaux vraiment*

-Capable du pire? Drac, je vais me répéter, comment le sais-tu, si tu ne connais que cet homme par les dires de la Cour?

Lia planta ses yeux, que les flux magiques d'Othkar faisaient doucement scintiller, dans ceux du garçon.

Elle attendait qu'il lui dise ce qu'elle avait deviné, qu'il avoue, qu'il... lui fasse un peu confiance.
Une impression malsaine s'étala un court instant dans la salle, comme si un être puissant et mortellement dangereux étaient entré, faisant se crisper tout les combattants présents, avant de disparaître.

Le visage de Drac s'était subitement relevé en sentant cette aura, puis détendu en apercevant quelque chose derrière le dos de Lia. Elle se retourna pour voir celui qu'elle soupçonnait apartenenir à la Famille de Drac quitter la salle.

-Alors?

Alors que Zach buvait un délicieux breuvage à base d'ingrédient qu'il ne connaissait pas, Hydro revint.

" Ha bon des personnes parlent de mon hypnotisaion du garde. Ha ha ha attendont de voir leur réaction, mais bon je suis juste venus pour boire un verre et manger un truc pour les fetes. Cela m'étonnerais fort qu'ils tentent quoi que ce soit." dit Zach à vois basse.
Puis il se retourna, scruta un peu la salle et tomba sur un spectacle assez articulier. Lia était avec un autre élève du nom de Drac et une certaine tension emmanaitde lui et d'une personne qui venait de sortir de la salle. Zach eu comme une sorte de mauvais présentiment. Pour lui même il se dit :
" Chouette, on va peu etre avoir le droit à un diner spectacle", puis il se returna vers le bar finissant son verre et en demanda un autre.

C’était un soir d’hiver, un soir de fête. Le bal de Myndel réunissait bon nombre de personnalité dont les plus importante d’Othkars ainsi que de jeunes terriens fraîchement arriver de Terre. La capitale resplendissante des décorations de noël, pouvait compter à présent une merveille de plus. Jamais la salle n’avait été aussi bien décorée ! Jamais les décorations n’avaient été aussi raffinées et aussi bien assorties ! Des guirlandes de branches de sapins blancs étaient accrochées ça et là, donnant l’illusion d’une véritable forêt. Les tapisseries médiévales étaient masquées par de splendides tableaux de paysages enneigés, de forêt de conifères, d’intérieur de maison doux et accueillant. De chacun de ses tableaux émanait une douce odeur en rapport avec l’image. Cela faisait plus vrai que nature. Des flocons d’or, d’argent et de mytril, métal bleu, tombait du plafond tels de la poussière d’étoile, et miroitaient à la lumière des candélabres. Illusions féeriques, ces flocons disparaissaient dès qu’il rencontrait un obstacle lors de leur lente descente. Le sol de la salle était recouvert d’un tapis rouge et vert, brodé d’argent et de fil de diamant. Le long des côtés de la salle étaient disposés sur des tables couvertes de nappes tissées dans une matière rappelant étrangement de la neige, les mets les plus raffinés et les plus variés. On en trouvait pour tous les goûts ! Le saumon sauvage était exquis, le caviar luisait d’un éclat alléchant, le foie gras était savoureux, la dinde aux marrons dégageait un fumet enivrant, les sucreries de noël tel que le pain d’épice ou les marrons glacés semblaient délicieux. La liste des met était encore longue, et parmi elle, ont trouvait aussi des spécialités d’Othkar, inconnu de la Terre.

C’était un décore splendide pour une soirée magique et prometteuse de gaîté et de joie. Tout semblait idyllique, jusqu’à l’apparition d’une personne trop curieuse selon elle. En effet un Terriens venait d’arriver, certes d’autre l’avait précédé mais lui contrairement aux autres n’était pas en tenu de soirée. Celui-ci peut soucieux des différents événement sur Terre l’était pas plus pour ce ayant lieu sur un autre monde et c’est donc dans une tenu de tous les jours qu’il franchit les portes de la salle ou la fête avait lieu provoquant un sursaut scandaliser parmi la cour de l’empereur. Et fut en l’espace de quelque second l’objet de tous les regards même le conseiller Aayon Shark cessa d’importuner Hiryû le temps de voir qui était la personne qui était la cause de tout se remue-ménage.

Hikaru quand a lui jouait à son jeu favori, qui pouvait troubler bien des personnes lorsqu’ils le rencontraient pour la première fois à savoir que si l’on ne voyait pas ses poumons se remplir et se vider d’oxygène et qu’il ne faisait aucun mouvement n’importe quel personne jurai qu’il était une statut d’dépourvu de tout sentiment. Cependant il n’était pas immobile, il avait entamé un petit tour de salle histoire de voir s’il n’y avait pas quelque chose d’intéressant à voir ou à faire, ne se souciant nullement des dames de la cour qui jasaient sur son passage.

