Le palais de Myndel et Noel

- Hautain ...?

Murmura la blondinette pensive et un peu surprise ...

Coleen fut assez surprise de l'avis de Byakko : pourquoi inviter des gens pour les mépriser ? Puis, peut etre que ce n'était pas une invitation, personne n'ayant été prévenu ... Elle tourna la tete vers la salle un instant, pourtant, ces gens n'avaient pas l'air mauvais, certains avaient meme l'ai assez surpris ou étonnés par ceux venus d'NDSE, mais tous n'étaient pas méprisants ... Bon, c'est sur qu'etre épier n'a jamais plu à Byakko, mais ces gens devaient certainement voir les nouveaux venus comme des "créatures étranges", meme si ce n'était pas agréable, c'était assez compréhensif : leurs vétements, façon d'agir et leurs moeurs étant différents de ceux d'NDSE ...

*Comme lors d'un séjour dans un pays étranger ...*

Coleen sourit quand Byakko la rapprocha de lui pour le slow. Elle fut aussi un peu étonné d'entendre Byakko décrire l'empereur d'Othkar ...

- C'est bizarre, je m'attendais à un etre plus majestueux, sage, sur de lui et noble que ce personnage ... D'ailleurs, pourquoi n'est-il pas resté ?

Coleen était assez curieuse, et aurait aimé le rencontrer. Elle ne put vraiment croire que c'était vraiment lui l'empereur ... Celà la laissa pensive mais elle releva la tete et plongea ses yeux dans le regard vert magnifique de Byakko. Elle serra légèrement plus sa main gauche qui était posée sur la main gdroite de Byakko et elle posa un petit instant sa tete sur l'épaule gauche de son cavalier. L'orchestre jouait bien et l'acoustique de la salle ne faisait que mettre en valeur la mélodie interprétée.

Coleen releva la tete et vit Lia aux coté de l'étrange personnage noir monter sur la piste et commencer de danser.

- Tien, ne serrait-ce pas là un nouveau couple ?

Demanda-t'elle à Byakko un peu en plaisantant. Puis elle reprit plus sérieusement :

- Toujours est qu'il ne m'inspire pas confiance ...

Comme on pouvait s'y attendre, la pauvre fille, subjuguée, avoua à Aayon avoir apprécier la danse, puis elle lui chuchota son prénom.

L'irruption d'un garçon sur le balcon l'empécha d'en révéler plus. De toute évidence, il craiganit qu'Hiryû ai un quelconque problème... mais en compagnie du Conseiller, rien ne risquait d'arriver et il était tout ce qu'il y a de plus courtois. Le seul qui se comportait en mufle, aux yeux du protocole, actuellement, était Orphen, à la grande satsifaction du Conte.

Aayon détailla ce nouvel arrivant du coin de l'oeil. D'une apparence sobre, il portait cependant la marque de ceux qui avaient défaits les gardiens, et son aura bouillonait. Ce garçon était en proie à un changement important et, par conséquant, gagna l'interet du Conseiller. A surveiller donc.

Hiryû eut un échange muet avec les deux garçons soucieux d'elle, avant de planter son regard dans le sien. Aayon eut un sourire.

*Elle a dut prendre conscience qu'elle ne peut désoramais compter sans moi et qu'elle va devoir faire avec.*

La jeune fille le surprit en attaquant directement, lui demandant son nom de famille. Elle ne rougissait plus, ne balbutiait plus, consciente qu'elle était au centre de la toile que tissait Aayon à son attention, mais refusait d'abandonner. Une lueur d'interet brulante s'alluma dans ses prunelles. Les aventures avec les femmes qui avaient tentée de lui résister avvaient toujours été les meilleures.

"Il n'était pas ans mon intention de vous le dissimuler, répondit-il toujours courtois. Mon nnom est Shark.

Il fixait aussi la jeune fille, d'un regard brulant. De plus, son bras, toujours posé sur celui de la jeune femme, accentuait le pouvoir d'attraction qu'il avait sur elle.

Malheureusement, Orphen s'énerva, avançant, et obligeant Aayon à s'écarter, rompant le contact physique.


Qu'elle que soit votre force sa m'étonnerait beaucoup que vous tentiez quelquechose se soir alors je vous conseillerais de bien vouloir vous retirez. Quand au nom de ma cavalière vu votre conportement vous ne mériteriez même pas de le connaitre. Maintenant excusez-nous mais je ne suis pas venut pour me battre mais plutôt pour passer du temps avec ma bien aimé sans avoir un homme d'un grand age pour la draguée alors veuillez vous trouvez une autre demoiselle à séduire. En plus se soir la salle en aient bondées et beaucoup d'entre elles ne sont pas accompagnées.

La voix d'Aayon se fit dur et froide:

"Jeune homme, lorsqu'on est poli, on n'interromp pas une conversation. ensuite, la femme n'étant pas un objet, on évite de dire "ma" en la désignant. On parle de "la chamrante jeune fille qui m'accompagne", "de cette superbe femme à mon bras" et on montre son affection par des gestes et non par la parole. Mais peut-être êtes vous trop rustre pour simplement vous en douter. "

Adressant un sourire carnassier à Orphen, Aayon voulut reposer sa main sur le bras d'Hiryû. Mais un homme, apparemment avec un problème, manqua de le bousculer, le faisant s'écarter contre un mur à une vitesse éclair.


*Encore un dont les pouvoirs sont réveillés par les flux d'Othkars ? Décidément, ces terriens sont dignes d'interet.* [i]

Décidant d'avoir le dernier mot, Aayon prit la main de Hiryû, l'attira près de lui et s'adressa aux autres.

"Je serais bien resté à converser avec vous, cependant, je suis l'organisateur de ce bal, et ma présence est requise ailleur."

Puis à Hiryû seule:

"Je dois donc vous laisser. A une prochaine fois, Hiryû."

Il leva la tête et eut un sourire en coin.

"Quel heureux hasard. Du gui."

Profitant que Hiryû avait ouvert la bouche pour lui répondre, Aayon se pencha et l'embrassa doucement, d'un vrai baiser, chaleureux malgré sa peau glaciale.

"Peut-être n'avez vous pas fait le bon choix..."

Puis adressant un sourire victorieux à Orphen, il quitta le balcon et se perdit dans la foule des danseurs.

Bien qu’il eu du mal Hikaru avait réussi à se retenir d’intervenir dans l’affaire qui venait de se dérouler devant lui. Il ne c’était pas retenu par peur de la puissance du vieux conseiller ou par peur de créer un conflit entre Othkars et la terre. Non s’il n’était pas intervenu c’est parce qu’il considérait que c’était au Professeur Orphen qu’incombait cette tache. Mais il semblait que sous le coup de la surprise, le jeune professeur n’eu pas le réflexe d’empêcher le petit manipulateur d’accomplir son méfait. Le jeune magister assista donc au départ du vieux dragueur qui venait sans aucun doute de briser le cœur de deux personnes. Cependant tout n’était pas perdu pour leur histoire, peut-être que ce baiser voler allait mettre fin à leur romance ou peut-être pas. Quelqu’en soit la tournure Hikaru jugea préférable de laisser ce couple surmonter cette épreuve ou s’effondrer en tout intimité. Il n’avait pas sa place dans ce qui allait suivre, alors il partit en montrant un petit sourire à Hiryû pour essayer de lui faire comprendre que ce n’était pas de sa faute même si le fait qu’elle est apprécié ce baiser l’espace de quelque seconde n’allait pas l’aider pour la suite.