*Cet endroit est d’un ennui et d’un mauvais goût… Des fois je ne devrait pas être aussi curieux ça m’éviterai de perdre mon temps dans des endroit pareille. Seul point positif Othkars à l’aire de décupler mes dons cependant j’ai un mal de chien à cacher mon aura mais bon pour le moment j’y arrive.*

Hikaru fini par voir Hiryû qui était avec un homme qu’il ne connaissait pas et qui à première vus était un local vu ses vêtements et il remarqua derrière lui Orphen qui avait assez contrarier. Et toujours aussi curieux qu’à l’ordinaire et désireux de saluer une personne qui l’avait aidé par le passé, le jeune magisters alla interrompre le conseiller qui attendait toujours une réponse de Hiryû à sa question. Voyant que la jeune femme avait l’aire plutôt mal alaise par rapport à la situation et ne souhaitant pas faire d’erreur Hikaru prit la peine de choisir ses mots avec précaution.

« Bonsoir sempei, bonsoir professeur, fit il à l’attention de Hiryû et d‘Orphen. J’espère que je ne vous dérange pas, comme cela faisait longtemps que l’on ne s’était vu j’ai pensé qu’il était de mon devoir de venir vous saluer ainsi que votre cavalier. Mais suis-je donc si mal élever que j’en n’oublier de me présenter à monsieur votre ami ? Je suis Shindo Hikaru et vous êtes ? »

Le petit discours qui venait d’être prononcé était poli, respectueux et sans le moindre défaut, il avait tout pour être parfait mais voilà le ton neutre et le visage de marbre d’Hikaru avait de quoi effrayer bien des personnes. Après tous une personne capable de cacher tout trace de sentiment n’était elle pas source d’angoisse. Comment peut on savoir si le discourt tous juste prononcé était sincère où un piège ce cacher derrière ? Certes Hiryû n’eu nulle difficulté pour comprendre Hikaru. Bien qu’il ne ce fréquente pas souvent ils avaient apprit à connaître l’essentiel de l’autre sur leurs manière respectif d’agir et de communiquer. Ainsi elle n’eu aucun mal a comprendre l’interrogation muette du jeune homme qui en fin de compte souhaiter juste prendre de ses nouvelles et savoir si tout aller bien avec l’étranger. Et cella ni Orphen, ni le conseiller ne l’avaient comprit.

Hiryû suivit Orphen sur le balcon, en le prenant par le bras. Elle le serait fort contre lui. Tou à coup, une impression de mort lui fit se hérisser les cheveux sur la nuque. Inconsciemment, elle pressa le pas en serrant le bras du professeur tellement fort qu'elle coupa momentanément la circulation sanguine. L'impression disparue aussi rapidement qu'elle était venue.

*C'était quoi...? C'est... C'est du à Aayon ? C'est ça, sa vraie puissance ?...*

Elle se sentait mal à l'aise. Aayon était puissant, mais cette impression qui devait venir incontestablement de lui, lui paraissait ne pas refléter la véritable force de cet "adversaire"... Ne sachant toujours pas à quoi s'en tenir avec ce conseiller, elle décida d'appliquer une stratgie de prudence et d'évitement de l"ennemi".
Alors qu'elle était plongée dans ses réflexions, Orphen se fit bousculer et fut contraint de laisser la place à ce beau conseiller. Ce dernier s'inclina, sa colère disparut et tous ses charmes déployés.
Lorsqu'il parla du tango et qu'il sourit, la jeune fille se mit à parler malgré elle. Elle chuchota à voix basse, et ses lèvres remuaient à peine. Personne à part Aayon n'entendit ses paroles, ni ne la vit parler.

"Non, non. La danse m'a plut... C'était... parfait! Vous êtes un excellent danseur! C'est juste que je..."

Elle s'arréta d'un coup.

*Qu'est ce que je raconte moi? et pourquoi je lui répond d'abord ? *

Malheureusement, le conseiller continua de délivrer ses paroles ennivrantes... Charmée, Hiryû ne pouvait plus détacher son regard de ses deux perles noires qui l'hypnotisaient presque. Elle sentait le doux et frais souffle chaud du comte sur son visage, ce qui lui embruamit le cerveau. sans s'en rendre compte, elle lui donna son nom dans un souffle à peine perceptible:

"Hiryû..."

L'arrivée d'Hikaru la tira de sa torpeur, lui évitant ainsi de donner son nom de famille.

*Ola! J'ai failli lui filer mon nom de famille... *

Elle répondit à son regard par un coup d'oeil qui se voulait assuré et qui signifiait plus ou moins "tout vas bien, mais ce gars est dangereux." De plus, elle ne laissa pas le temps au comte de se présenter, ou même de dire quoique ce soit. Elle comptait profiter de la situation pour tirer plus d'information de cet homme.

"Bonsoir, Hikaru. Je te remercie d'être venue me voir. Je te présente le conseiller du Roi d'Othkar, le Comte Aayon... Aayon comment au fait ?... Pardonnez moi si je vous offense, monsieur."