Hikaru revient donc dans la salle du bal où des couples avaient commencé à danser. Il remarqua Lia avec un jeune homme ressemblant au vieux conseiller ainsi qu’un couple avec lequel il avait combattu dans le cimetière de NDSE contre les quatre gardiens. Comme toute l’attention de la salle était porté sur ce qui dansait Hikaru n’eu aucun problème pour passer inaperçu dans la foule et alors qu’il allait prendre une collation histoire de faire passer le temps il remarqua une jeune fille avec un loup. Il n’eu aucun mal à se rappeler où il l’avait rencontré et décida d’aller la saluer bien que cette dernière avait voulut se battre la dernière fois qu’il l’avait vu.

« Bonsoir, j’espère ne pas vous déranger ? Je suis Hikaru Shindo, on s’est rencontré il y a quelque moi dans la foret. Je m’étais perdu et je vous avais demandé le chemin mais pour une raison que j’ignore vous aviez voulu que l’on se batte. J’espère que cette fois si vous accepterai de discuter avec moi ou au moins de me dire comment vous vous appelez avant de me renvoyer. »

Une fois n’étant pas coutume, Hikaru parla d’un ton amical et fit un sourire sincère qui ne cacher en rien ses émotions. La première fois qu’ils s’étaient rencontrés Hikaru était resté dans son naturelle ne montrant rien de lui et cela avait du posé un problème à la jeune femme et donc il avait décédé de faire un effort sur lui-même pour s’ouvrir même si ce n’était que le temps d’une soirée au moins il n’aura rien à se reprocher cette fois si.

Zach était assis par terre dans la neige d'un des balcon du palais. La neige dans sa main, la froideur du sol lui importait peu car il conservait ce froid et absorbait l'humidité sur ses affaires. Quand il retira la main de son oeil, il jeta le morceau de neige givrée ar dessus la protection, en ne ce demandant même pas si il y avait quelqu'un quelque metre plus bas suceptible de ce prendre le projectile. Il ressaisit son miroir improvisé et se regarda. Son oeil avait retrouv sa pigmentation blanche d'ordinaire.

" Ouf j'ai réussi à me calmer, sinon cela aurai été un véritable apocalyce." dit-il, en entendant dans le palais le debut d'une valse." Bon allez assez glandouiller, reprennons nos esprits et retournons déguster de ce somptueux breuvage que l'on nous sert et allons matter, par la même occassion, les demoisselles et les dames présente."
Hydro tourna autour autour de Zach pour lui prouver son accord et faire voir que son inquiétude était levée.
Zach reprit le chemin inverse à celui qu'il venait de prendre, se fiant à Hydro pour le mené à bon port. Bien entendu le conseil de rester invisible était toujours de rigueur. Quand Zach arriva dans la salle, de nombreux couples dansaient sérieusement, comme ci ils fesaient de leur corps pour ne faire qu'une unité dansante. Zach regagna le buffet, prit un verre de coktail et examina la salle. L'homme qui lui vait fait perdre le controle n'était plus là, par contre de il aperçut de ses élèves nouveaux venus dans le palais depuis son absence.

Lia profitait allégrement de la danse. Son partenaire savait très bien danser, et elle même aait du prendre des cours, plus jeune. Savoir danser à deux était plus que suffisant pour récompenser les heures passées à s'emm... nuyer dans une vieille salle poussièreuse.

La valse se termina, et arriva alors Hiryû, fulminante. Elle envoya une claque magistrale à Drac, lui criant de ne plus l'importuner, avant de retourner danser.

-Hein? Euh... j'ai pas tout compris... Quand est-ce que tu aurais bien pu embêter Hiryû?

Lia se rappela alors l'insistance particulière du "géniteur" de Drac, ainsi que de sa cible lorsqu'il l'avait abandonnée.

-On vous confond souvent, comme ça?

Elle jeta un coup d'oeil circulaire, pour voir les différentes courtisanes lorgner sur Drac, une fois leur surprise passée. Qu'elles voient en lui un potentiel Aayon II ne lui plaisait pas du tout. Elle se serra contre lui.

*Mon mien à MOI*

Zach regardair autour de lui son verre à la main. Il vit le jeune Hikaru discuter avec une autre élève qu'il avait aperçut de loin dans l'établissement.
Alors que la fete battait son plein, Zach eu comme un sentiment de fatigue, et une énorme envi de dormit. Il ne savait pas pourquoi, mais il savait qu'il devait dormir, comme-ci quelqu'un lui renvoyait son propre don. Il posa son verre et dit à voix basse
" Hydro on devai rentrer je me sent pas bien" Puis la vue de Zach se brouilla et il senti ses jambes flanchirent..........

( HS : dans la chambre de Zach)

Hikaru un léger sourire au lèvre écoutait sans perdre une miette ce qu’elle lui disait Ainsi dont elle s’appelait Shana Fujibayashi et à en voir l’emblème qu’elle dissimulait, elle faisait partie des filles de la lune. Par expérience Hikaru savait que chacun des filles de la lune avait un caractère bien tremper et pourtant bien différent les une par rapport aux autres.

« Vu la façons avec laquelle je vous ai abordé votre réaction n’était pas si disproportionné. Surtout lorsque l’on connaît votre réputation en tant que fille de la lune. N’en parlons plus… »

Il s’arrêta comme pour vérifier qu’elle n’avait pas mal compris ses propos. Car il ne voulait pas que sa remarque qui n’était destinée car lui faire savoir qu’il connaissait le clan des fille de la lune et qu’il fréquentait plusieurs, puisse être prise comme une insinuation voulant dire que les fille de la lune son incapable de se contrôler où quoi que ce soit d’autre. Voyant, qu’après sa surprise concernant les connaissance du jeune homme sur l’existanse de son clan, elle le fixait d’un aire sérieux attendant la suite du petit discours d’Hikaru pour savoir ce qu’elle devait lui répondre, il décida d’enchaîner en esperant ne pas faire de gaffe car après tous il n’avait pas l’habitude de discuter avec des personnes surtout des jeunes filles. Faute à sa timidité mais bon, il faisait des efforts.

« Euh… fit-il légèrement gêner. Je suis désolé si mes propos on put vous paraître insultant, ce n’était pas dans mes intentions. Bien…je… vous devez avoir des questions à me poser je suppose… peut-être devrions nous aller nous mettre dans un endroit plus tranquille où nous pourrions parler plus librement et sans risque de gêner qui que ce soit. Enfin…je ne vous force à rien si vous voulez qu’on en reste la je comprendrai. »

A peine avait-il fini de dire ces mots qu’il baissa le tête se maudissant intérieurement d’avoir cessé d’afficher un visage de marbre et de parler du voix neutre. Depuis qu’il avait pris cette décision de laisser cette jeune femme voir ce qu’il ressentait, il avait l’impression d’être vulnérable comme jamais.

Hikaru bien que gêné tenter de reprendre confiance en lui, bien que submerger par un défiler de question. Il se demandait qu’avait-il fait de drôle ou s’il était si mal habiller pour qu’elle se mette à rire ainsi ? Que devait-il faire maintenant ? Il n’avait pas envie que la conversation s’arrête à ce stade mais il était tellement gêner de ne pas savoir quoi faire qu’il aurai volontairement filé à l’anglaise s’il s’écoutait.

« Et bien, fit-il en s’accroupissant pour observer l’animal. Vous avais des projets, enfin vous avez intégré NDSE dans un but particulier ? »

Hikaru resta fixé sur le jeune loup, trop timide pour regarder la jeune femme dans les yeux. Attendant qu’elle eu fini de réfléchir sur ce qu’elle allait lui répondre, il se rapprocha du familier pour le caresser. Ce dernier, sentant le jeune homme s’approcher de lui, ouvrir et regarda le jeune garçon. Il eu un geste qui surprit sa maîtresse, en léchant la main du jeune garçon comme pour lui dire qu’il acceptait qu’il le caresse avant de se rendormir. Hikaru eu un léger sourire en voyant le comportement de l’animal.

« Cette un beau loup que vous avez à vos cotés. Comment s’appel-t-il ? »

Avait-il dit en le caressant.