Elle avait parlé sur un ton clair et charmant. Le ton de la jeune fille douce et innofensive qui ne demande que d'avoir un beau chevalier servant et protecteur. Ces paroles avaient été agrémentée d'un air innocent, d'un petit sourire plein de douceur, et d'un rougissement bien placé. La panoplie totale de la jeune innocente et inscousciante.

*Et toc! Jouons à ton petit jeu, charmant conseiller... Allez, sort donc de cette situation...*

Orphen venait de saluer Hikaru et de lancer sa réplique quand Hiryû lui adressa un discret clin d'oeil pour le rassurer quand à ses sentiments.

*T'inquiète pas Orphen... Ce type est pas près de m'avoir! ... N'empèche... Ce type... me fait peur! J'ai l'impression qu'il est comme... une sorte d'araignée... comme une belle et gracieuse veuve noire. C'est ça! il repère sa proie, et commence à tisser des fils de charmes et de belles paroles, enduite d'une substance dorée et sucrée comme le miel... et quand la proie s'en rend compte et cherche à fuir, elle s'empetre dans cette toile... Il faut s'en débarrasser au plus vite de ce gars...*

C'est là que Hiryû eut un moment de panique. Elle venait de réaliser qu'en fait, il était quasiment impossible de se dépeétrer des fils seul, et ce, dès qu'Aayon commençait à parler. En effet, le Comte avait pour lui dès le début les fils de la bienséance qui interdisaient à toute jeune femme de l'envoyer proprement sur les roses...

Zach un verre à la main regarda en direction de la salle en hésitant pas à faire des signes et des clins d'oeil aux femmes présentent. Tout d'un coup, ilsenti une aura pesante dans la salle. Tellement forte que son bras lui fit un mal fou. Il reposa son verre à la hate pour ne pas que celui ci tombe. D'un coup, il senti son regard changer, et son oeil commença à lui faire mal et un sourire machiavelique illumina son visage. Tout avec so changement, son aura de glace augmenta aussi commençant à geler le buffet. Il mit la main sur son oeil droit et se mit à courir :

" Merde saleté, je croyais que cela avait été fixé. C'est pas possible" pensa t'il.

Dans sa course aveugle, il bouscula bon nombre de personne, notement un homme bien habiller qui fesait des avances à Hyriu tout à l'heure au damne d'Orphen. BrefIl savit que c'était à cause de cet homme que "cela" 'était déclancher et qu'elle ne fut pas sa stisfaction que cet homme s'affale sur le mur.
Zach courut sans s'arreter jusqu'a ce qu'il pensait etre un balcon. Ne voyant personne, il crea dans sa main un morceau de glace similaire à un miroir pour voir son reflet. Et sa crainte fut fondé. Son oeil blanc, commençait à avoir une pigmentation.
"Donc dans ce monde, le sort ne marche pas. Donc dans ce monde "Cela" peut arriver."

Il prit de la neige, la plaça dans sa main, et le mit sur son oeil, puis il s'adossa au rebord du balcon et attendit

Coleen fut heurté par Byakko quand il se retourna, il ne l'avait pas vu arriver car il regardait de l'autre coté et elle n'eut pas le temps de se pousser pour éviter le "choc" ...

-Hiiii

Fit-elle en tombant, meme si ce ne fut très fort une bonne partie de la salle se retourna pour voir se qui se passait. Mais comme elle se retrouva en un rien de temps dans les bras de Byakko qui la rattrapait pour ne pas qu'elle se fasse mal sur le sol carrelé tout le monde recommença à papoter dans son coin ...

Elle soupira de soulagement et sourit à Byakko.

- Merci ....

Dit Coleen en rougissant.

Ils restèrent un petit moment dans cette position, c'est à dire un peu en équilibre à se regarder dans les yeux. Puis la blondinette se remit sur ses pieds et se blottit doucement contre Byakko.

- Ca me fait vraiment plaisir de te retrouver ...

-Tres contente si tu veux savoir... glissa Lia a son cavalier. Si tu ne veux plus en parler, on en parle plus.

Elle sourit, satisfaite qu'il lui ait fait confiance.

La musique s'eleva a nouveau, le bal commencait. La jeune fille hesitait un peu a se lancer sur la piste, craignant qu'on ne danse pas ici les memes choses que dans le monde "normal".
Mais Coleen et Byakko s'etaient avances et dansaient une valse tout ce au'il y a de plus banal, ne declenchant pas trop de commentaires... mais ils etaient les seuls "terriens" sur la piste, attirant donc les regards.

Elle tourna la tete vers Drac, lui souriant.

-Tu danses aussi? J'imagine que tu as eu tout le temps qu'il faut pour apprendre...


(pfyou, desolee, clavier anglais, pas d'accents. Je rentre bientot, le Kenya ne m'a pas tuee!!)